Les sorties d’albums du 21 octobre

Et hop notre petite sélection hebdo non exhaustive des sorties d’albums…

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C’est vendredi, on s’amuse, on rit, on rêve de son lit, mais c’est aussi jour de sortie pour les albums !… Alors, comme chaque semaine, la planète musique se pare de ses plus beaux atours pour nous offrir du bon – mais aussi du moins bon il faut le dire aussi – histoire de faire le plein de bonnes sensations et de belles vibrations. Donc, histoire de vous aider un peu dans vos choix ou juste nourrir votre curiosité, voici notre petite sélection (non exhaustive) des albums sortis cette semaine aussi bien en physique qu’en streaming… Comme d’habitude, pour voir un clip extrait de l’album (normalement y’en a mais parfois les artistes étrangement n’en publient pas, allez savoir pourquoi !), cliquez sur l’image… Bonne écoute et jolies découvertes 🙂

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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O A I O – « Carnaval »

OAIO nous ouvre les portes de son Carnaval et nous comble de bonheur…

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Dans notre carnaval mental, les images, les couleurs, les mélodies se chevauchent et se mélangent, oiseaux merveilleux porteurs de mille espoirs et d’avenir joyeux. Dans notre carnaval intérieur, la petite voix d’OAIO s’est immiscée en douceur, un peu en espagnol, un peu en français, et nous a d’un coup d’un seul subjuguée, nous embarquant dans une virée pleine de couleurs et de chaleur, chavirant notre cœur et faisant danser nos idées folles. Plein de vie, de soleil, de notes qui s’envolent vers notre coeur pour mieux faire bouger notre corps, « Carnaval » n’a pas fait de détails et est entré direct dans notre short-list des titres qui nous mettent du baume à l’âme et nous laissent un beau sourire au coin des lèvres…  Entrez dans le carnaval d’OAIO et laissez-vous porter, vous verrez, après on se sent un peu plus vivant !

 

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Les Marmottes – « Courant d’Air »

Avec ou sans regrets, l’amour parfois ressemble à un courant d’air… et s’oublie d’autant plus facilement qu’on le conjugue en chanson…

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L’amour c’est, parait-il, regarder dans la même direction mais parfois, à force de courants d’air, à force d’incompréhension ou de petits arrangements, les regards finissent pas diverger et laisser la place à la tristesse, voire pire. Alors, il y a ceux qui s’en accommodent, ceux qui essaie d’arranger les choses, et ceux, pas les plus malheureux, qui tournent la page et passent à autre chose. Et dans cette nouvelle vie qui s’ouvre à eux, plus aucun « courant d’air » ne vient perturber le quotidien, plus d’essais à espérer, plus de problèmes à partager avec les oreilles compatissantes, plus rien si ce n’est une nouvelle liberté, l’occasion de faire ce que l’on veut, quand on le veut, et une boite à sentiments qui ne demande qu’à être rempli à nouveau. Et si l’on y ajoute les notes de ces Marmottes qui commencent à gagner nos cœurs – tout en titillant notre curiosité en teasant un album qui ne devrait pas tarder et, s’il est à la hauteur des deux premiers titres dévoilés, pourrait bien s’avérer être une pépite -, on se dit que l’on a dans nos oreilles la bande-originale idéale pour ces histoires d’A chaotiques que l’on a tous, plus ou moins, connu un jour, et qui, qu’on le veuille ou non, nous plongent systématiquement dans l’amour jusqu’au cou !

 

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Colours in the Street – « A way to restart »

Colours in the Street, une fois encore, nous offre une petite pépite pop rock qui file de jolis frissons…

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Comme nous l’avions déjà pu le noter dans nos pages, si l’on prend habituellement, voire toujours, référence sur les anglo-saxons dans le domaine de la pop, parfois même du rock, on oublie beaucoup trop souvent qu’il existe sous nos latitudes des groupes qui excellent aussi dans ce genre-là et nous offrent des productions qui sont largement au niveau, voire au-dessus, de ce que proposent certains artistes phare de cette scène. Pour exemple Colours in the Street qui, une fois encore, nous offre un petit bijou avec « A way to restart », un titre élégant et sensible, qui prend aux tripes et, en douceur, nous embarque dans son univers fait de sensibilité et d’émotion. Tout en douceur, tout en sobriété, Colours in the Street fait vibrer la corde sensible, celle qui fait se lever quelques poils sur nos membres et laisse en nous quelques traces sublimes. Une nouvelle fois, le groupe niortais nous offre une magnifique pépite qui s’écoute autant qu’elle se vit émotionnellement, qui procure de merveilleuses sensations et que l’on a hâte de pouvoir découvrir sur scène…

