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Après la nuit vient l’aube, après les ténèbres surgit toujours la lumière qui vient balayer les nuages sombres accumulés au-dessus de nos têtes, pour casser ces murs de frustrations que l’on a érigé plus ou moins consciemment autour de nous. Et parce que l’inconnu ne doit pas être synonyme de peur, l’imagination doit alors prendre le pouvoir afin que rien ne vienne contrarier l’inexorable marche en avant de cette renaissance annoncée. Il suffit dès lors d’une petite mélodie entêtante telle que « Dawn » pour que notre trip immobile prenne des allures de virée au grand large, de quelques notes prenant leur envol pour qu’à leur suite on puisse s’évader, oublier quelques instants que nous sommes peu de choses face à la puissance d’une nature que l’on croit inconsidérément pouvoir dompter ou façonner à notre guise. Ainsi accompagné délicatement on peut se laisser aller et, sur la douce injonction de OhNewDawn, rester chez soi pour embrasser l’aube d’un jour nouveau, forcément meilleur, forcément plus conscient…
