1
0
Finalement, faire du bon c’est facile !… Vous prenez un guitariste stakhanoviste capable d’enregistrer plusieurs albums par an (la légende dit jusqu’à 18 et quelques miettes cette année), vous lui filer carte blanche et vous appuyez sur le bouton enregistrement. Et hop la magie opère, vous voila devant un « Watcha gon’ do » qui, à défaut d’être totalement original, fait diablement son office. Soit un titre qui groove, claque au vent et nous donne envie de faire de longs rides sur les highways US. Clairement, Eric Gales, que Joe Bonamassa considère comme « l’un des meilleurs guitaristes sinon le meilleur au monde » et laisse pantois Carlos Santana, est de la race des seigneurs, ceux qui par leur touché, leur doigté, sont capables de faire sonner leur 6 cordes comme une arme de destruction massive… A consommer sans modération…