 

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Rozedale – « Ce soir, je t’aime »

Ce soir, Rozedale sort ses plus jolies guitares rock pour nous aimer avec les mots de Cali…

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Au comptoir de toutes les solitudes, là où se retrouvent toutes les âmes en peine, où les fous croisent les déprimés plus ou moins magnifiques, où tous les cœurs debouts qui jamais n’acceptent de plier peuvent trouver quelques instants d’amour parfait, Rozedale offre une main tendue, des bras ouverts et, sans se préoccuper des yeux vides au hasard ou des pleurs écrits sur les murs de vies fracassées, dit ces quelques mots simples, « ce soir, je t’aime »… En toute simplicité, aidé par la mots d’un Cali toujours aussi inspiré, porté par une guitare joliment rock qui va droit au but, Rozedale offre une petite pincée d’éternité à tous ceux qui se sont trouvés échoué un jour, et peu importe que, pour eux, la fin du monde soit toujours pour dans dix minutes, ce moment est si précieux qu’il efface toutes les questions, tous les doutes, toutes les peines pour ne laisser qu’un happy end…

 

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Eddy Wonka – « Fils De »

Eddy Wonka a le complexe de n’être pas un fils de… mais il mérite néanmoins tout autant notre attention…

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C’est comme ça, dans la vie on a parfois la chance d’être un « fils de », voir les portes s’ouvrir en grand devant nous, côtoyer les plus grands artistes et se nourrir à leur contact, être en permanence sous le feu des projecteurs et sans cesse flatté par les regards croisés. Seulement, plus souvent, beaucoup plus souvent, on est juste un petit poussin orphelin artistique, un oisillon tout juste tombé du nid qui a le complexe du zéro et traîne sa douce déprime sur une mélodie gentiment décalée. On peut alors s’enfermer dans sa bulle et ne plus accepter d’en sortir ou, a contrario, vaincre ses troubles de la personnalité et faire de sa folie douce une alliée de choix. Sur son vélo qui a gardé ses petites roues pour aider à garder un équilibre fragile, lui aurait pu être le fils de Willy mais, pas de bol, il n’est qu’Eddy Wonka et, sous sa coquille de Caliméro, ce qu’il nous propose aujourd’hui est loin, très loin, de mériter un zéro.

 

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Gabriiel – « Close your eyes »

Fermez les yeux et préparez-vous à faire un merveilleux voyage folk…

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Est-il difficile d’atteindre la plénitude ?… On serait tenté de dire oui et puis arrive devant nos yeux une petite pépite de douceur folk comme « Close your eyes » de Gabriiel et, là, on se dit qu’il est plutôt simple de s’évader, il suffit juste de fermer les yeux et de se laisser porter. Par la délicate dentelle mélodique de ce titre, par la voix envoûtante de Gabriiel et par la beauté simple et pure de ce moment suspendu. Un morceau court, 2mn30 de bonheur c’est court, trop court, qui nous envoie direct dans les étoiles d’où l’on a le plus grand mal à redescendre…  De quoi, en prime, nous donner très très très envie d’écouter le nouvel album de Gabriiel dont la sortie est prévue au printemps prochain !

 

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Makja – « On ne se refait pas »

Que reste-t-il de nos sourires amoureux lorsque, comme Makja, on prend conscience que l’on ne se refait pas…

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Combien de bonheurs doit-on connaître pour cesser de divaguer, pour ne plus être un oiseau de passage, combien de silences peut-on installer quand on est deux sans se perdre, combien de moments peut-on caresser sans se heurter, sans se faire du mal et se dire l’inverse de ce que l’on voudrait ?… Que reste-t-il des sourires et des emportements initiaux lorsque le temps a fait son ouvrage, que reste-t-il de cet amour lorsque le naturel revient au galop et exacerbe les travers et les chemins divergents ?… Quelques questions que l’on s’est tous plus ou moins posés un jour et sur lesquelles Makja, avec la complicité de Tom Frager,  braque, dans son nouveau « on ne se refait pas »,  une lumière en demi-teinte, à la fois tendre et sombre, pessimiste et poussant à aller de l’avant, délicat résumé de ce que peut être une vie amoureuse, entre hauts et bas, espoirs et désillusions. Alors, même si l’on ne se refait pas, peut-être juste cela nous donne-t-il envie de refaire le chemin à l’envers pour y trouver quelques sensations oubliées !…

 

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Claire Faravarjoo – « Cigarette »

L’amour c’est comme une cigarette… qui se consume joliment sous la plume de Claire Faravarjoo…

