Jérémy-B- se classe dans la catégorie « Testo-erroné »…

Dans un monde trop grand, trop fort, trop violent, trop fou, quelle place reste-t-il donc pour ceux qui sont « testo-erronés » ?

5 0

Dans notre univers il y a les mâles alpha, les costauds, les balaises, les fous et ceux qui ouvrent tout le temps leur grand gueule. Il y a tous ceux qui ont une confiance en eux en béton armé, ceux qui transpirent le sex-appeal, que l’on envie pour leur physique sculpté ou leur intelligence vive. Et puis, il y a les autres, les pas très grands et pas du tout costauds, ceux qui tournent dix mille fois leur langue dans leur bouche avant de s’excuser de parler, ceux qui évitent le conflit comme on évite la pluie. On y fait pas attention tant ils semblent transparents, indifférents au monde qui les entoure et avance presque sans eux, malgré eux. Ils sont là et on feint de ne pas les voir, pas les entendre, ou, parfois, on les surprotège, persuadés que l’on est qu’il suffirait de peu pour qu’ils se brisent en mille morceaux.

Ils, ce sont tous ces « testo-erronés » qui ne savent pas eux-mêmes se genrer, qui aimerait être ceci ou cela mais ne sont que le reflet d’une image rêvée. Ils, c’est peut-être vous, c’est moi, quelques-uns ou beaucoup, allez savoir !… et c’est parfois aussi Jérémy-B- sauf que lui, a le talent et les mots, pour capter l’attention et transformer le brouillard d’une vie en lumineux sentier où chacun peut briller, pour passer au premier rang sur la photo et faire de ce mètre 66 un étalon or. Et même si la vie joue parfois des tours, de son flow et de ses mots sensibles, Jérémy-B- nous montre que tout est toujours possible et qu’au bout du compte, il se pourrait bien que les petites bêtes survivent mieux que les gros mastodontes…

 

Pour suivre l’actualité de Jérémy-B-, rendez-vous sur sa page facebook : ici

Happy
Happy
0 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
100 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

VILAIN COEUR – « Bouteille à la mer »

Vilain Coeur jette une bouteille pop mélancolique à la mer pour tous ceux qui, un jour, ont traversé un océan de solitude…

2 0

Regarder l’autre dans le miroir non déformant d’une vie à la dérive, ne pas y voir autre chose que des débris disséminés dans les profondeurs d’une âme presque morte, se dire que ce reflet n’est plus qu’une « bouteille à la mer » dont le message oscille entre colère et dépression, et penser, paradoxalement, qu’un jour ou l’autre, on finira bien par s’échouer sur une plage et pouvoir reprendre son chemin sur cette terre…

Comment ne pas y voir le reflet d’une réalité pour le duo pop rock lyonnais qui n’a pas été épargné par un coquin de sort poussant l’un vers une rencontre avec le crabe, l’autre vers un accident invalidant ?… Les mots se font dès lors plus impactants, plus lourds de sens alors même que la mélodie, comme un exutoire, se fait plus légère, presque irrésistiblement joyeuse. Peu importe toutefois, car cet inconnu dans le miroir qui ne se reconnait plus ou ne veut plus se voir tel qu’il est devenu, c’est un peu chacun d’entre-nous, avec nos parcours, nos fêlures. Et si la mélancolie tente de se frayer un chemin en nous à grand renfort de mots plutôt sombre, comment pourrait-elle gagner la partie lorsque la musique se fait aussi pop ?… Quel beau titre universel et tendre que celui-ci… De quoi nous donner envie de ramasser cette bouteille à la mer que nous a envoyé Vilain Coeur et, en retour, lui donner beaucoup d’amour !   

