Le Greenland Festival ouvre la saison du bonheur…

Au pied des Pyrénées, le Greenland Festival ouvre notre saison des festivals avec une programmation éclectique et intéressante…

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Et voilà, à peine le temps de souffler que voici arrivée la saison des festivals. Petites pépites à découvrir, gros machins sans saveur, rendez-vous rituels, comme chaque année, nous avons devant nous pléthore de festivals dans tous les styles – même si comme toujours les programmations ont tendance à se ressembler d’une région à l’autre ! –  histoire de nous faire passer un bel été…

Bien entendu, nous ne pouvons pas parler de tout le monde – et en plus on a vraiment pas envie de mettre la lumière sur certains événements qui n’ont absolument pas besoin de nous ou qui ont décidé que seuls certains médias triés sur le volet pouvaient accéder à leur espace presse ! –  alors comme chaque année, nous allons mettre en avant quelques initiatives qui nous semblent intéressantes et quelques évènements que l’on a l’habitude de fréquenter aussi bien pour leur programmation que pour l’ambiance générale. 

Comme il faut bien commencer quelque part, partons donc faire un petit tour tout au bout du bout de la France, là où il fait toujours beau, où les gens sont toujours souriants et où la fête veut dire quelque chose, à savoir les Pyrénées-Orientales. Terre de festivals – on en a compté au moins 7 mais on est pas sûrs d’avoir tout ! – le petit département au pied des Pyrénées avait donc tous les atouts pour attirer notre attention. D’autant que dans son line-up festif, le Greenland Festival, 3ème du nom, tient la corde avec une jauge à taille humaine, une volonté d’être éco-responsable « pour de vrai » et une programmation qui, de la chanson au rap, en passant par le rap et l’électro, balaie suffisamment le spectre musical pour plaire au plus grand nombre. Ambitieux côté urbain, avec chose rare Ninho, SCH, PLK et Doria réunis le même soir, classique et fédérateur ses deux autres soirs, passionné avec une scène électro (Fantazia) posée dans un écrin indépendant au cœur de l’événement, le Greenland Festival mérite qu’on le découvre et qu’on aille du côté de la Méditerranée – pour peu que vous n’y soyez pas déjà bande de petits veinards – pour débuter de la meilleure façon qui soit cette nouvelle saison de festivals…

GREENLAND FESTIVAL >>> du 31 MAI au 02 JUIN >>> PALAU DEL VIDRE (66)
infos en + et réservations : www.festival-greenland.com

 

                       

       

 

                       

       

 

                       

 

et pour le line-up de Fantazia, le festival électro au cœur du Greenland, c’est par là que ça se passe >>> Fantazia

 

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The Silencers sur scène avec son album « Silent Highway »…

Cela fait toujours du bien de reprendre une petite rasade de The Silencers dans notre monde de brutes… et en live c’est encore mieux !

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Au début des années 80, quatre jeunes de Glasgow s’exilent à Londres pour monter ce qu’ils appelleraient à l’époque un « vrai » groupe. Un groupe qui composerait des chansons personnelles, empreintes d’émotion, dans le but de toucher les gens. The Silencers était né et les voici aujourd’hui de retour avec un dixième album : « Silent Highway ».

La recette reste inchangée. Des morceaux méticuleusement fabriqués de manière artisanale, des mélodies exaltantes et des textes sensibles. Les douze titres qui composent « Silent Highway » vous marqueront et feront corps avec vous – un groove hypnotique qui vous fera taper du pied ou danser sur des paroles aussi bien authentiques, sincères ou irréelles que politiques, ironiques ou amusantes.

« Silent Highway » a été créé pendant le confinement de 2020 entre Nantes, Rennes et Glasgow, et co-produit par Jimme et Baptiste Brondy, batteur du groupe Delgrès. Jimme O’Neill souhaitait revenir aux sources de ce qui a forgé le son des Silencers à savoir leur tout premier album « A Letter from St. Paul », celui par lequel tout à commencé. Même si les trois premiers albums de The Silencers ont été disques d’or en France et que le groupe jouit toujours d’une très solide communauté de fans ici et dans le monde, le souhait profond de Jimme était, avec ce nouvel album, d’être à la hauteur et de ne surtout pas les décevoir. Ce confinement signifiait donc que le groupe allait devoir trouver une nouvelle manière de travailler et d’enregistrer ce dixième disque – il leur fallait compter sur la technologie pour échanger leurs idées. Et finalement, après que chaque membre eut fait sa part dans son coin, le résultat était là avec le souvenir du premier album bien présent et un « Silent Highway » comme une synthèse quasi- parfaite de tout ce qu’ils avaient accompli et réalisé depuis leurs débuts.

