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Se jeter à l’eau, jouer en solo les explorateurs des sons différents, avancer vers des jours plus beaux sans penser au lendemain, sans se soucier des uns et des autres, faire de notre futur un sentier de bohémiens, voir l’aurore opaline du fond de l’abime, laisser nos hanches onduler en rythme, se lever au son d’une musique faisant écho à nos plus ancestrales racines, tout entier se plonger dans ce « Kongo » magique, ode magnifiée par la voix enchanteresse de Rebecca, et met un peu de soleil dans nos cœurs, accompagnée par le flow envoûtant de Gaël Faye, porteuse en son sein d’un espoir fou, celui d’un avenir synonyme de métissage et de respect des cultures de chacun, d’un monde pacifié et d’un quotidien qui nage en eaux calmes. A l’image de ce fleuve dont il est question ici, la chanson de Kolinga nous émeut et nous donne irrésistiblement envie de danser et de chanter, un grand sourire dans les yeux… On a hâte d’entendre l’album qui va avec ce superbe premier titre !
