Emmanuel Della Torre – « Osez Joséphine »

Emmanuel Della Torre ose reprendre Bashung et s’en sort avec les honneurs…

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Pour sûr, il fallait oser !… Oser s’attaquer à la montagne sacrée, à ce monstre poétique qui, des décennies durant, nous fit tourner la tête avec ses mots fabuleux et ses mélodies inoubliables !… Habituellement, lorsque l’on ose même évoquer l’hypothèse, nous sortons les bazookas et les sourires carnassiers, prêts à faire un massacre de l’impétrant assez fou pour tenter l’exercice. Et puis arrive, rarement il faut l’avouer, que l’on soit agréablement surpris et que, par un petit décalage, un petit plus qui, d’un coup d’un seul, rend la chose non seulement acceptable mais, en prime, intéressante. C’est bel et bien ce qu’a réussi Emmanuel Della Torre en nous offrant sa vision, aussi personnelle qu’envoûtante, de l’immortel « Osez Joséphine » du non moins indispensable Alain Bashung. Ici point de folie furieuse, de tourbillon mélodique qui nous emporte et nous transporte, mais, a contrario, une douceur, une délicatesse, tendrement soulignée par sa guitare slide et un immense respect visible pour l’auteur. A tel point, même, qu’en quelques notes acoustiques seulement, Emmanuel Della Torre nous emmène ailleurs, dans cette contrée sauvage qu’il aime tant, et fait de ce morceau ancré dans notre mémoire collective, une œuvre neuve, une chanson que l’on pourrait presque imaginer originale. Il était osé d’oser, il l’a fait de sa voix profonde et l’a pleinement réussi… Bravo !

 

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Emmanuel Della Torre – « Little Picking »

Avec son « Little picking », Emmanuel Della Torre nous entraîne dans une balade folk qui fait du bien en douceur…

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En descendant la rivière, les pieds posés sur les rails d’une voie ferrée qui semble ne mener nulle part, un cheval garé en double file, les sens à l’affut de cet accent que l’on reconnait entre mille, Emmanuel Della Torre s’est un temps posé entre rêve et réalité pour, une fois encore, délicatement déclaré sa flamme à ce pays aux espaces aussi grands que sa légende. Un appel du Boss, réel ou non peu importe, et voici les mots qui doucement s’échappent pour venir se poser sur une mélodie folk aussi tendre qu’envoûtante, quelques mots du king du New-Jersey sur ce « little picking » qui sonne et résonne au plus profond de nos âmes et le voici qui repart dans une échappée sauvage sur les routes rudes et magnifiques de cette Amérique fantasmée. En nous emmenant loin, très loin, de notre hexagone de plus en plus triste, Emmanuel Della Torre nous offre un petite dose d’ailleurs qui donne le sourire, un massage auditif qui fait un bien fou et nous transporte en plein cœur de ce rêve américain qui, encore aujourd’hui, arrive à nous faire vibrer…

 

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Emmanuel Della Torre – « Mauna Kea, Mauna Loa »

Envie d’ailleurs ?… Emmanuel Della Torre vous propose une petite virée du côté d’Hawaï… ça vous tente ?

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Petit flash-back. Il n’y a pas si longtemps, Emmanuel Della Torre nous emmenait en road-trip le long des routes, plus ou moins chaudes, des Etats-Unis, nous offrant, de loin en loin, quelques magnifiques cartes postales musicales, où chaque note de musique inscrite à l’encre bleue des kilomètres parcourus, nous invitait au voyage, à l’onirisme, au partage. Comme une logique sous-jacente, il fallait que le périple prit fin un jour, géographie oblige. Pourtant, il nous restait en bouche comme un goût de pas assez, une envie de plus, d’ailleurs, d’encore. Il nous fallait une nouvelle petite carte postale, pour la route, pour rêver quelques minutes de plus.
Il faut croire qu’Emmanuel Della Torre, comme nous bloqué dans un hexagone aux couleurs bitume et tristesse, ait lui aussi ressenti ce besoin, cette envie d’aller se frotter aux accents de ce pays hors normes, monstre aux paysages merveilleux et impressionnant. Alors, il a claqué sur sa guitare quelques accords ensoleillés, joyeux, dignes de ces îles que l’on appelle Hawaï, ultime (???) étape de cette odyssée folk qui nous a accompagné ces derniers mois. « Mauna Kea, Mauna Loa » comme cri de ralliement pour tous ceux qui ont envie d’horizons dégagés, de mer chaude et de nature luxuriante, deux noms de volcans comme paradoxal titre d’une mélodie apaisante, délicate, tout sauf violente ou agressive, et pour Emmanuel Della Torre le symbole d’une vision (un peu) décalée de cet ailleurs de rêve qu’il sait si bien mettre en musique. Pour nous, en tout cas, une nouvelle étape des plus agréables qui, on l’espère, sonnera bientôt l’heure d’un nouveau voyage, à Hawaï ou ailleurs, pourvu qu’on dévore les kilomètres en écoutant la musique d’Emmanuel Della Torre…

 

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Emmanuel Della Torre – « Où vont-ils nos accords ? »