En tournée en France cette année, au printemps et à l’automne : 

 

16 Mai : L’Usine – ISTRES (13) > réservations ici
17 Mai : Le Rockstore – MONTPELLIER (34) > réservations ici
18 Mai : El Mediator – PERPIGNAN (66) > réservations ici
06 Juillet : Festival La Pamparina – THIERS (63) > gratuit
12 NOVEMBRE : Le Trianon – PARIS (75) > réservations ici
13 Novembre : Le Zephyr – LILLE (59) > réservations ici
14 Novembre : L’Etage – RENNES (35) > réservations ici
16 Novembre : Le Vauban – BREST (29) > réservations ici

 

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Working Klass Heroes a envie de nous décrocher les cervicales…

Sans excuses ni remords, Working Klass Heroes dégoupille un uppercut sonore pour nous déboiter les cervicales !

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Sans excuses, ni remords, ni même regrets, juste pour le plaisir de kiffer le son brut, celui qui dégoupille les cervicales, nettoie de fond en comble les cages à miel et donne une furieuse envie de wall of death, les sudistes de Working Klass Heroes ont eu la bonne idée de capter l’un de leurs concerts explosifs – il nous a semblé reconnaître l’une des meilleures salles du sud en l’occurrence le Mediator du côté de Perpignan – pour nous offrir un peu de beats qui cognent en plein été.

Extrait de « No Excuses, No Remorses », « The end is nigh » résume à lui seul l’univers du crew, un bon gros son puissant qui arrache sa mère, une voix capable de filer des frissons même aux sourds, et des mélodies qui captent immédiatement l’attention en plus de rester en tête un bon moment. 

Bref, du tout bon pour heabdanger sauvagement et un titre newcore, parmi les 11 uppercuts métalliques qui composent l’album, qui devrait rapidement permettre à ces furieux de quitter la zone des premières parties pour headliner tranquille et faire bouger les têtes worldwide en beuglant à tue-tête et comme un pied de nez à l’avenir : no future… 

Et pour en écouter plus, faites donc un tour du côté de leur chaîne Youtube : Working Klass Heroes

 

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RISE OF THE NORTHSTAR – « Showdown »

Vous reprendrez bien un petit pogo avant de vous coucher ?… Oui ?… Cool, Rise Of The Northstar a un petit missile pour vos cages à miel !

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L’album éponyme « Showdown » sort aujourd’hui et s’est une excellente méthode pour savoir où vous vous situez sur l’échelle de l’âge. Si c’est trop fort, trop violent, trop agressif, comme dirait Lemmy, c’est que vous êtes trop vieux !… Si au contraire le mélange tout sauf subtil de metal hardcore, de hip hop et de punk, vous donne envie de bouger sur place, sautiller vers un camarade de jeu histoire de lui déboiter les cervicales, c’est que vous êtes encore dans la fleur de l’âge. Ça faisait quand même un petit moment qu’on avait pas pris une telle baffe sonique dans la tronche. Si le mainstream ne croque pas tout cru cette farouche énergie, les parisiens de Rise Of The Northstar devraient nous faire pogoter sauvagement pendant de belles années… Bien lourd, bien hardcore, on adore !

prochaine date : PERPIGNAN /// Dimanche 14 mai /// EL MEDIATOR /// 19h

 

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Trip for Léon – « Butterfly »

Trip for Leon s’envole en douceur à la poursuite d’un délicat « Butterfly »

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On croise parfois, au hasard d’une errance onirique, un papillon que l’on a envie de suivre, quitte à se perdre, quitte à ne pas voir passer les secondes et les heures… Il y a, parfois mais ce n’est pas si fréquent que cela, des mélodies qui ouvrent un hublot dans nos têtes, permettant à la beauté de pénétrer notre esprit et d’y laisser une trace enchantée…  Il suffit parfois d’un piano, de quelques sonorités électroniques presque cachées en arrière plan et d’une voix doucement envoûtante pour que la magie opère et que, à notre tour, on s’imagine suffisamment léger pour voleter en toute liberté au-dessus d’une nature aussi belle que sauvage, exempte de toute pollution, de toute intervention humaine… Il suffit, tout simplement, de s’immerger petit à petit dans « Butterfly » de Trip for Leon pour que, d’un coup d’un seul, sous nos pieds danse le sol et dans notre corps monte progressivement une douce chaleur nous emmenant dans une rêverie soyeuse où les frontières de la réalité s’estompent pour laisser la place à l’émerveillement et à la beauté… Comment, alors, ne pas suivre jusqu’au bout du monde ce petit papillon aux ailes si fragiles et pourtant si merveilleusement planant  !

 

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