Antoine Wend aimerait bien qu’on lui dise « hello »…

Seul dans l’immensité de la foule, Antoine Wend croise l’amour passé et a bien envie de se rappeler à son bon souvenir…

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Des pas que l’on enchaîne, seul, perdu au milieu de l’immensité d’une foule, des rues que l’on hante tel un fantôme, invisible, presque inconnu à soi-même, des gens que l’on croise et qui nous éclabousse de leur bonheur, de leur joie, renforçant peu à peu ce spleen qui, parfois, nous étreint lorsque l’on se sent trop seul. Moderne solitude que nous partageons tous un jour ou l’autre et sur laquelle, souvent, nous n’avons pas de mots à mettre pour la décrire.

Antoine Wend le connait bien cet état d’âme si particulier qui nous isole lorsque, au détour d’une rue, on croise un ancien amour que rien ne pourrait reconquérir, quand on se rappelle les bons moments qui jamais ne reviendront. Alors, plutôt que de sombrer corps et âme, il a préféré, lui, composer une douce mélodie, une balade nostalgique pour décrire ce qui fut et ne sera plus. A tel point, d’ailleurs, qu’on ne sait – ou veut savoir ! – si ce « hello », délicatement chanté, s’adresse à l’amour passé ou à la solitude présente. Peu importe puisque, in fine, c’est toujours l’âme qui trinque !

Magnifiquement porté par un clip en animation – signé Danicollaterale – qui met magnifiquement en exergue cette solitude malheureuse, ce titre de l’ancien vainqueur de X-Factor Lituanie – au demeurant étrange parcours pour un natif de la région rouannaise ! – parle à notre intime et à notre âme amoureuse, caresse nos blessures passées et, pour peu que l’on s’y perde complètement, met un paradoxal baume sur nos cœurs énamourés. 

 

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Duran Duran nous invite à sa danse macabre

Duran Duran nous invite à participer à une Danse Macabre envoûtante, digne des meilleurs films d’horreur et des plus belles soirées d’Halloween…

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On a beau dire, on a beau faire, côté pop, c’est encore dans les vieux pots que l’on fait les meilleures préparations auditives. Même si, depuis un moment, Duran Duran n’est plus vraiment – doux euphémisme – d’actualité en France, il n’empêche que le groupe, emmené par Simon Le Bon et Nick Rhodes, sait toujours y faire pour trousser des mélodies qui entrent en tête facilement et donnent envie de se trémousser plus ou moins gentiment.

Pour preuve ce « Danse macabre », extrait de l’album éponyme dont la sortie est prévue juste avant Halloween soit le 27 octobre prochain. Ce qui tombe merveilleusement bien puisque ce clip – conçu grâce à l’intelligence artificielle – convoque les grandes figures tutélaires de l’horreur (Dracula et consorts) pour nous glacer le sang visuellement tout en laissant la petite mélodie à la fois dark et joyeuse qui caresse nos oreilles.

Il ne reste donc plus qu’un petit mois à attendre avant de découvrir cet album composé à la fois de reprises – « Bury a Friend » de Billie Eilish, « Paint it black » des Rolling Stones, « Spellbound » de Siouxsie and the Banshees – où sont venus prêter leur talent des gens aussi divers que Nile Rodgers, Victoria De Angelis (Måneskin) et Andy Taylor, de retour à la guitare et, qui sait, peut-être un jour avec ses anciens camarades de jeu…

C’est peu dire que l’on a hâte de se plonger dans ce bal des monstres aussi décalé que fou imaginé par ceux qui ont su si bien rythmer nos années 80/90 !