 

Happy
Happy
100 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
0 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

THIBAULT ESKALT – « Les désorientés »

Dans ce monde que l’on détruit plus ou moins consciemment, il est utile que des voix comme celle de Thibault Eskald nous rappellent en douceur quelques évidences…

3 0

Dans ce monde à la dérive qui ne tient qu’à un fil et fait de nos parcelles d’humanité les dernières chances de sa survie, comment ne pas être « désorientés » par nos propres errances, nos aveuglements plus ou moins conscients ?… Dans ce monde qui change et bouscule nos vies jusque-là paisibles, il faut des porteurs de voix différentes, des poètes, comme Thibault Eskald, capables de mettre les mots justes sur ces crises que l’on ne voit ou ne souhaite pas toujours voir. Et ce n’est pas parce qu’il y a désormais urgence qu’il faut opter pour la dureté. Cela, Thibault l’a bien compris lui qui nous entraîne dans cette errance consciente dans la douceur d’un pop atmosphérique, peut-être la seule capable de caresser nos sens pour mieux ouvrir nos esprits ! 

 

Happy
Happy
75 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
25 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

LAMUZGUEULE (feat. The Swing Bot) – « Pleins phares »

Un peu de swing, un peu d’électro, un peu de hip hop, mais surtout un maximum de plaisir avec ce premier extrait du prochain opus de LMZG

1 0

Un peu de swing, mais pas que…, en plein hiver, ça fait toujours du bien, ça peut même, lorsque c’est bien fait, coller un joli sourire sur le visage pour un moment. Pour preuve avec ce nouveau titre de Lamuzgueule, bien épaulé par le producteur autrichien The Swing Bot, qui nous met en orbite « pleins phares » pour un moment. Un peu d’électro, beaucoup de swing, un zest de hip-hop, la recette que le groupe, emmené par ses deux chanteurs Agathe et Romain, nous propose est sans conteste de celles qui donnent envie irrésistiblement de bouger ou, à défaut, mettent de bonne humeur pour un sacré bout de temps. Un single, en tout cas, de très bon augure avant la sortie du prochain album « I Am Anachronic » en mai prochain.

 

Happy
Happy
50 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
50 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

3.14AIR – « Les gens sont comme la vie »

Les gens sont comme la vie, ils nous ressemblent trait pour trait, dans ce que l’on a de meilleur ou de pire, pour un jour ou pour toujours.

1 0

Les gens sont comme ça, ils sont là, ils nous ressemblent, ils ont de la peine, de la joie, des colères, une vie. Parfois on les aime, parfois on les déteste, ils sont gentils ou brutaux, tendres ou étourdis, ils sont nous et réciproquement. Et tous ces « ils » que l’on croise jour et nuit, dans le métro ou dans notre miroir, au nord ou loin dans le sud, inconnus ou amants, on finit par ne plus les voir, on finit par ne plus y penser.

Alors, on se dit qu’il est bon que, de temps à autres, un 3.14Air nous rappelle, au creux d’une chanson délicate, que « les gens sont comme la vie », ils sont beaux ou moches, simples ou définitivement complexes, adorables ou méritant un mépris poli… et que, finalement, les gens c’est nous, que l’on soit jeune ou vieux, positif ou dépressif, amoureux ou content de ne pas l’être. Et que, comme tout le monde, il arrivera un moment où l’on ne prendra plus ce train fou qui s’appelle existence, où nous resterons sur le quai de la gare et regarderons tous ces gens qui, comme la vie, nous fileront entre les doigts.

 

Happy
Happy
100 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
0 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

BT93 – « Les altruistes »

Mais où sont passés les rêveurs nous demande BT93 ?… En chacun de nous se trouve, peut-être, la réponse !

