Quand la vibration envoûtante du violoncelle des finlandais d’Apocalyptica rencontre la voix sublime et magistrale de Simone Simons, la chanteuse d’Epica, cela donne un titre tendrement mélancolique, puissamment troublant. Rien à faire, juste fermer les yeux et se laisser porter par la mélodie soyeuse que cette rencontre propose, juste s’envoler au-dessus des nuages et se sentir bien. Il y a comme ça des titres qui, sans être techniquement impressionnants, nous laissent sans voix, avec juste un petit sourire au coin des lèvres.
Une fois de plus, Eicca Toppinen, Paavo Lötjönen, Max Lilja et Perttu Kivilaakso nous offrent un petit bijou, dentelle mélodique qui n’incite pas vraiment – comme tant d’autres de leurs titres – au massacre de cervicales mais, bien au contraire, à une douce errance intérieure sublimée par le timbre de la frontwoman d’Epica. De quoi nous donner une furieuse envie d’aller les (re)voir sur scène lors de leur prochaine tournée – en approche rapide – qu’ils feront en compagnie d’Epica… La boucle est bouclée, ce titre sera donc sûrement à écouter sur scène… et l’on en est fort contents !
7 février : PARIS / Zénith
8 février : TOULOUSE / Le Bikini