 

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THIBAULT ESKALT – « Les désorientés »

Dans ce monde que l’on détruit plus ou moins consciemment, il est utile que des voix comme celle de Thibault Eskald nous rappellent en douceur quelques évidences…

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Dans ce monde à la dérive qui ne tient qu’à un fil et fait de nos parcelles d’humanité les dernières chances de sa survie, comment ne pas être « désorientés » par nos propres errances, nos aveuglements plus ou moins conscients ?… Dans ce monde qui change et bouscule nos vies jusque-là paisibles, il faut des porteurs de voix différentes, des poètes, comme Thibault Eskald, capables de mettre les mots justes sur ces crises que l’on ne voit ou ne souhaite pas toujours voir. Et ce n’est pas parce qu’il y a désormais urgence qu’il faut opter pour la dureté. Cela, Thibault l’a bien compris lui qui nous entraîne dans cette errance consciente dans la douceur d’un pop atmosphérique, peut-être la seule capable de caresser nos sens pour mieux ouvrir nos esprits ! 

 

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SHAKIRA & OZUNA – « Monotonía »

Quand Shakira évoque de sa voix envoûtante un cœur brisé par le départ de l’être aimé, comment ne pas avoir quelques frissons…

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S’il y a bien une chose qui rompt immédiatement la monotonie de nos quotidiens assoupis,  c’est la sublime voix de Shakira et son indéniable capacité à nous procurer de belles émotions… Ou, comme ici, des frissons quand elle se fait triste et nostalgique. Car avec ce nouveau titre, « Monotonia », chanté en duo avec le portoricain Ozuna, Shakira fait de sa propre rupture le thème d’un titre à la résonance universelle, celle d’un cœur brisé par le départ de l’être aimé provoqué par la monotonie du couple. Somme toute une plus belle façon de parler de son histoire que celle étalée depuis quelques mois dans les pages des magazines people !

 

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MOBY & NICOLA SIRKIS – « This is not our world (Ce n’est pas notre monde) »

Moby et Nicola Sirkis unissent leurs talents pour nous alerter sur l’état de ce qui pourrait bien devenir un autre monde que le nôtre !

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On ne les attendait pas forcément ensemble sur un même titre tant leurs parcours respectifs semblaient les vouer à ne jamais se rencontrer. Pourtant, à écouter ce titre du géant Moby et du maître Nicola Sirkis, l’évidence apparaît, leurs convictions personnelles, leur engagement, pas ou peu médiatisé, pour la sauvegarde de la planète, devraient les rapprocher et les amener à collaborer histoire de faire un pont entre les continents et essayer, à leur petite échelle, de changer un peu les choses… C’est chose faite avec « This is not our world (ce n’est pas notre monde) », duo magique et conscient comme on aimerait en entendre plus souvent…

 

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Alphaville – « Big in Japan »

Quarante ans après, Alphaville reprend son hit « Big in Japan » et nous comble de bonheur…

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Avec « Big in Japan », Alphaville a sans conteste fait partie de notre bande-son dans les années 80 !… Qu’on soit ou non sensible à la new wave/synth pop, le groupe emmené par Marian Gold était alors l’un des représentants de cette musique légère et fraîche, idéale pour danser ou chiller en douceur entre amis. Presque 40 ans après, et un oubli aimable dans l’hexagone, la mise à jour du titre, en mode symphonique, fait du bien et comme une madeleine de Proust, nous renvoie direct à une époque où la musique se conjuguait en mode plaisir… Finalement ça fait un bien fou et l’on se dit que si les prochaines productions d’Alphaville nous comblent autant, un retour sur le devant de la scène n’est pas totalement impossible  !

 

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Tini feat. Beéle – « Fantasi »

En compagnie de Beéle, Tini nous offre une douceur pop superbe et envoûtante…

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Comment ne pas succomber à la voix douce et sensuelle de Tini (Violetta) lorsqu’elle s’associe avec le colombien spécialiste du dancehall Beéle pour nous offrir une sucrerie telle que « Fantasi » !

