Émilie, le printemps est fini, il ne reste rien de nous, de nos amours émerveillées, de ces odeurs que l’on chassait le nez au vent sans en avoir l’air, il ne reste qu’un verre posé dans un coin, un dessin tracé à l’encre de nos nuits évasives, quelques souvenirs de cinéma, quelques émotions trop éphémères, cette histoire, la notre, ne sert plus à grand chose mais elle comble ici ou là quelques heures insomniaques. Émilie de toi et moi ne reste rien si ce n’est quelques petites notes légères échappées de deux guitares joyeuses, quelques mots qui écrivent une chanson qui porte ton nom et nous est joliment contée par Grand Palladium, une ritournelle pop à deux voix pour mieux nous raconter l’histoire de cette dessinatrice de BD rencontrée un soir de Fête de la Musique du côté de Brest et qui a disparu aussi librement qu’elle est apparue, laissant paradoxalement une irrésistible envie d’aller de l’avant…
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