Hadmos – « Y’a rien à faire »

Y’a rien à faire, la petite mélodie amoureuse de Hadmos traine en tête…

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« Y’a rien à faire », quand l’alchimie est là ou plus, quand les corps sont las et se délassent, quand l’amour s’en va et s’en vient, le bras de fer est souvent de la partie entre la chair et l’esprit, sans que l’on sache réellement qui va gagner. Y’a rien à faire, quand on a quelqu’un dans l’âme, dans le corps et le cœur, difficile de l’oublier, de s’en séparer, comme une ritournelle qui tourne et tourne dans la tête… Ou peut-être pour que cela s’arrête, si tant est que l’on en ait envie, suffit-il juste, comme Hadmos, de poser quelques mots sur une feuille blanche et les habiller délicatement d’une mélodie envoûtante, pour que tout soit plus simple, plus facile…

 

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ThéOphile – « Pars »

Pars et ne reviens jamais nous dit ThéOphile… Si c’est en sa compagnie, rien de plus facile et agréable !

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Des mots sur le fil, qui disent le je et le nous, au passé ou au présent, peu importe pourvu qu’on ait l’ivresse, celle de ces têtes qui s’agrippent à l’espoir, de ces corps qui comptent encore sur l’amour, des mots qui s’échappent, accélèrent ou au contraire se posent doucement sur la peau de nos réactions exacerbées, des mots qui se parent d’une poésie forte et frêle pour nous prendre par la main et nous emporter dans une folle épopée musicale, celle d’une injonction, « Pars », que nous fait ThéOphile sur fond de synth-pop, avec cette pointe de lyrisme délicat et de théâtralisation vocale qui nous donne envie d’y succomber, d’en accepter les termes quels qu’ils soient et de partir en sa compagnie vers le bord du bac à sable où les pauvres étourdis que nous sommes imaginent être libres. Alors, oui, partir, ne jamais revenir, pour peu que la bande-son de notre évasion soit signée ThéOphile !

 

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Ann – « Les gens pressés »

Au milieu des gens pressés, Ann sera bientôt prête pour accueillir des regards bienveillants..

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Dans un monde qui va trop vite, qui jamais ne s’arrête, parfois l’on a besoin d’un peu de temps, d’un regard bienveillant, des mots rassurants, juste pour briser le flot ininterrompu des vagues de « gens pressés », juste pour se sentir mieux, pour être enfin à sa place et, comme Ann, trouver le chemin qui va vers une forme de plénitude et d’apaisement. Dans ce monde fou, peut-être suffit-il d’une mélodie pop dans l’ère du temps pour embarquer dans ce voyage vers cet inconnu capable de nous rendre meilleur, de nous faire franchir tous les obstacles et, même parmi les gens pressés, faire partie de l’univers…

 

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Sonia Morlet – « Encore »

Dans notre ultramoderne solitude assoiffée d’amour, Sonia Morlet cherche l’amour « encore » et encore…

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Dans nos vies d’ultra-moderne solitude, parfois arrive le moment où l’on se retrouve seul(e), perdu(e), en quête de cet absolu que l’on aimerait trouver mais qui, dans un petit coin de notre esprit, nous fait peur. Alors, on cherche, on papillonne, on se cogne de temps à autres à quelques murs mais jamais l’on ne se résigne, on s’imagine, on se devine, quelques fois même on s’abandonne et, ce faisant, on croise les doigts pour tomber sur la femme ou l’homme d’une vie. Eternel humain que cette recherche éperdue de l’amour, le vrai, le pur, celui qui fait battre les cœurs et met des fourmis dans le ventre, éternelle source d’inspiration pour ces chansons qui peuplent nos quotidiens depuis des siècles.  Avec « Encore », Sonia Morlet s’inscrit donc dans cette longue tradition et le fait de fort jolie manière, avec des mots universels qui trouvent un écho en nous, une mélodie à contre-pied, presque joyeuse, dansante, et une voix, magnétique et profonde, aussi douce que puissante, qui donne de jolis frissons. A n’en pas douter, voici un titre que l’on a envie d’écouter encore et encore…

 

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Vali Mosa – « T’écrire une chanson »

Quelle plus belle façon de dire je t’aime que d’écrire une chanson pour le faire ?…

