Au cœur de l’été, quoi de mieux pour commencer une semaine que de jeter un œil à notre petite sélection de clips sympas et pleins de bonnes vibrations ?…
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Quand on vous dit chaque semaine, ou presque, qu’il suffit de faire un pas de côté pour découvrir des choses sublimes, des sensations nouvelles, des émotions non formatées, on se dit que vous ne nous croyez pas toujours. Alors, inlassablement, on continue, encore et encore, à vous proposer cette sélection qui vous emmène sur d’autres rivages, sur des chemins que vous n’avez peut-être pas l’habitude de fréquenter, à la découverte de ces artistes que l’on ne voit pas (ou peu) dans les médias mainstream mais qui, pourtant, font la richesse de notre univers musical.
Alors, cette semaine, on a repris les commandes, enfin presque !, au fou furieux qui ne jure que par le brutal et on vous a concocté une petite sélection super sympa. Regardez donc ce qu’ont déniché les oreilles averties de la rédaction parties le nez au vent à la recherche de quelques sonorités éclectiques capables de vous faire vibrer, vous surprendre, vous émouvoir, peut-être même vous faire sourire… et entre rock et chanson, indie et rap, chanson et électro, vous filer quelques bonnes vibrations capables de faire du bien au corps et au cœur.
Alors sans plus attendre, place à la musique (et un peu aussi aux images qui bougent), à vous de jouer en scrollant le long de cette playlist du 05 AOÛT 2024, histoire de découvrir – ou redécouvrir – ces artistes que vous n’entendrez (pas forcément) ailleurs. Place, donc, par ordre d’apparition à l’écran, à ces 15 clips de la semaine :
BODY COUNT / LOUIS ARLETTE / JULES AHOI / TIM MONTANA / DOC GYNECO / MJ LENDERMANN / RÉMY / THE DEAD DAISIES / KOLIA / DOC FLUX / BLACK SUN / JORDAN RUDESS / MOTHICA / PORTER ROBINSON / JINJER
Pas de répit pour les braves, on se retrouve la semaine prochaine pour une nouvelle salve de clips super sympas…
Premier lundi de juillet, on se regroupe et on part en douceur découvrir notre jolie sélection de clips destinés à vous offrir quelques belles sensations…
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Quand on vous dit chaque semaine, ou presque, qu’il suffit de faire un pas de côté pour découvrir des choses sublimes, des sensations nouvelles, des émotions non formatées, on se dit que vous ne nous croyez pas toujours. Alors, inlassablement, on continue, encore et encore, à vous proposer cette sélection qui vous emmène sur d’autres rivages, sur des chemins que vous n’avez peut-être pas l’habitude de fréquenter, à la découverte de ces artistes que l’on ne voit pas (ou peu) dans les médias mainstream mais qui, pourtant, font la richesse de notre univers musical.
Alors, cette semaine encore, regardez donc ce qu’ont déniché les oreilles averties de la rédaction, parties le nez au vent à la recherche de quelques sonorités éclectiques capables de vous faire vibrer, vous surprendre, vous émouvoir, peut-être même vous faire sourire… et entre chanson et métal, pop et folk, hip hop et reggae, vous filer quelques bonnes vibrations capables de faire du bien au corps et au cœur.
Alors sans plus attendre, place à la musique (et un peu aussi aux images qui bougent), à vous de jouer en scrollant le long de cette playlist du 1er JUILLET 2024, histoire de découvrir – ou redécouvrir – ces artistes que vous n’entendrez (pas forcément) ailleurs. Place, donc, par ordre d’apparition à l’écran, à ces 16 clips de la semaine :
KNGT / MC SOLAAR & MARIE-FLORE / DRAUMR & MATYA / LUIZA / ADAM WOOD / CLOUDY JUNE / NADA SURF / SHABO / NUTTEA (feat. KABAKA PYRAMID) / JULE AHOI / BADFLOWER / LÆTITIA / LEPROUS / STATION / NO ONE IS INNOCENT / L’AUTRE
Rendez-vous la semaine prochaine, pas forcément lundi d’ailleurs, pour une nouvelle sélection de clips destinés à vous fournir quelques bonnes vibrations…
Le reggae revient force dans l’Aveyron avec le Roots’Ergue 2022