Où vont tous les accords d’Emmanuel Della Torre ?… Facile, ils vont directement dans nos oreilles pour nous procurer de belles sensations…

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Où vont-ils donc tous ces accords qui régulièrement s’échappent de la guitare slide d’Emmanuel Della Torre, vers quel ailleurs lointain, quel horizon flamboyant ?… Difficile à dire tant on les imagine caracolant dans les vastes plaines d’un eldorado américain aussi sauvage qu’éblouissant, tant on se dit que ces notes et ces mots sont faits pour les grands espaces, pour les road-trips sans frontière, sans limite, presque sans règle. Que ce soit dans un sublime soleil couchant ou sous une chaleur accablante, en pleine nuit ou dans la grisaille de journées sans fin, à chaque fois les accords qui s’élancent à la conquête de nos oreilles font mouche, trouvant systématiquement le chemin de nos cœurs et de nos esprits, nous envoyant irrémédiablement dans cet ailleurs fantasmé, et pourtant si proche de ce que l’on pourrait connaître, où l’on se sent invulnérable, porté par une énergie folle, où l’on se rêve cowboy solitaire galopant sans trêve à la poursuite de son destin. Avec « Où vont-ils nos accords ? », Emmanuel Della Torre réussit une fois de plus à nous transporter loin de nos quotidiens à la banalité tristounette et à mettre dans nos esprits un peu de cet ailleurs mythique que l’on aimerait tant fouler un jour ou l’autre. De quoi, en tout cas, regarder notre horizon avec quelques étoiles supplémentaires dans les yeux !…

 

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Emmanuel Della Torre – « Elle continue ma route »

Elle continue la route américaine d’Emmanuel Della Torre, au son d’une folk délicate et envoûtante…

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De loin en loin, Emmanuel Della Torre nous envoie quelques nouvelles de l’Ouest sous forme de cartes postales musicales et visuelles qui, à chaque fois, nous font le même effet, cet indicible bonheur de pouvoir le suivre dans ces pérégrinations au cœur des étendues sauvages, grands espaces vierges de toute pollution humaine, paysages magiques qui nous font rêver, voyager. A l’écoute de cette nature qu’il traverse, notre regard admiratif sur l’épaule, sa guitare folk laissant échapper quelques notes impressionnistes pour mieux nous embarquer dans ce road-trip nord-américain, il trace sa route en observateur amoureux de ce qu’il découvre, de cette magnifique nature à la fois envoûtante, effrayante, sublime et préservée de nos folies. Quelle chance nous avons d’avoir ainsi un ami qui, vadrouillant au cœur de la beauté, prenne le temps de la partager avec nous, de nous offrir quelques instantanés magnifiés par les accents de dobro et slide, bercés par cette folk qui imprègne jusqu’au moindre atome de notre esprit vagabond. Avec lui, on continue la route qui va de haut en bas, direction Santa féerique, et qui sait, à sa suite, peut-être prendrons-nous le temps de nous perdre au hasard de découvertes, de la vision magnétique de cette sauvage et imposante nature !… C’est tout le mal que l’on se souhaite en attendant avec impatience la prochaine carte postale d’Emmanuel Della Torre…

 

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Emmanuel Della Torre – « La nostalgie de l’ours blanc »

Emmanuel Della Torre nous invite à nous sentir ours blancs nostalgiques…

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Ça fait un moment que le phoque est parti pousser la complainte d’Alaska sous d’autres cieux, la faute à tous ces hommes qui sont venus souiller sa nature immaculée, à ces machines qui se sont installées en lieu et place des paysages blancs glacés. Alors, avec une grosse pointe de nostalgie, son copain l’ours blanc essaie tant bien que mal de survivre sans amis, seul et terriblement, dans cet univers chamboulé où ses repères ne sont plus. Lui si fier, si sauvage, peu à peu se dit qu’il est temps d’aspirer à autre chose, peut-être se fondre dans la masse et ressembler à ces ridicules hommes qui ne cherchent que le profit, quitte pour cela à détruire ce qui fait l’essence même de la vie sur Terre. Il sait, lui, que tout cela n’a pas de sens, qu’un jour où l’autre, le plus fort ne pourra plus imposer sa loi et sera à son tour dans la peau de l’ours blanc chassé de sa banquise, poussé à la dérive vers un ailleurs inconnu juste pour assurer sa survie. Alors, lorsque personne ne le voit, il se pose là et se laisse bercer par quelques mélodies que certains de ces étranges humains imaginent, rêvant à un avenir plus joyeux, plus paisible. Et s’il regrette sa triste condition et ses demains qui ressemblent à un enfer, il puise un peu de sérénité, un peu de baume pour son cœur égratigné, dans la douce folk de cet étranger différent, cet Emmanuel Della Torre, primate de sang, de chair et d’os, comme lui, qui chante en douceur sa lente dérive vers le néant et a si bien su capter « la nostalgie de l’ours blanc ». Qui sait, peut-être même qu’après il le suivra et avec lui partira vers d’autres continents où l’homme et l’animal peuvent vivre en paix et en harmonie. Il a bien le droit de rêver, lui qui n’a plus que ça face au tout puissant shérif, ce cowboy avide de conquêtes qui détruit tout sur son passage. Et espérer demain pouvoir être de nouveau libre sur cette banquise qui l’a vu naître et grandir…

