Jessevanhorn – « La Hype »

Vous reprendrez bien un peu de eighties…

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Années 80. Quelque part sur la Terre. Les filles étaient belles et personne ne pouvait penser qu’un jour la liberté chèrement acquise de montrer son corps pourrait être remise en cause. Les mecs étaient musclés – ou pas, chevelus – ou pas – mais n’hésitaient pas à exhiber les attributs de leur génération, fut-ce une coupe mulet du plus bel effet. La musique était sans complexe et ne se la jouait pas intello, privilégiant les sensations immédiates et dédaignant cette future « hype » qui allait transformer tout ça en gigantesque foire aux égos dépressifs. Années 80, temps béni – en tout cas pour ceux qui l’ont connu ! – où tout semblait possible, où l’on pensait encore un peu partout dans le monde que l’on allait changer la vie. Sans nostalgie aucune, ou presque, on se dit qu’il ne serait pas pire de remettre les compteurs à zéro et repartir du côté de cette flamboyante époque où l’on imaginait qu’on pouvait faire danser les filles et les garçons sans contrefaçon. Alors, pourquoi ne pas prendre un petit shoot de eighties en compagnie de Jessevanhorn, en douceur et en groove funky, juste pour le plaisir de laisser ses yeux se remémorer toutes ces images qui ont baigné notre décennie 80… Allez tous en body string et laissons-nous envahir par la hype…

suivre Jessevanhorn sur le web : www.jessevanhorn.com

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Pampa – « Sphynx »

Suivez le voyage fantastique de l’enfant fou…

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Le « Sphinx » n’attend pas. Foulant la terre aride d’une île mystérieuse où règne le roi Gana, ses pas le mènent là où une mélopée hypnotique l’appelle, là où se croisent et s’entre-croisent les sonorités, les influences, transe africaine contre rythme funky, envoûtement d’une voix scandant quelques mots pour fendre la nuit de nos inconscients.  Alors, puisque le Sphinx ne dort pas, cherchant encore et toujours par quelle magie l’enfant fou est arrivé là, pourquoi ne pas, à notre tour, répondre à son invitation et partir à suite à la découverte de ce rêve halluciné qu’il semble dessiner à petits coups de notes tour à tour planantes ou éminemment groovy. Nul besoin d’enfiler un costume particulier, de prendre un quelconque moyen de locomotion aussi onéreux que polluant, il suffit juste de se laisser porter par la savante mélodie de Pampa pour connaître l’ivresse de ce voyage immobile et l’étourdissement de ce rêve coloré…

suivre le groupe sur FB : pampalegroupe

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MamaKilla – « Touché »

Avec « Touché », MamaKilla coule nos envies de repos…

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Dans un voyage en Absurdie qu’ils ont fait un soir de conscience, deux mâles rockers, au demeurant non obtus ou sectaires au quotidien, ont imaginé sans complexe qu’au matin suivant ils pourraient changer de sexe et, ainsi, vivre l’étrange drame, comme disait un poète subtil du siècle dernier, d’être une femme… Dans cette plongée en apnée dans l’existence souvent joyeuse mais parfois, et #Metoo nous l’a montré cruellement ces derniers mois, juste insupportable, MamaKilla choisit ses armes de prédilection, une guitare incisive qui crache les riffs comme d’autres enfilent des perles, une rythmique puissante, qui souligne à la perfection la dureté du propos, des mots – en anglais certes mais pas si difficiles que cela à comprendre et assimiler ! – qui savent appuyer là où ça gratte, là où cela fait mal, juste pour que chacun puisse être « touché » par cette récente dérive des continents et prenne ainsi conscience qu’au-delà des critères de beauté – ô combien subjectifs -, des objectifs et attentes – forcément, trop forcément – différents, de ceux qui prennent leurs désirs, leurs fantasmes, pour des réalités, il y a une constante immuable que chacun devrait avoir en tête pour que ce monde aille mieux, pour que le respect soit enfin la norme et de ce fait la vie en communauté plus agréable, l’homme en fait n’est qu’une femme comme les autres !