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Ecrire quelques mots, simples, presque naïfs dans ce monde de brutes où l’apparence et la provocation semblent être devenus l’alpha et l’omega du dialogue, quelques lignes sorties du cœur, sans fard et sans effet, juste pour dire ces évidences que trop longtemps, trop souvent, l’on s’est interdit de prononcer, quelques notes douces pour porter ces rimes au-dessus des toits, pour les propulser le plus haut possible en espérant qu’elles iront loin, là où une oreille, une âme, un cœur, seront à même de les recevoir et d’en tirer quelque petit bonheur. N’est-ce pas, finalement, le but de toute chanson ?… Exprimer avec sincérité une (ou plusieurs) émotions et essayer, délicatement ou pas, de la partager. En tout cas, c’est ce que nous offre Vali Mosa en nous offrant cette chanson qui parle d’amour avec une désarmante simplicité, qui met des mots doux sur nos sentiments, qui porte cette émotion délicate que l’on a tous plus ou moins ressenti un jour. Alors, vu du ciel, on se dit que « T’écrire une chanson » est sans nul doute le plus beau moyen d’exprimer un amour pour un autre, quel qu’il soit, et de dire tout ce que l’on ressent lorsque l’on a la chance de vivre ces milliers de frissons.

 

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Hemaihin – « Je danse seul dans le noir »

Lorsque le spleen fait son nid en vous, faites comme Hemaihin, laissez-vous porter par la musique et dansez seul le soir…

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Certains jours, certaines nuits, peu à peu nous étreint une douce mélancolie sur laquelle on aimerait, souvent, mettre des mots, des notes de musique, pour qu’elle soit plus douce, plus enivrante, plus étourdissante. Encore faut-il réussir à trouver celui ou celle qui saura traduire avec élégance et délicatesse cette tonne de « je n’veux pas », tous ces espoirs déçus ou encore vivants, ces costumes trop grands pour nous que l’on a malgré tout enfilés pour faire comme si, pour espérer être à la hauteur. A n’en pas douter, « Je danse seul dans le noir » de Hemaihin pourrait fort bien remplir cet office tant ici les mots, sombres et apparemment désespérés, se trouvent magnifiés par une orchestration magnifique, ample et lumineuse, contre-pied parfait de cette virée mélancolique au cœur d’un univers personnel qui semble plus empreint de noirceur que d’espoirs fous, où les petits riens remplissent l’existence sans forcément apporter de grandes joies. Avec ce titre, le franco-canadien Hemaihin se place avec un talent fou dans cette famille si exigeante de la chanson française où l’atmosphère née des mots se doit d’être élégante et les mélodies, pour enjouées ou amples qu’elles soient, se mettent au service d’un magnifique spleen… Beau et sombre à la fois, « Je danse seul dans le noir » nous embarque dans un sublime voyage dans une humeur noire où perce, ici ou là, quelques rais d’une lumière chaude et rassurante. Ne sortez pas les mouchoirs, laissez-vous juste porter par la poésie de cette merveilleuse chanson !

 

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Pauline Chagne – « Orange Sanguine »

Pauline Chagne épluche son Orange Sanguine pour nous…

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S’il y a bien une chose que le journaliste mâle que je suis appréhende de très très très loin, ce sont ces règles qui, une fois par mois pendant de longues années, viennent perturber le cours normal de l’existence féminine. Quand bien même nous, membres de la gent masculine, pouvons comprendre et voir ce que cela implique chez nos compagnes complices, jamais nous ne pourrons le vivre, tout simplement. Peut-être est-ce pour cela que, sans que l’on ne s’en rende compte, ce sujet très rarement, voire jamais, fait la une de nos journaux et intègre les créations artistiques, évoquant plus un tabou plus ou moins inconscient qu’un sujet dont on pourrait s’occuper. Rendons donc grâce à Pauline Chagne de prendre à bras le corps cette expérience quasi universelle et de tordre le cou en douceur et sur un petit air pop qui nous rappelle les années 80/90. Avec humour et sans pudeur aussi idiote que dogmatique, son « Orange sanguine » montre sans démontrer, parler sans imposer, se joue de l’imagerie collective et opte parfois pour le subliminal, sans jamais verser dans le scabreux ou le vulgaire. Comme quoi, il est encore possible de parler d’un sujet aussi intime que tabou avec humour, tendresse, sensualité même, avec une douceur et une légèreté synonyme d’universel et de plaisir. Les garçons que nous sommes ne peuvent qu’en être soulagés, en sourire enfin et l’en remercier !