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La « cigarette » tue cela semble sûr et certain désormais, consumant jour après jour notre souffle, nos nuits évaporées et nos journées évanescentes, en machinal élan que l’on goûte pleinement puis que l’on regrette un peu, passionnément, à la folie. Parfois, l’absence se fait cruelle, le manque déchirant, la fin prévue, prévisible, avérée, tuante.  Et lorsque la fumée s’envolant aux vent mauvais nous rappelle cet amour, délicat ou fougueux, perdu à jamais, les regrets et les sanglots n’y peuvent rien changer. Alors on se laisse happer par une mélodie tendre, une voix caressante, celle de Claire Faravarjoo, et l’on part en « onirie », chevauchant les chevaux du désir, à la poursuite d’un temps perdu que l’on rêve de rattraper avec l’être aimé. Peu importe qui il ou elle est, les sentiments sont toujours les mêmes et leur déclin unilatéral est toujours une déchirure qu’il est rare, comme ici, de voir traduire en mots aussi délicats, aussi sensibles. A tel point que l’on n’a, finalement, pas si envie que cela d’y échapper…

 

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Ska-P – « Estimado John »

Imaginons le pouvoir des rêves avec Ska-P et « Estimado John »…

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Nous sommes peu mais nous sommes des légions, à vouloir privilégier l’imagination, à vouloir faire sonner les guitares pour brandir nos poings et dire stop aux maux de nos sociétés… Nous ne sommes peut-être pas si nombreux que cela mais nous pourrons faire bouger les lignes et tomber les murs érigés devant nous… Nous sommes peut-être appelés contestataires, anti-ceci ou cela, non conventionnels, mal habillés, bizarrement coiffés, mais peu importe car nous sommes des rêveurs et comme le scande Ska-P au fil de « Estimado John », nos cœurs, notre volonté et nos désirs seront plus forts que toutes leurs répressions, leurs ségrégations, leurs divisions…

 

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KNGT – « The countdown »

KNGT, les chevaliers du rock ultra puissant reviennent avec un nouveau titre qui déboite…

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Ils ne sont finalement pas si nombreux que cela les groupes français qui creusent le sillon d’un rock aux accents métalliques et s’inscrivent dans une famille qui sait faire bouger les corps sans se prendre la tête. Aussi est-il savoureux de pouvoir goûter le nouveau titre des chevaliers basques KNGT, « The countdown », qui une nouvelle fois, après « Soldat » et « Scarlett », pose une rythmique catchy sur des riffs qui claquent et donnent des envies de headbanging, des mots en français et, ce coup-ci, en anglais sur une mélodie qui capte immédiatement l’attention et s’avère, à grand renfort de screamo, très vite fort addictive. A tel point qu’il ne faut pas attendre la fin du compte à rebours pour devenir accro et se la passer en boucle. On se plaint assez que le rock à fort teneur métallique n’est pas assez présent de ce côté-ci de l’Atlantique alors quand on tient un groupe qui tient la comparaison avec qui dégoupillent des titres puissants du côté yankee, profitons-en et soutenons-le…

 

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Au Comptoir des Histoires – « Nos rêves de gosses »

Avec Au Comptoir des Histoires, faisons en sorte de conserver envers et contre tous nos rêves de gosses !

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Avant qu’au loin s’enfuit nos jeunes années, que nos jeux les plus fous, « nos rêves de gosses » ne partent supplantés par nos idées d’adultes, nos ambitions plus ou moins maîtrisées, qu’à la fin de notre printemps, de notre été, quand vient l’automne de notre vie, on se retourne et voit avec peine tout ce que l’on a loupé, tout ce que l’on a laissé de côté, comment ne pas être nostalgiques et un peu tristes, comment ne pas se dire qu’on aurait pu faire autrement, mieux, plus délirant, plus en accord avec ces rêves que l’on a entassé au fil du temps en les oubliant au fur et à mesure ?… Alors, pour enlever cette camisole de raison, ce carcan de normalité à respecter, pourquoi ne pas emboîter le pas de ccux qui, comme Au Comptoir des Histoires, nous rappellent en musique, avec autant de légèreté que de douce nostalgie, qu’il faut toujours laisser une petite part en soi pour cet enfant que nous avons été, pour ces rêves que l’on a porté, pour ces jeux hors du temps, hors de la réalité, qui nous ont nourris et nous permis d’avancer plus vite, beaucoup plus vite, que ce quotidien auquel nous nous confrontons chaque jour qui passe.  Et, qui sait, si nous arrivons à remettre la main sur notre panoplie de cowboys, peut-être trouverons nous d’autres indiens et d’autres desperados pour partir dans une nouvelle chevauchée fantastique !