 

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Emmanuel Della Torre – « J’entends encore Anchorage »

Et si l’on allait faire un petit tour du côté d’Anchorage avec comme guide Emmanuel Della Torre ?…

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Il y a, parfois, des rencontres d’une vie que l’on ne découvre que progressivement, des voyages qui ne s’effeuillent devant nos yeux que petit à petit. On savait, pour l’avoir déjà suivi, qu’Emmanuel Della Torre était artiste de grands espaces, capable, avec sa guitare et son goût pour la folk et ce rock qui nous vient d’outre-Atlantique, de nous embarquer pour un road-trip fait d’émotions et de sensations.  Nul étonnement, donc, à ce qu’il récidive aujourd’hui avec une nouvelle balade vers cet horizon lointain qui fait autant rêver que frissonner d’envie. Et lorsqu’il nous avoue qu’il « entends encore Anchorage » c’est au sens propre du terme qu’il faut le comprendre, dans ce voyage vers le grand nord américain qu’il faut le suivre. Car c’est là, dans ce petit coin d’Amérique où la mer se recouvre de glace, où la neige recouvre les espoirs et les illusions, où l’homme n’est finalement que peu de choses face à la puissance d’une nature pas toujours domptée, qu’il finalise un peu plus encore, en quelques mots bruts et une petite mélodie douce, sa carte amoureuse d’un pays pour lui mythique, de ces étendues sauvages où sa musique résonne comme une évidence. Alors, par la grâce de quelques notes et de quelques images, nous voici nous aussi désireux d’aller y jeter un oeil histoire de découvrir, peut-être, ce qu’Anchorage a à nous dire…

 

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Emmanuel Della Torre – « From my home sweet home »

Emmanuelle Della Torre nous envoie une carte postale magnifique from his home sweet home…

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Qui n’a pas eu, un jour ou une nuit, envie de mettre les voiles, de partir au long cours pour avoir le plaisir, un jour plus ou moins longtemps, de revenir, de retrouver sa base, son essentiel ?… On a tous, ainsi, dans un petit coin de notre esprit, un lieu mythique que l’on rêve d’aller fouler, une douce balade que l’on s’imagine faire, une petite mélodie nous accompagnant intérieurement, une envie de chevauchée sauvage que l’on ferait cheveux au vent et sourire aux lèvres. Ce voyage, on peut le faire – chose de plus en plus complexe par les temps de confinement intérieur et extérieur qui courent – dans la « vraie vie » mais on peut, aussi, comme nous le propose Emmanuel Della Torre le provoquer dans notre imaginaire, en se laissant porter par une douce mélodie folk americana, en se laissant doucement prendre au piège de douces images que l’on imagine venues d’un ailleurs forcément magique, forcément étourdissant de beauté. Alors, si l’on se prend au jeu, voila que l’on s’échappe du quotidien, caressé par des mots délicats et emporté par des notes qui ne ressemblent en rien à ce que l’on a l’habitude d’entendre sous nos latitudes, envoûté par la vision de cette fenêtre sur un ailleurs poétique qu’ouvre pour nous l’artiste.  Et au bout de ce trip onirique, l’on se dit que si cet espace plus ou moins grand qui nous attire irrésistiblement, cette base arrière que nous présente Emmanuel Della Torre est aussi belle et chaleureuse que ces paysages volés à l’horizon, on doit s’y sentir fort bien…

 

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Emmanuel Della Torre – « Laora Rosewood »

De toutes, sans nul doute pour Emmanuelle Della Torre « Laora Rosewood » est la plus vitale à son équilibre…

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Sublime inconnue rencontrée au hasard d’une errance musicale, objet de tant de désirs et d’émerveillement, elle n’est pas de celles que l’on pose dans un coin pour ne plus s’en préoccuper. Non, au contraire,  avec ses courbes parfaites, cette couleur qui tend vers la perfection, ce petit air mutin et ces accents venus tout droit du sud des Etats-Unis, elle serait plutôt de ces compagnes exigeantes que l’on couve de gestes tendres, même si, de temps à autres, il nous arrive de les maltraiter un peu. Oh trois fois rien, quelques secousses, quelques frottements saccadés, deux ou trois pincements juste pour le plaisir de leur tirer des sons magnifiques. Elle est cette accompagnatrice merveilleuse qui réussit, par petites touches plus ou moins rapides, à transformer les notes de musique en émotions pures, à faire des mots qui glissent de nos bouches des volutes sublimes qui vont au plus loin dans l’âme de ceux qui les reçoivent. Alors, il fallait bien une chanson pour lui rendre hommage, un petit air folk, americana, tout tendre, tout délicat, comme ce « Laora Rosewood » d’Emmanuel Della Torre, pour transmettre un peu de cet amour que ressent immanquablement le musicien pour sa guitare, cette compagne des bons et des mauvais jours, parfois source d’inspiration, parfois « juste » merveilleux outil pour exprimer ce que nos mots et nos paroles ne peuvent ou ne savent dire…

 

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