Dans la vie, le plus souvent, on tombe amoureux, on passe un moment ensemble, on essaie de faire le plus long chemin de concert, mais, parfois, arrive le moment, douloureux ou non, où, inévitablement, « on se sépare »… Dans ce cas-là, il est souvent difficile de trouver les mots justes, le sourire bienveillant, pour envisager l’avenir immédiat. On a parfois même du mal à rester philosophe et réussir à aller de l’avant. Harison, lui, en tout cas, a trouvé une fort agréable manière d’en parler, simplement, avec délicatesse, comme la petite mélodie vocale qu’il utilise, une petite pointe d’humour en arrière plan, et une étincelle de malice dans les yeux qui transforme un sujet, normalement triste, en petite tranche de vie presque joyeuse… Alors, comme dit le philosophe, le vrai, quitte à envisager l’éventualité d’une séparation à venir, commençons donc par nous aimer aveuglément et furieusement… Oui, aimons-nous vivants !