 

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Antes & Madzes – « Antes & Madzes »

En direct de Rodez City Gang, Antes & Madzes rappent leur vie comme un slow-motion au ralenti…

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A la base, ils viennent de loin, de ce coin perdu au fin fond de la France où les virages font plus de morts que la criminalité, où on se fout complètement de la hype sauf quand elle passe dans le Jt de 20h… Eux, leur vie c’est une existence en slow-motion au ralenti, alors même s’ils sont gentils et polis, ils ont décidé de mettre un grand coup de lattes dans la fourmilière histoire de devenir des stars des PMU. Ils auraient pu faire punk ou footballeur pro mais bon, du côté de Rodez City Gang c’était déjà pris alors ils ont pris l’option rap et, pire, ils le font plus que bien, dégoupillant avec humour les punchlines qui font mouche et grattent bien là où il faut. Si les autres font tout pour faire du sale, eux préfèrent de loin faire du propre, des mots qui coulent sur des instrus qui claquent, des mots qui caressent ou balancent des beignes, des mots qui font sourire ou filent des envies de clash, des mots qui, surtout, nous donnent envie d’aller jumper en compagnie d’Antes & Madzes dès que l’occasion se produit en live…

 

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Coffees & Cigarettes – « Le syndrome de Peter Pan »

Avec les mots de Coffees & Cigarettes retrouver son âme d’enfance et se perdre dans le Syndrôme de Peter Pan…

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Dans ce monde qui va trop vite, se trouble et nous bouscule plus que de raison, quelle est belle la tentation de se perdre dans un passé forcément magnifié, un monde de souvenirs où l’on se délecte des sons et des images de l’enfance, de ces madeleines de Proust qui nous entraînent, nous les enfants perdus élevés au goût du macadam, à la recherche du temps perdu, là où l’on se délectait des images crados, où l’on vibrait aux facéties du Club Dorothée, où les maximonstres nous terrifiaient, où chacun pouvait déclencher une guerre des boutons avant de crier le plus fort possible pour voir les princesses sortir sur leur balcon. Avec les guerriers de l’âge béni de l’insouciance, avant, bien avant que l’adulte ne prenne le pouvoir, se dire qu’il est doux, comme nous le dit délicatement Renaud Druel alias MC Jesse avec ses complices (Anna Swieton au violon, Lyllou Chevalier à l’alto et Quentin Gendrot au violoncelle) de Coffees & Cigarettes, de se perdre dans le labyrinthe de Pan et s’y laisser porter par les flots tumultueux des souvenirs joyeux et des pépites d’un monde qui, depuis longtemps, a disparu. Doucement, caressé par ce duo cordes/voix, laisser notre esprit vagabonder dans ses propres nostalgies, lui ouvrir la porte d’un « Syndrome de Peter Pan » délicieux et merveilleux, moment suspendu dans une vie qui trop souvent fonce sans prendre le temps de se poser, de regarder en arrière. Qu’il est doux ce petit temps délicat où les mots nous prennent par la main pour nous redonner sans en avoir l’air notre âme d’enfant !

 

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RPC – « J’vais le faire quand même »

Quand RPC décide de le faire quand même et de nous faire tourner la tête avec son electro pop décalée, on ne regrette pas un seul instant…

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Bon, on va pas se mentir, le début de l’année est quand même pas fou fou, on pourrait même dire qu’il incite plus à la déprime qu’à la franche marrade. Aussi, quand déboule dans nos esgourdes un titre délibérément décalé et authentiquement adulescent, on ne peut que retirer ses moufles et applaudir des deux pieds !… On se doutait bien, pour avoir déjà craqué sur leur « Merci pour rien », que les Rappeurs en Carton était largement capables de nous filer la banane avec leurs titres. Et ce n’est pas parce qu’ils ont raccourci leur nom – oui, ok, RPC ça va plus vite et c’est important quand on a toute la vie devant soi ! – qu’ils ont perdu ce petit côté nawak et rappunk qui avait attiré notre attention. Pour preuve ce nouveau titre « J’vais le faire quand même », annonciateur d’un nouvel EP déjanté dont la sortie est prévue le 15 avril prochain, qui déroule avec délectation le fil de toutes ces expériences plus ou moins malheureuses, des essais plus ou moins intelligents, que l’on peut faire quand on a que ça à faire. Une fois de plus décalé et à prendre au deuxième degré – enfin on l’espère ! – ce nouveau titre file un sourire taille xxl et, avec sa rythmique électro pop, donne une furieuse envie de bouger son booty en rigolant bêtement… En tout cas, s’il y a une chose que l’on ne regrette pas, c’est de se laisser prendre à leur petit jeu…

 

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