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Ce n’est pas parce qu’un événement est positionné loin temporellement parlant que l’on doit s’abstenir d’en parler, bien au contraire… Car non seulement toute info de ce type est bonne à diffuser mais en plus cela permet de s’organiser et donc de profiter pleinement d’un festival. C’est donc avec plaisir que l’on a découvert les 3 premiers noms de la nouvelle édition du festival Roots’Ergue qui se pose, chaque fin octobre, dans la douce et paisible bourgade de Sauveterre de Rouergue dans l’Aveyron. Trois jours de bonnes vibrations – que l’on a malheureusement pas pu ressentir depuis 2019 – reggae histoire de faire le plein d’ondes positives, c’est ce que nous propose depuis longtemps ce festival nous réchauffe le cœur et le corps juste avant l’hiver. Après deux ans d’absence, force est de constater que ce Roots’Ergue numéro 18 s’annonce sous les meilleurs auspices avec trois très très jolis premiers noms. Et comme notre petit doigt nous dit que la suite devrait être du même tonneau, on va très vite réserver nos places pour être sûrs de ne pas louper ce joli moment… Et dès qu’on a ces fameux autres noms, promis, on revient vers vous… A suivre donc…
ROOTS’ERGUE — 28/29 & 30 Octobre 2022 – Sauveterre de Rouergue (12)
Pass 1 Jour : 25€>22€ /// Pass 2 Jours : 45€>42€ /// Pass 3 jours : 60€>55€ /// sur place : plus cher
Debout, toujours et encore, activiste d’une parole libre qui se pare de couleurs chaudes pour mieux faire passer son message, depuis 20 ans Danakil scrute de son regard lucide cette société qui se crispe, ce monde qui laisse de moins en moins de place à l’altérité, bougeant les lignes grâce au pouvoir de ses mots, à l’impact de ses rimes militantes et de ses mélodies chaleureuses. Après deux décennies passées sur les routes d’ici et d’ailleurs, à chauffer à blanc toutes les salles, à transformer toutes les arènes en magma bouillonnant de bonnes vibrations, le collectif parisien n’a rien perdu de sa force, de son envie. Hors de question de baisser la garde, de laisser de vilaines petites odeurs s’installer, de laisser la crise s’installer en nous sans rien faire, alors avec sa musique métissée, son humanisme sincère et le désir de dire les choses comme elles viennent, Danakil revient mettre un peu d’espoir dans nos journées un peu trop sombres depuis deux ans. Et ça tombe bien car s’il y a bien une chose que le groupe sait faire, c’est ré-enchanter notre monde en musique, en y mettant beaucoup d’harmonie et des rythmes capables, en même temps, d’éveiller nos consciences tout en nous faisant bouger. Et puisque, avec eux, rien ne se tait, quoi de mieux que de repartir en live pour céder à leurs douces vibrations et, ensemble, décréter que l’on n’a pas forcément envie d’être sérieux quand on a 20 ans !
DIMANCHE 30 OCTOBRE
Une nouvelle génération de musiciens virtuose à ses côtés, tous issus de la prestigieuse Sonoma State University, le professeur Harrison Stafford a décidé, après quelques années de side-projects, de remettre la machine Groundation sur de bons rails, ceux d’une musique qui sait si bien envoûter les corps tout en éveillant les consciences, de ce reggae teinté de jazz, latino, funk ou world qui bouscule nos sens et nous offre, autant sur album qu’en live, des expériences totalement hors du commun. Presque 25 ans après sa création, le groupe californien n’a rien perdu de sa puissance, de sa pertinence, dans un monde qui a trop tendance à perdre ses valeurs, à oublier d’où il vient pour ne pas penser à où il va. Harrison Stafford, lui, sait que le chemin qu’il emprunte depuis deux décennies est le bon, celui qui peut fédérer les âmes et énergiser les coeurs. De retour avec un nouvel album – le dixième – de Groundation, «One Rock», dans lequel, sous la houlette du mythique ingénieur du son Jim Fox, il invite les légendes que sont Israël Vibration, The Abyssinians ou The Congos, il peut à nouveau nous surprendre et nous combler avec ses mélodies au groove implacable et à l’énergie positive communicative.
Pour un gladiateur du reggae roots tel que Clinton Fearon, la musique n’est pas chose futile ou éphémère, c’est l’essence même d’une vie, son sel et son moteur, cet air que l’on respire et que l’on partage. Comment pourrait-il en être autrement pour celui qui, depuis qu’il a intégré il y a plus de cinquante ans The Gladiators en tant que bassiste chanteur, porte haut le drapeau d’un reggae qui résonne comme un appel à l’amour et à la fraternité, une musique comme un sourire permanent porteur d’espoirs et de bonheur. Cœur et âme appartenant à cette vibration sublime, Clinton Fearon poursuit inlassablement son chemin, s’inscrivant, page après page, dans l’histoire du reggae. S’il jette un regard lucide, et parfois pessimiste, sur le monde tel qu’il est, c’est pour mieux célébrer la vie et, à son échelle, transmettre au plus grand nombre un message de paix et de respect, pour la terre qui nous porte, pour les autres qu’ils nous soient semblables ou pas, pour ces valeurs positives qui permettent à l’humanité de ne pas sombrer.
