Sans se soucier de rien se laisser porter par les volutes d’une voix aérienne, plonger à corps perdu dans un ouate juste déchirée par instants par quelques percussions envoûtantes, courir les bois à la recherche d’une essence mythique, réelle ou imaginaire, se laisser submerger par la poésie de l’instant, pure et limpide, d’une chanson où les mots s’enroulent autour de notre esprit pour nous transporter et nous propulser dans un onirisme merveilleux… Suivre sans se poser de questions la trace d’Ilia, se mettre à genoux et accepter qu’elle « sonne l’hallali » de nos rêves évanouis et trouble nos sentiments les plus fous, les plus forts, et se perdre dans l’univers captivant qu’elle nous propose, monde merveilleux et organique où l’ombre et la lumière se mêlent harmonieusement pour nous inviter au voyage. Beau et fort à la fois, un moment de grâce à déguster encore et encore jusqu’à la transe !