Quelques notes qui reviennent, en douceur, en boucle, une voix qui semblent nous caresser pour mieux nous propulser dans un ailleurs aussi onirique qu’agréable, un petit break histoire de casser le rythme et nous faire revenir dans une certaine réalité, 135 secondes sans gras, sans fioritures, sans effets inutiles, « No Doubt We Can » n’a guère besoin de plus pour nous procurer une belle émotion et, en restant certes dans les limites d’un classicisme formel, nous proposer une belle entrée en matière pour le néo groupe Kinson. Une fort belle première impression qu’il va maintenant falloir confirmer avec les prochains titres de ce combo ô combien prometteur de la scène rock internationale, et pour le coup le terme colle parfaitement puisqu’il y a là un beau mélange d’irlandais, allemand et américain.. A suivre donc…