 

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Jaye – « Déjà vu »

Jaye nous entraîne au cœur du déjà-vu amoureux

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Sous quelque latitude que ce soit, à quelque période que ce soit, les sentiments amoureux sont toujours les mêmes, éternel humain qui espère autant qu’il redoute, qui fait des choix parfois difficiles  en sachant que l’être aimé sera toujours là pour réconforter, soutenir, porter… Eternel être pétri d’amour prêt à tout, même à traverser le temps pour être avec celle qu’il aime, celle qu’il a si peur de perdre. Ainsi en est-il de ce que Jaye, en provenance de Singapour, nous conte dans sa ballade romantique « Déjà Vu »,  belle déclaration d’amour à celle qui fait vibrer son coeur, sans qui il ne pourrait vivre et ouvre une porte vers la lumière au quotidien… Comme quoi, peu importe où l’on se trouve sur le globe, l’amour reste encore et toujours notre plus beau et puissant moteur créatif…

 

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Ilia – « Sonne l’Hallali »

Ilia « sonne l’hallali » entre ombre et lumière…

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Sans se soucier de rien se laisser porter par les volutes d’une voix aérienne, plonger à corps perdu dans un ouate juste déchirée par instants par quelques percussions envoûtantes, courir les bois à la recherche d’une essence mythique, réelle ou imaginaire, se laisser submerger par la poésie de l’instant, pure et limpide, d’une chanson où les mots s’enroulent autour de notre esprit pour nous transporter et nous propulser dans un onirisme merveilleux… Suivre sans se poser de questions la trace d’Ilia, se mettre à genoux et accepter qu’elle « sonne l’hallali » de nos rêves évanouis et trouble nos sentiments les plus fous, les plus forts, et se perdre dans l’univers captivant qu’elle nous propose, monde merveilleux et organique où l’ombre et la lumière se mêlent harmonieusement pour nous inviter au voyage. Beau et fort à la fois, un moment de grâce à déguster encore et encore jusqu’à la transe !

 

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Les Idiots – « Funérailles »

Moi j’aimerais bien que les Idiots viennent à mes Funérailles

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Tout le monde le sait, un enterrement ce n’est pas super super gai. Enfin, pas toujours, pas souvent. On y voit des gens qui font la gueule, des larmes qui coulent, des tristes mines. Et puis, de temps en temps, rarement, on a quelques énergumènes qui, même entre quatre planches de sapin, font leur intéressant en nous invitant à faire la fête, boire du vin rouge entre copains en perfecto et copines en talons, faire un gigantesque wall of death histoire de faire trembler la terre et chavirer les nuages. Dans ces « Funérailles » d’Idiots, on ne se quitte pas vraiment, on préfère finir sous la table plutôt qu’au ciel, on célèbre la vie à grands coups d’accordéon et de guitare et la mort en sifflant un air léger comme un pinson bourré. Avec ces trois-là, nul besoin d’opium pour planer, il suffit d’une nuit blanche, de quelques amis et d’un peu de musique pour que tout, même un enterrement, prenne un air de fête. A nous de faire le reste et de taper du pied le plus fort possible pour que ces Idiots géniaux nous entendent, même pas morts et enterrés, et reviennent vite nous voir avec un autre petit bijou à l’image de celui-ci…

 

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Sam Frank Blunier – « Des questions »

Sam Frank Blunier nous pose des questions…

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Il y a ceux qui posent des questions, plus ou moins passionnantes, plus ou moins pertinentes, plus ou moins belles. Et puis il y a ceux qui traversent la vie sans réponse, se contentant de courir après demain, après une femme ou un avenir incertain, touchent le plafond des bas-fonds et écoutent rire ceux qui sont partis encore plus loin sur le chemin de l’inconscience. Au milieu de cette foule anonyme, quelques individus se posent et, immobiles, observant les princesses de la foule fendant leur moderne solitude, les chevaliers de l’oubli qui hésitent entre aimer et combattre, tous se demandant à quelle heure est l’amour !… Autant de « Questions » que pose Sam Frank Blunier d’un verbe tout sauf anodin, lui qui cherche à savoir si l’on peut entendre de l’intérieur, si ces sourires perdus ici ou là peuvent un jour se retrouver dans les yeux de celle que l’on aime, s’il suffit de croire pour accéder au grand accélérateur de particules élémentaires… Qui sait, peut-être aura-t-on quelques éléments de réponse, ou quelques questions de plus, dans ce « Mystic Senor » qu’il nous invite à découvrir séance tenante comme une bouteille à la mer de nos incertitudes sauvages…

 

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James Z – « Authentic »