1 0

Où sont les rêveurs, ceux qui veulent changer le monde ou simplement leur vie ?… Où sont ceux qui savent faire un pas de côté pour ne plus être dans la norme, dans le bon ton qui fait les mauvais comptes, où sont les frondeurs qui cassent volontairement les codes pour ne pas enfiler un costume de béton ?… Où sont les ravers qui se servent d’un beat hypnotique pour provoquer l’ivresse et le dépassement de soi ?… Où sont donc ces « altruistes » dont nous parle BT93 capables de ne pas se fondre dans le système pour être libres et provoquer l’art pour l’art ?… Où sont-ils donc tous, dans quelle dimension alternative naviguent-ils pour ne plus avoir affaire avec les contingences et exigences castratrices ?…

Peut-être ici et maintenant, peut-être nulle part ailleurs que dans l’imaginaire de Bernard Tanguy alias BT93, cet endroit un peu mélancolique, un peu persifleur, bourré de second degré et de phrases qui claquent aux vents mauvais !… Ou peut-être, si l’on se mettait à chercher un peu mieux, les trouvera-t-on en nous, plus ou moins bien cachés mais plus que prêts à en découvre avec nos petites lâchetés, nos grands renoncements, nos rêves inassouvis !… Comment savoir ?… Simplement en nous laissant envahir par le beat des « altruistes » et en ouvrant notre conscience aux mots tout sauf innocents de BT93

 

Happy
Happy
0 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
0 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

POLYANNA – « Man time »

Pollyanna nous entraîne dans une virée entre folk et cold wave histoire d’observer l’heure des hommes…

1 0

A l’heure où la nuit doucement chasse la journée, il n’est pas rare dans nos métropoles – et parfois aussi dans des cités plus petites – de voir de beaux spécimen de fauves franchir la limite entre conscience et ivresse. A ce moment précis, que d’aucuns pourraient qualifier d’heure des hommes – quoique l’on puisse s’interroger sur cette dénomination tant très vite les dénommés ressemblent à des animaux ! -, il est temps pour le commun des mortels, et en particulier pour la partie féminine de ceux-ci, de devenir invisible, de rentrer à l’abri pour éviter de devoir subir les avanies des avinés. Lourdeurs, bagarres, violences, le choix est large face à ces étranges mammifères et, parfois, l’on en arrive même à se demander si l’on doit en rire ou en pleurer, fuir ou observer, combattre ou lâcher l’affaire. Ou alors, comme Polyanna, mettre quelques mots sur une mélodie entre folk et cold-wave pour mieux décrire ce « Man time » qui fait souvent plus froid dans le dos qu’il ne prête à sourire… C’est, en tout cas, une fort belle façon de rappeler, si besoin était, que ces comportements ne sont non seulement pas acceptables mais qu’ils ne sont pas d’un autre temps ou d’une autre aire géographique, mais que trop de femmes les subissent ici et maintenant…

 

Happy
Happy
0 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
100 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

LES 3 FROMAGES – « Imagine la galère »

Même avec un dossier en béton, le rock des 3 Fromages nous incite à ne pas croire au Père Noël…

2 0

Mais de quoi ils se plaignent les jeunes ?!… Alors qu’ils ont la chance « incroyadible » de vivre dans le plus beau pays du monde, où l’abondance est là en permanence pour tous et où, on le sait, il suffit de traverser la rue pour trouver un travail, on en voit qui, encore, trouvent le moyen de ne pas être satisfaits de leur sort. Pire, alors qu’on pourrait les imaginer confits de honte de ne pas être dans le mood de la start-up nation, on peut ici et là les entendre récriminer contre tout et n’importe quoi, les loyers trop chers pour des logements ridiculement petits, des banquiers assez peu réceptifs à la beauté de leurs diplômes chèrement acquis, des employeurs qui n’ont qu’une envie, les transformer en playmobils esclaves et heureux de l’être, une administration forcément aveugle et sourde à leurs problèmes !… Non mais, pour qui ils se prennent ceux-ci à prendre Les 3 Fromages comme porte-parole, même éphémère, juste pour que l’on « imagine la galère » ?… Ahhh, hippie un jour, hippie toujours… Vivement qu’une bonne petite épidémie vienne régler tout ça !… Ah ben, ça c’est déjà fait !… Bon, tant pis, soyons magnanimes et écoutons ce qu’ils ont à nous dire, peut-être même que cela nous plaira, qui sait !