 

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Lutina – « Kolo Masiya »

Avec son afro pop délicate, Lutina nous offre un petit moment de douceur qui fait un bien fou à l’esprit et au corps…

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En douceur se poser et regarder la vie qui passe, avec ses bons et ses mauvais moments, penser à ceux qui souffrent et rire avec ceux qui en ont envie, regarder le ciel pour mieux voir en soi, danser pour partager un moment de bonheur avec ceux que l’on aime et laisser, que l’on soit ici ou ailleurs, les corps se réapproprier l’espace et le temps, doucement lever les mains en une prière profane et laisser la douce vibration de « Kolo Masiya » nous envahir… Quelques minutes seulement profiter de la voix délicate de Lutina pour s’évader et ressentir un peu de cette plénitude que seule la douceur peut procurer. Entre afro pop, soul et rnb, Lutina trouve avec ce nouveau titre une voie toute en délicatesse et nous embarque dans son univers coloré et chaleureux, nous offrant une parenthèse enchantée qui fait le plus grand bien…

 

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The Weeknd – « Gasoline »

The Weeknd dévoile encore un peu plus son nouvel album avec le titre « Gasoline » servi par un clip somptueux…

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Après la sortie il y a peu de « Dawn FM », son nouvel album après le fabuleux « After hours », The Weeknd en dévoile un peu plus en nous offrant un nouveau clip, « Gasoline », totalement dantesque, somptueux, magnifique et envoûtant. De quoi adhérer un peu plus encore à sa proposition musicale…

 

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Eskimo Callboy – « Pump It »

Quand le metalcore rencontre la pop, le mélange est aussi rafraichissant que dynamisant…

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Tout nouveau tout chaud… et parce que parfois la musique se suffit à elle-même, aucun mot, aucun commentaire, juste le son… et l’image… no comment !

 

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My Gravity Girls – « Daybreak »

Avec « Daybreak », My Gravity Girls nous offre un petit moment de plénitude dream-pop…

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Il peut arriver, dans un moment de profonde sérénité ou de recherche existentielle, que l’on se demande quelle bande-son serait idéale pour un break, une parenthèse, un instant suspendu où plus rien ne semble devoir compter, plus rien dans nos vies ne semble pouvoir prendre le pas sur le désir de lenteur, la nécessité de profiter du beau, du bon, du tendre. Il y a fort à parier qu’un jour ou l’autre, les italiens de My Gravity Girls se soient eux aussi posés cette question et, après moult expérimentations, moults approches sonores, aient réussi avec « Daybreak », et les autres titres de leur nouvel album « I Miss Something And Miss Everyone »,  à trouver cette alchimie si particulière qui permet, avec une douce mélodie synthétique et une voix douce, de nous propulser dans un état de quiétude et de zénitude  qui colle parfaitement à cette envie de break. Résultat, leur dream-pop envoûte autant qu’elle caresse, sublimant l’instant présent en le transportant dans un univers ouaté aux ombres positives et agréables.  Comme quoi il suffit de peu de choses pour que la vie d’un coup soit plus douce !…

 

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Dolche – « Sunday Mood »

Dolche nous entraîne dans un road-trip puissant et doux aux merveilleux accents indie-folk…

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S’aimer un jour, se déchirer un autre, se désirer puis désirer voir l’autre réduit en cendre, frémir sous les caresses avant de refuser l’inacceptable, cette violence qui découle de la colère, de la folie, rêver d’être quelqu’un d’autre, plus fort, plus intraitable, avant de mettre sa vie dans une valise pour fuir plus vite, plus loin, là où aucune relation toxique ne pourra venir détruire la fragilité d’une existence. Quelques mots jetés sur une portée pour traduire cette envie de combattre ces violences qui n’ont plus lieu d’être dans notre société et pourtant demeurent trop courantes, une mélodie indie-folk pour adoucir le propos et porter sa merveilleuse voix, Dolche n’a guère besoin de plus pour nous envoûter et nous faire chavirer, offrant en prime à son « Sunday Mood » un clip aussi évocateur que scénaristiquement parfait, un court-métrage idéal pour porter son message en douceur, merveilleux contre-point à la dureté de son thème. De quoi nous mettre agréablement en appétit avant la sortie de son album « Exotic Diorama » le 23 octobre prochain…

