L’été finalement est la saison idéale pour se laisser aller à la découverte sans a priori, à la légèreté et à la bienveillance. Ainsi, parfois, au détour d’une rue, d’une place, se plaît-on à suivre les pérégrinations de LambR à la poursuite de sa « Poupée brune », cette silhouette de fiction à laquelle il écrit sans aucune modération, celle qui hante ses rêves et peuple ses nuits jusqu’à ce que ses draps s’en souviennent. Une petite mélodie qui entre en tête et quelques mots qui coulent sans chercher à se faire trop, il n’en suffit pas plus à LambR pour nous embarquer dans sa recherche du corps perdu et nous offrir une parenthèse pop fort agréable…