Dans notre univers il y a les mâles alpha, les costauds, les balaises, les fous et ceux qui ouvrent tout le temps leur grand gueule. Il y a tous ceux qui ont une confiance en eux en béton armé, ceux qui transpirent le sex-appeal, que l’on envie pour leur physique sculpté ou leur intelligence vive. Et puis, il y a les autres, les pas très grands et pas du tout costauds, ceux qui tournent dix mille fois leur langue dans leur bouche avant de s’excuser de parler, ceux qui évitent le conflit comme on évite la pluie. On y fait pas attention tant ils semblent transparents, indifférents au monde qui les entoure et avance presque sans eux, malgré eux. Ils sont là et on feint de ne pas les voir, pas les entendre, ou, parfois, on les surprotège, persuadés que l’on est qu’il suffirait de peu pour qu’ils se brisent en mille morceaux.
Ils, ce sont tous ces « testo-erronés » qui ne savent pas eux-mêmes se genrer, qui aimerait être ceci ou cela mais ne sont que le reflet d’une image rêvée. Ils, c’est peut-être vous, c’est moi, quelques-uns ou beaucoup, allez savoir !… et c’est parfois aussi Jérémy-B- sauf que lui, a le talent et les mots, pour capter l’attention et transformer le brouillard d’une vie en lumineux sentier où chacun peut briller, pour passer au premier rang sur la photo et faire de ce mètre 66 un étalon or. Et même si la vie joue parfois des tours, de son flow et de ses mots sensibles, Jérémy-B- nous montre que tout est toujours possible et qu’au bout du compte, il se pourrait bien que les petites bêtes survivent mieux que les gros mastodontes…
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