 

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Bolivard – « Sauvons »

Avec Bolivard, sauvons nos vies avec le sourire…

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On pourra reprocher ce qu’on veut à Bolivard mais s’il y a bien une chose que l’on peut lui accorder c’est de rester focus sur les grands problèmes de ce monde. D’ailleurs, c’est bien parce qu’il a une conscience quasi universelle des maux de notre société qu’il a décidé qu’il fallait agir et qu’à la face du monde civilisé il murmure un « Sauvons » aux allures d’inventaire à la Prévert. Car qu’on se le dise – et certains après les derniers scrutins le vivent plus cruellement que d’autres – il y a des valeurs fondatrices de notre pays qui sont menacées. Liberté, unité, diversité, démocratie, économie, migrants, hôpitaux, animaux, il y a tant de choses à sauver pour que tout aille mieux, tant de valeurs qu’il nous faut à tout prix sauvegarder, tant de petites choses futiles qu’il faut aussi considérer comme importantes car finalement c’est peut-être dans ces petits riens que nous faisons le grand vide de nos vies. On pourra reprocher, si on le désire, si l’on a un mauvais esprit, ce que l’on veut à Bolivard mais au moins on peut lui accorder de nous offrir ici une chanson qui fait sens tout en ne se prenant pas au sérieux, qui nous fait sourire tout en nous rappelant deux trois concepts importants… Reste qu’il a oublié quelque chose en cours de route car, comme le disaient fort bien les Vampires en leur temps, quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, toujours sauvons les carottes rappées !.

 

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Saint-Lazare – « Beautiful day »

Aujourd’hui nous sommes là pour vivre pleinement un beautiful day aux allures de balade nostalgique dans un passé heureux…

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On a chacun une définition du bonheur, de ces jours heureux qui passent et parfois laissent en nous des traces indélébiles. Pour Saint-Lazare, ce « Beautiful Day » ressemble à une enfance emplie de joie, de jours chaleureux ou enneigés, des années que l’on voit passer sans heurt, accompagné, épaulé, aimé par des parents merveilleux, ces moments suspendus que l’on a tous plus ou moins connus et que l’on aimerait, trop souvent, lorsque la vie nous a cognés plus que de raison, vivre à nouveau. Une chanson comme un parfum oublié qui d’un coup revient dans notre esprit et comme une madeleine de Proust fait couler en nous un flot d’images joyeuses et nostalgiques, de réminiscences d’instants trop vite évanouis, instillant en nous l’envie plus ou moins consciente de les revivre, d’avoir à nouveau une vie douce… Alors oui, ce jour merveilleux est une quête qu’il est agréable de mener, surtout quand on le fait en se laissant porter par une petite mélodie telle que celle de Saint-Lazare…

 

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Erik Karol – « Ce que l’on vous a fait »

A tous ceux qui ont envie de passer du côté obscur, Erik Karol exhorte de ne pas faire ce que l’on vous a fait…

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Du fond du chaos, parfois, émerge une voix, ligne directe pour prendre conscience de choses que notre esprit, trop souvent, refuse de voir ou d’accepter, petite lumière dans la nuit la plus noire qui soit, celle de nos sociétés aveugles et sourdes. Cette voix, aujourd’hui, c’est celle d’Erik Karol qui vient tenter de nous sortir de cette douce léthargie dans laquelle nous nous sommes volontairement plongés. Car dans son regard, il y a ces pestes brunes qui peu à peu grignotent nos horizons, ces croyances dont on se sert toujours pour justifier l’infâme et faire oublier que derrière se cachent toujours la plus vile des politiques, des guerres que l’on fait sans plus rien y comprendre, sans même savoir pourquoi et pour qui on continue à les mener. Dans ses mots, il y a ces enfants, ceux que l’on voit et ceux que l’on a été, qui restent notre seul espoir et à qui on a envie de hurler, comme Erik Karol peut le faire sur une mélodie rock abrupte et sèche, de se souvenir des genoux écorchés et surtout, surtout, de ne jamais faire aux autres ce « que l’on vous a fait »… Puisse ce message être entendu même si, par pessimisme primaire, on pensera que cela tient plus de l’utopie que d’une réalité à venir !

 

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Lambert Corsi – « Drapeau »

Comme un drapeau brandi haut dans les airs, Lambert Corsi grave l’amour à l’encre d’une peau rêvée…

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Sur la peau laisser une trace de sa vie, avec ses courbes et ses déliés, ses blessures plus ou moins secrètes et ses joies plus ou moins grandes. Sur cette peau qui vibre et porte les stigmates de tous ces mots qui dorment en nous, se dire qu’il n’existe aucune limite à toutes ces propositions tracées fait de chair et de sang, chercher à découvrir tous les secrets que l’on cache en les exposant au plus grand nombre. Sur sa peau écrire à la faveur de l’aiguille un à un les chapitres de l’histoire d’une vie, tous ces maux qui montrent que sa nature a toujours horreur du vide. Sur sa peau, laisser les notes tendrement pop de Lambert Corsi glisser, s’accrocher un instant puis repartir, ses mots imprimer le désir et la beauté des sentiments, quelques lignes gravées à jamais pour porter haut ce « drapeau » où sont croqués ces mots qui gravitent autour du passé, du présent et de l’avenir, et fascinent le fond de ses pensées lorsqu’une guitare se fait entêtante et enivrante. Alors, à l’encre de des peaux conjuguées peut de dessiner le tableau d’un accord majeur où chaque couleur scelle notre sort…

 

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SUPERMUSIQUE – « Dimanche soir »

SUPERMUSIQUE se demande bien comment transformer un dimanche soir en moment de bonheur…

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Dans la vie il y a ceux qui manifestent contre les dérives les plus folles du monde, ceux qui s’investissent dans les causes les plus humanistes, parfois même croise-t-on des individus peu recommandables qui œuvrent pour le côté obscur de la Force. Et puis, peut-être plus proches de nos préoccupations quotidiennes, il y a quelques personnes qui, elles, préfèrent se pencher sur ce « dimanche soir » (qui d’ailleurs pourrait être un autre jour) qui se décline en mode pizza amoureuse, ce petit rien gastronomique qui comble le vide de nos soirées affamées, cette ancestrale pâte qui invite au voyage autant qu’elle remplit le ventre. Car, oui, SUPERMUSIQUE a bien raison de penser – et de nous le chanter sur un doux fond musical et avec un brin d’auto-dérision, qu’il n’y a rien de meilleur que passer un dimanche soir avachi sur son canapé, à mater un film au scénario tenant sur un ticket de métro, et déguster en duo un morceau triangulaire de ce chef d’œuvre de la gastronomie italienne. Le seul problème de leur petite chanson (presque) anodine aux sonorités pop électro à deux voix, c’est qu’en plus d’être fort gouleyante à l’oreille et apte à dessiner un petit sourire ravi sur le visage, son écoute un tantinet intensive donne quasi obligatoirement une envie de 4 fromages !… En somme, avec « Dimanche soir », SUPERMUSIQUE invente la musique qui fait grossir !

 

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8821 – « La tête en l’air »

8821 préconise à tous ceux qui croisent son chemin de toujours garder la tête en l’air…

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Lever « la tête en l’air » et se dire que la vue n’est pas si mal, que, finalement, 8821 a bien raison de vouloir tourner le dos à l’ordinaire, de chercher à ne plus se satisfaire de ce flot d’informations tellement dense qu’il n’en a plus de sens. La tête en l’air, sur une petite mélodie toute tendre, il sème des petites miettes de bonne humeur et de gaieté, loin des schémas anxiogènes, avec cette naïveté que peuvent avoir les enfants – même lorsqu’ils ont su devenir des adultes sans perdre leur âme et leurs rêves ! – et qui leur fait voir la vie avec mille couleurs joyeuses. La tête en l’air, il chante sa petite ritournelle, comme pour éloigner ces vents mauvais qui veulent à tout prix transformer nos jours heureux en cauchemars connectés, pour faire fuir ces impératifs de performances permanentes qui ne visent qu’à nous rendre malheureux. La tête en l’air, le cœur léger, il nous prend par la main pour nous emmener sur son chemin rempli de jolies fleurs d’été, de songes enfantins et d’histoires à dormir debout. A l’évidence, il prend le temps de vivre et il a bien raison. Il ne nous reste plus qu’à faire comme lui pour de nouveau nous sentir bien…

 

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Naëli – « Nous »

Naëli met ses mots au service de l’amitié…

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Parce que c’est « nous », parce que c’est elle, parce que c’est ils et je, parce qu’il est bon de temps à autres de dire à ceux que l’on aime, d’amour ou d’amitié, ce que l’on ressent, parce qu’il suffit d’une petite mélodie toute simple à la guitare délicat soutien d’une voix qui nous susurre joliment des mots qui unissent, qui rassemblent, qui disent la beauté de cet autre qui nous ressemble ou pas, de cet autre avec qui l’on est lié du début à la fin. Parce qu’il suffit de quelques volutes mélodiques, celles de Naëli, pour se rappeler tout ce que des amis peuvent partager, des rires et des larmes, des sourires et des peurs, de la douceur ou du chaos, des tempêtes et de la tendresse, des défauts et de l’oubli, des petits riens qui font un grand tout, ce centre de gravité où l’on finit toujours par revenir, malgré le temps qui passe, malgré les aléas et les tracas du quotidien. On ne saurait trouver mieux pour célébrer l’amitié en ces temps où ce sont plutôt les clivages qui ont le dessus !

 

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