 

Happy
Happy
100 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
0 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

RPC – « Dans ma ville »

RPC se sent bien quand il peut dire qu’il vibre « dans ma ville »… et on ne peut que le comprendre…

3 0

Dans la vie des kids de RPC, y’a une ville où il n’y a pas grand chose à faire, il pleut tout le temps même après le printemps, y’a de la pollution et les gens râlent tout le temps mais quand ils sont contents… Dans la DK City, le temps passe vite surtout quand l’ennui est au rendez-vous mais pour rien au monde ces trois-là ne changeraient de coin car c’est chez eux, l’endroit où ils zonent, là où leur cœur bat et où les amis se soutiennent toujours, contre vents et marées. Ici dans leur ville, ils se sentent bien et si, de temps en temps, ils ont envie d’en partir, il n’y a rien à faire, ils reviennent toujours au cœur de leur propre histoire, et même l’habillent de sonorités électro et guitare électrique pour lui déclarer leur flamme et chacun de clamer haut et fort qu’il n’imagine pas être ailleurs que « dans ma ville »… Mieux même, il suffit de fermer les yeux, de projeter dans nos esprits des images de nos propres cités, pour que leurs mots, que l’on soit de Dunkerque ou de Paris, de Bordeaux ou de Marseille, de Lyon ou de Perpignan, deviennent les nôtres…

 

Happy
Happy
75 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
25 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

IOKANAAN – « Infinitif »

Soyons sérieux et en quelques mots furieux posés en slam, comme Iokanaan osons être fous pour être libres…

2 0

Soyons sérieux, ouvrons les yeux et regardons donc enfin ce qui nous entoure, prenons en compte toutes ces couleuvres que la morale déficitaire tente de nous faire avaler, ne soyons pas dupes des dérives qui peu à peu s’installent et font de nous les complices plus ou moins inconscients, tout juste bons à mettre des pouces ici ou là au lieu de vivre. Soyons sérieux et faisons en sorte que les rumeurs ne prennent pas le pas sur les réalités, acceptons que les pas à côté des chemins balisés soient aussi acceptables que ceux qui restent dans la ligne, arrêtons de tout regarder sous le prisme de l’apparence… Soyons sérieux et en compagnie de Iokanaan, cherchons une voie qui ne ressemble à nulle autre, qui met des mots slammés sur une mélodie hypnotique pour faire un bout de ce chemin de pleine conscience. Soyons sérieux et redevenons ces fous qui savent s’affranchir de ce carcan pour mieux conjuguer la folie et la liberté à l' »infinitif » !

 

Happy
Happy
0 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
100 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

MOBY & NICOLA SIRKIS – « This is not our world (Ce n’est pas notre monde) »

Moby et Nicola Sirkis unissent leurs talents pour nous alerter sur l’état de ce qui pourrait bien devenir un autre monde que le nôtre !

2 0

On ne les attendait pas forcément ensemble sur un même titre tant leurs parcours respectifs semblaient les vouer à ne jamais se rencontrer. Pourtant, à écouter ce titre du géant Moby et du maître Nicola Sirkis, l’évidence apparaît, leurs convictions personnelles, leur engagement, pas ou peu médiatisé, pour la sauvegarde de la planète, devraient les rapprocher et les amener à collaborer histoire de faire un pont entre les continents et essayer, à leur petite échelle, de changer un peu les choses… C’est chose faite avec « This is not our world (ce n’est pas notre monde) », duo magique et conscient comme on aimerait en entendre plus souvent…

 

Happy
Happy
0 %
Sad
Sad
33 %
Excited
Excited
67 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

Louise Attaque – « Sortir de l’ordinaire »

Quand Louise Attaque nous invite à sortir de l’ordinaire, on ne peut que répondre présent !

