Faudra-t-il attendre que les temps vienne pour que rien ne soit plus comme avant ou peut-on, à la suite de Makja, prendre les devants et ne plus lever le doigt avant de prendre la parole, histoire de parler de ce qui fâche, de ce que l’on ne veut pas voir, pas envisager, ni même discuter ?… Dans un monde qui s’auto-détruit sans même se poser de questions, quelques voix iconoclastes – fort heureusement de plus en plus nombreuses ! – ont décidé de ne plus se taire, de ne plus laisser la mondialisation heureuse accélérer notre destruction massive. Dorénavant, sans même avoir besoin de hausser le ton, avec quelques mots sensibles et forts, déchirants et vrais, Makja pose sa (petite) pierre à l’édifice, colibri musical qui n’a de but que d’éveiller quelques conscience et, en nous offrant ce clip documentaire, nous rappelle qu’il est des urgences invisibles qui méritent notre intérêt collectif, au-delà de toute chapelle, au-delà de toutes nos difficultés quotidiennes… Car, aujourd’hui, nous avons encore le choix de dire, chacun à notre tour, « je prends les devants » pour que demain ait une chance d’exister !