Super Barbecue Party s’est dit qu’il était temps de mettre un petit rayon de soleil dans nos vies…
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Hey, vous savez quoi, il parait que nous sommes en automne, que les choses empirent et que la dépression nous guette à grands renforts de virus, de mauvaises nouvelles et d’avenir bouché !… Vous aussi vous le ressentez ?… Vous aussi vous vous dites qu’il est temps de casser la spirale infernale et retrouver un peu de bonne humeur ?… Pour autant, vous n’êtes pas encore totalement prêts à vous faire l’intégrale de Benny Hill en version originale non sous-titrée !.. Qu’à cela ne tienne, Super Barbecue Party a la solution pour vous… Si, si, et elle a même un nom : « Hey babe »… Comment ça vous n’y croyez pas trop ?!… Vous avez tort car il y a là tous les ingrédients pour vous faire bouger le popotin et remettre un petit sourire sur vos visages renfrognés. Un rythme chaud caliente qui tient autant du zouk que du reggae, des paroles légères comme le vent d’été, du soleil dans la voix et la musique, un bob sur la tête et le fabuleux combo sandales chaussettes aux pieds, et, surtout, un énorme second degré avec doublure intégrée d’auto dérision, que l’on sait, après « C’est l’été », être la marque de fabrique du duo breton, franchement que demander de plus pour ouvrir un petite fenêtre d’insouciance et faire le plein d’amour alors que nos jours sont de plus en plus sombres ?!
Yaniss Odua revient avec un nouvel album et un premier extrait hommage à Marley…
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Plus les moments sont difficiles, plus notre ciel est sombre, plus il est nécessaire, vital même, de faire le plein de bonnes vibrations, de se laisser porter par quelque mélodie ondulante et positive, de s’abreuver à la source d’une vibration d’amour et de partage. C’est bien pour cela que pour égayer notre quotidien, il faut des artistes tel que Yaniss Odua histoire de pouvoir, de temps à autres, remettre une bonne énergie dans notre esprit et dans notre corps… D’autant plus lorsqu’il s’allie, comme c’est le cas pour ce « Chant de l’humanité » à Manudigital pour nous offrir une ode au reggae et à Bob Marley. Avec un tel groove aussi planant et ces quelques mots qui nous touchent en cette période troublée, on ne peut que se laisser prendre au piège de cette force douce, de cette énergie solaire et, grâce à elles, envisager demain sous le signe du bonheur et de la positive attitude…
Pierre Nesta ouvre une fenêtre pour que notre besoin de lumière soit enfin assouvi…
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Parce que les temps sont troubles, parce qu’au nom d’un nécessaire besoin de sécurité personnelle peu à peu la tentation de grignoter nos libertés individuelles et de groupe se fait plus forte, parce que les discours parfois cachent de sombres nuages derrière leurs jolis mots, nous avons besoin d’un peu de lumière, d’une parole qui vient déchirer le rideau de nos consciences comateuses, de mots qui viennent, quand le besoin s’en fait sentir, nous rappeler deux trois notions de base. Nul besoin de grands effets de manche, de surenchère visuelle ou sonore, il suffit, comme nous le prouve Pierre Nesta dans son nouveau clip « Besoin de lumière » d’une guitare, d’une délicate mélodie reggae, d’un stylo pour coucher les maux de notre époque sur une feuille blanche, d’une bougie pour éclairer l’obscurité du moment, et de talent, ce dont il ne manque pas, loin de là. Avec ce clip en clair-obscur tout en douceur reggae, Pierre Nesta donne paradoxalement un bon coup de pied dans la fourmilière de notre quotidien enfermé, et nous rappelle, en quelques lignes, que la patrie de Rousseau et Voltaire mérite mieux qu’une anesthésie générale plus ou moins consciente.
Notre été aura un peu moins de bonnes vibrations sans le Reggae Sun Ska
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C’est chaque année l’un des plus beaux – et le plus ancien – rendez-vous reggae de la planète France. Envers et contre tout, survivant aux tempêtes et autres déménagements à répétition, le Reggae Sun Ska a fait vibrer nos étés depuis 22 ans. Sauf que le virus aura été plus fort que la passion et l’espoir… C’est donc le cœur gros que l’équipe du festival a communiqué son report à l’an prochain… Une larme de plus qui coule sur notre joue…
Dans ce monde déboussolé, certains rendez-vous sonnent plus agréablement à nos oreilles que d’autres, peut-être parce qu’ils font résonner en nous des rythmes plus festifs, plus chaleureux, des sons capables de nous embarquer pour un trip qui donne envie de bouger, de sourire, de se câliner… Et quoi de mieux qu’un peu de pop urbaine aux accents dansants de souk, kizomba et ragga pour nous inciter à chalouper nos minutes étourdies, quoi de plus frais que de se laisser porter par le mix entre le flow de K-Misa et la douceur caressante de Mélina pour prendre « Rendez-vous avec la Lune » et se dire qu’il fait bon laisser le corps un peu exulter quand vient le temps de rester entre quatre murs. Quelques notes qui frappent doucement les tympans et mettent un peu de soleil dans le quotidien, franchement, on se demande bien qui pourrait passer à côté volontairement… En tout cas, ce titre, dont on doit la mélodie hyper efficace à Thierry Doumergue (Kassav), a largement le potentiel pour ambiancer notre été, si tant est qu’on nous laisse le droit de remuer nos corps en groupe à ce moment-là !