1 0

Comment répondre par la négative lorsque Louise Attaque, tout juste (presque) sorti de sa tournée 25ème anniversaire, nous lancer une invitation à écouter un son tout neuf, tout frais ?… Gaëtan Roussel, Robin Feix et Arnaud Samuel, petits coquins discrets qu’ils sont, ont profité de l’été pour mettre en boîte un album, « Planète terre », qui sonne comme un retour aux sources pour Louise Attaque, ce que confirme ce premier titre, « Sortir de l’ordinaire », qui surprend sans bousculer, ravi sans encore totalement déclencher l’hystérie (mais est-ce le but lorsque l’on a déjà bourlinguer ?!). Un morceau qui, en tout cas, donne le sourire et nous donne envie d’être le 4 novembre prochain pour écouter le reste de l’opus…

 

Happy
Happy
100 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
0 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

O A I O – « Carnaval »

OAIO nous ouvre les portes de son Carnaval et nous comble de bonheur…

1 0

Dans notre carnaval mental, les images, les couleurs, les mélodies se chevauchent et se mélangent, oiseaux merveilleux porteurs de mille espoirs et d’avenir joyeux. Dans notre carnaval intérieur, la petite voix d’OAIO s’est immiscée en douceur, un peu en espagnol, un peu en français, et nous a d’un coup d’un seul subjuguée, nous embarquant dans une virée pleine de couleurs et de chaleur, chavirant notre cœur et faisant danser nos idées folles. Plein de vie, de soleil, de notes qui s’envolent vers notre coeur pour mieux faire bouger notre corps, « Carnaval » n’a pas fait de détails et est entré direct dans notre short-list des titres qui nous mettent du baume à l’âme et nous laissent un beau sourire au coin des lèvres…  Entrez dans le carnaval d’OAIO et laissez-vous porter, vous verrez, après on se sent un peu plus vivant !

 

Happy
Happy
100 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
0 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

Foutrack – « Petit frère »

Petit humain, petit frère, écoute ce que Foutrack a à ta dire et freine un bon coup avant qu’il ne soit trop tard…

5 0

« Petit frère », toi petit humain qui écoute ces quelques notes, ces quelques mots, écoute donc ce que te dis Foutrack et accepte de freiner des quatre fers pour qu’ensemble nous n’ayons plus à nous en faire, pour que les petites fourmis que nous sommes sur cette gigantesque planète puissent survivre encore un peu, pour que l’évolution rapide ne débouche pas sur un cul-de-sac et conduisent les herbes folles à remplacer nos vies énervées. Toi, petit frère, laisse-toi porter par la délicate mélodie qu’il te propose et laisse ses mots sensés pénétrer jusqu’au plus profond de ton être, y laisser une trace incandescente, première étape d’un itinéraire intérieur menant à la conscience, pour que, un parmi tant d’autres, tu ne sois pas le dernier, pour qu’il y ait un après.

 

Happy
Happy
75 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
25 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

Rozedale – « Ce soir, je t’aime »

Ce soir, Rozedale sort ses plus jolies guitares rock pour nous aimer avec les mots de Cali…

2 0

Au comptoir de toutes les solitudes, là où se retrouvent toutes les âmes en peine, où les fous croisent les déprimés plus ou moins magnifiques, où tous les cœurs debouts qui jamais n’acceptent de plier peuvent trouver quelques instants d’amour parfait, Rozedale offre une main tendue, des bras ouverts et, sans se préoccuper des yeux vides au hasard ou des pleurs écrits sur les murs de vies fracassées, dit ces quelques mots simples, « ce soir, je t’aime »… En toute simplicité, aidé par la mots d’un Cali toujours aussi inspiré, porté par une guitare joliment rock qui va droit au but, Rozedale offre une petite pincée d’éternité à tous ceux qui se sont trouvés échoué un jour, et peu importe que, pour eux, la fin du monde soit toujours pour dans dix minutes, ce moment est si précieux qu’il efface toutes les questions, tous les doutes, toutes les peines pour ne laisser qu’un happy end…

 

Happy
Happy
100 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
0 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %