Dans ce miroir, on se voit tout petit ou pas assez grand, on se dit qu’on se verrait bien autrement, plus léger, un peu à l’envers, pas totalement réfléchi, tout ou partie, invisible ou indicible, on se dit qu’on aimerait bien que la tempête succède au calme plat et inversement, on se demande quels mots poser sur nos errances quotidiennes. Alors, on se dit que ceux de Féloche ressemblent, en mieux, à ce que l’on a en tête, on se dit que sa “Chimie vivante” a de vrais airs de ressemblance avec la nôtre et que cette petite musique qui trotte dans nos cerveaux assourdis n’est que le reflet de celle que l’on entend dans “Le miroir”… Et si dans ce miroir aux alouettes il y a mille et unes facettes, alors il y a de fortes chances que nous soyons l’une d’entre elles !