Ici ou tout là-bas, se perdre dans les rues d’une ville inconnue ou beaucoup trop arpentée, rester du côté de la lumière ou se fondre dans les ombres, courir après un être aimé pour ne pas se résoudre à le laisser partir, à ne plus être son phare, sans se poser de questions, « danser le soir » pour s’enivrer et oublier, se faufiler à l’abri des regards pour filmer sans se faire voir ce seul amour, fut-il fantasmé, peut-être trop réel, à conjuguer au passé ou au futur, comme Indolore garder l’espoir et, ici ou tout là-bas, trouver la plus belles des mélodies pour y coller ces mots qui disent l’amour en toute délicatesse…