 

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Regis Kole – « Free like a bird »

Régis Kole nous envoie quelques minutes de pur plaisir histoire d’ensoleiller nos journées…

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Et si, finalement, se sentir libre n’était pas si compliqué que cela ?!… Peut-être suffit-il juste de mettre ses soucis de côté, de détourner les yeux de tout ce qui est sombre, négatif, pour ne garder que la lumière, la beauté, ce qui donne de l’énergie et fait du bien autant au corps qu’à l’esprit. Peut-être suffit-il juste d’écouter une petite mélodie fraîche et énergisante, tel ce « Free like a Bird » que nous (re)propose aujourd’hui Régis Kole (le premier envol de son titre étant « malencontreusement » tombé en plein confinement !), et se laisser emporter par sa fougue, par la joie de vivre qu’il dégage, par cette invitation à danser et à profiter de la vie qu’il est !… Comment ne pas succomber en effet au groove imparable de ce morceau, à son intensité et sa implacable rythmique qui donne envie bouger son corps jusqu’au bout de la nuit (enfin jusqu’à 22 heures dans certaines villes !)… Une chanson comme celle-ci, en ce moment, ça fait un bien fou alors pourquoi s’en priver ?!… A écouter en boucle pour se sentir vivant !

 

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Lost – « Acting Strange »

Comme une légère brise, Lost nous embarque pour une promenade délicate où l’on agit pas forcément de façon cohérente…

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Il y a comme ça de temps à autres des chansons qui nous embarquent dès la première écoute, par la force de leur mélodie, par quelques notes qui virevoltent et nous mettent quelques belles étoiles dans les yeux. Assurément, « Acting Strange » s’inscrit dans cette lignée tant Lost a trouvé l’alchimie parfaite pour nous offrir quelques minutes de douce apesanteur où, bercés par des nappes synth pop, on décolle rapidement direction une dimension de pure légèreté musicale. Difficile, dès que les premières notes résonnent à nos oreilles, en effet, de ne pas ressembler à cet astronaute qui traverse le clip de ce morceau, et de se déhancher doucement, au gré d’une mélodie caressante et d’une voix envoûtante. Difficile de ne pas se laisser aller au balancement induit par le groove délicat de cet « Acting strange » qui agit sur nous vraiment de façon étrange puisqu’il nous donne envie de sourire et danser…

 

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Joane – « Ça ira (je sais pas) »

Lorsque les sens se troublent et ne savent plus que choisir, peut-être suffit-il d’un mantra simple pour laisser s’exprimer ses amours…

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Des corps qui s’hypnotisent, se frôlent et se caressent, des désirs qui surgissent, s’imaginent dans tels ou tels bras sans toutefois oser aller au bout de l’envie, des amours qui ne savent se décider entre masculin, féminin ou pluriel, des lèvres écorchées qui s’entrouvrent et attendent la promesse d’une aube exténuée, des joues qui se creusent alors que des torses se bombent, une musique, entre pop et électro, qui invite au relâchement, au lâcher prise, à la confrontation amoureuse des sens et des expérimentations, qui fait fi des préventions d’une société, d’une époque, et ces mots avec lesquels Joane nous caresse, justes, simples, touchants. Affirmation contradictoire que son « Ça ira (je sais pas) », finalement à l’image de notre univers, où l’on parle beaucoup, où l’on fantasme énormément, l’amour sans frontières, sans barrière, libre et hors normes, mais où, malheureusement, avoir des aspirations différentes fait peur, donne des envies folles, meurtrières. Injonction folle mais ô combien nécessaire donc que de s’enivrer de musique pour mieux laisser libre champ à ses attirances, quelles qu’elles soient, et pouvoir dire, comme Joane, ça ira, ça ira, ça ira… car ce n’est finalement que de l’amour !

 

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