« Y’a rien à faire », quand l’alchimie est là ou plus, quand les corps sont las et se délassent, quand l’amour s’en va et s’en vient, le bras de fer est souvent de la partie entre la chair et l’esprit, sans que l’on sache réellement qui va gagner. Y’a rien à faire, quand on a quelqu’un dans l’âme, dans le corps et le cœur, difficile de l’oublier, de s’en séparer, comme une ritournelle qui tourne et tourne dans la tête… Ou peut-être pour que cela s’arrête, si tant est que l’on en ait envie, suffit-il juste, comme Hadmos, de poser quelques mots sur une feuille blanche et les habiller délicatement d’une mélodie envoûtante, pour que tout soit plus simple, plus facile…