Avec « Authentic », James Z nous balance un son qui claque autant qu’il envoûte…

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Qui a dit qu’il fallait forcément rester dans des chemins balisés et habituels pour attirer l’attention ?… Personne et surtout pas nous qui adorons découvrir de nouveaux sons, des artistes qui font un pas de côté ou prennent carrément un sentier décalé. Comme par exemple James Z et son groove urbain qui nous balance aujourd’hui un « Authentic » son pur, une errance magnifique où l’urgence pointe sous la nonchalance, où le flow caresse, ensorcèle, subjugue autant qu’il déstabilise en étant sur le fil, presque en rupture. Loin de ce que nous offre la scène française, il pourrait s’inscrire – et pas que parce qu’il chante en anglais ! – dans cette mouvance anglaise qui privilégie l’émotion et les sensations, qui sait nous embarquer – comme il le fait ici avec son superbe clip manga ! – dans un trip sous acide, où les sons se mêlent intimement aux images pour nous faire décoller et nous procurer moult émotions fortes. A n’en pas douter, James Z ne fait rien comme tout le monde, mais il le fait tellement bien qu’on est sous le charme !

 

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Karin Clercq – « Le meilleur qui nous reste »

Karin Clercq invite Alfred de Musset pour nous conter ce « meilleur qui nous reste »…

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Il parait qu’en ce bas monde il faut aimer beaucoup de choses, être curieux, ouvert à la nouveauté, pour peut-être savoir ce que l’on aime le mieux, ces petits riens et ces grands tout qui font le sel de l’existence, il paraît qu’il faut avant d’être devenu vieux avoir beaucoup pleuré, avoir senti son cœur vibrer de multiples fois, avoir su fouler au pied des fleur à peine écloses pour mieux s’être trompé… Alors, quelques notes de piano pour venir accompagner notre spleen magnifique, il faut, pour mieux rêver à demain, se laisser porter par la voix envoûtante de Karin Clercq et, avec elle, rencontrer les mots d’Alfred de Musset pour devenir enfin immortels. Plus le temps passe et plus l’on en sait rien… ou plutôt plus les minutes essoufflées succèdent à nos heures placides, plus l’on peut se dire que le « meilleur qui nous reste », c’est cette chance de pouvoir découvrir ou redécouvrir des artistes telle que Karin Clercq, les suivre dans leurs périples musicaux et peu à peu toucher du doigt l’ivresse et la beauté d’une métamorphose artistique…

 

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Nikolaj Grandjean* – « Seven wild horses »

En quête de bonheur personnel, chevaucher les « Seven wild horses » de Nikolaj Grandjean*

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Le long d’une nuit sans saveur, courir à en perdre haleine, fuir sans trop savoir quoi, peut-être pour oublier l’amour ou au contraire y penser encore plus, ouvrir son corps et ses bras  à ces mots sauvages qui parfois heurtent parfois rassurent, ces choix cruciaux que d’autres trop souvent font à notre place, se laisser bercer par les ondes sensuelles d’une nuit sans fin où tout (re)devient possible, offrir à son esprit une zone de turbulences intimes comme seul l’amour peut en provoquer, prendre tous les risques pour trouver l’âme sœur et la garder auprès de soi… Se laisser porter par la mélodie folk tendre de Nikolaj Grandjean* et, avec lui, osciller entre joie, tristesse et désarroi, explorer le processus amoureux dans ce qu’il a de plus quotidien, de plus banal, et, qui sait, chevaucher ces « Seven wild horses » pour aller encore plus vite dans notre insatiable quête de bonheur personnel…

 

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Orpheum Black – « Midnight »

A minuit l’heure des rêves les plus sombres sonne…

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A la recherche de nos rêves les plus sauvages, dans cette contrée lointaine et pourtant intérieure où les songes parfois se transforment en cauchemar, là où l’on se laisse couler avec délectation avant de dériver le long de l’océan noir de nos pensées les plus cachées, une porte s’ouvre de temps à autres, laissant s’échapper quelques notes tour à tour étourdissantes ou envoûtantes, des voix qui se chevauchent, se couvrent, se complètent,  se heurtent pour mieux créer une onde de chaos dans l’harmonie céleste, mieux envahir nos esprits et troubler nos sens. A la recherche de cet ailleurs si proche et pourtant si inaccessible, il nous faut faire appel à un passeur, tel Orpheum Black, qui, chevauchant une mélodie qui claque et ne joue pas les gazelles effarouchées, capable de nous bousculer et partir en vrille, déclenchera une vague de sensations capables de nous emporter irrémédiablement vers « Midnight », cette heure folle et farouche où tout devient possible, où les masques tombent et les corps s’enivrent. Alors, sans que l’on ne s’en rende compte commence l’acte 1 de notre exploration sensorielle d’un nouvel univers rock sombre et flamboyant, caressant et déchirant, âpre et solaire… celui d’Orpheum Black !

 

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