Un peu de swing, un peu d’électro, un peu de hip hop, mais surtout un maximum de plaisir avec ce premier extrait du prochain opus de LMZG
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Un peu de swing, mais pas que…, en plein hiver, ça fait toujours du bien, ça peut même, lorsque c’est bien fait, coller un joli sourire sur le visage pour un moment. Pour preuve avec ce nouveau titre de Lamuzgueule, bien épaulé par le producteur autrichien The Swing Bot, qui nous met en orbite « pleins phares » pour un moment. Un peu d’électro, beaucoup de swing, un zest de hip-hop, la recette que le groupe, emmené par ses deux chanteurs Agathe et Romain, nous propose est sans conteste de celles qui donnent envie irrésistiblement de bouger ou, à défaut, mettent de bonne humeur pour un sacré bout de temps. Un single, en tout cas, de très bon augure avant la sortie du prochain album « I Am Anachronic » en mai prochain.
Parfois la douceur d’un rythme nous apaise mais la musique d’Alambic, elle, est trop funky, a trop de groove pour ne pas nous faire décoller autrement que totalement !
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Demain, après-demain, allez peut-être même aujourd’hui, Alambic réunira sa tribu pour l’entretenir d’un problème important, vital même, concernant l’essentiel de l’espèce humaine, ces petites choses étranges que nous sommes et qui depuis la nuit des temps se demandent s’il vaut mieux être amis ou amants, si l’homme et la femme sont faits pour se projeter ensemble dans l’avenir et juste programmés pour être de fugaces forces vives s’agitant l’une sur l’autre. L’erreur est humaine et l’homme sait ô combien les accumuler surtout lorsqu’il s’agît de plaire aux femmes, à une femme, et que l’on parle universel ou personnel, le résultat est le même, la main de l’homme adore caresser la peau de l’autre, en douceur, juste pour qu’elle se sente bien, détendue, amoureuse. Talents multiples d’un animal sensible qui sait également que se promener sur le corps de sa partenaire sur une mélodie en adéquation avec le moment ne peut que sublimer l’instant, multiplier les sensations. Et quand ce rythme ressemble au groove funky d’Alambic, l’homme sait qu’il devra être à la hauteur des attentes, passer outre ses préventions pour utiliser toutes les armes que l’on a mis dans ses mains, ses doigts, sans prétention mais avec un peu d’auto-dérision, un peu de confiance et beaucoup d’aveuglement, du temps et des envies, comme celle de choisir son camp, et pouvoir ainsi dire à celle qui ourle l’atmosphère de douces vibrations, qu’il est arrivé le moment de trancher, d’être ton ami « et ton amant », et laisser l’avenir choisir la fin de l’histoire…
Dub Silence cherche son blaze et on a qu’une envie, les aider…
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Hey, si demain je me mets à faire de la musique, avec ou sans basse électrique, une chose est sûre, je ne suis pas convaincu de garder mon nom, pas assez sexy, pas trop facile à prononcer, dur à écrire, à retenir, ni assez fun ni assez hype. Non, il faut que je me trouve un pseudo, un truc qui claque et me fait immédiatement sortir du lot. Oui, c’est ça, faut que je « cherche un blaze », tout nouveau tout beau, inédit et percutant, une signature qui en jette tout en collant à ce que je suis, à qui je suis. Facile me direz-vous !… Pas sûr, pas sûr… J’ai cherché, pas trouvé, reniflé, pas adopté, et puis voila que Dub Silence vient à ma rescousse, avec ce joli talent à trousser des mélodies qui groovent et swinguent, qui prennent appui sur un lit reggae/hip hop pour mieux s’en échapper et aller voguer vers d’autres horizons. Avec cette petite bande qui, de loin en loin, nous régale avec ses titres et ses clips bourrés d’humour et de bonnes vibrations, tout va tout de suite mieux pour moi, mon avenir patronymique s’éclaire et se nourrit de leurs propositions. Serais-je MCilence ou MCie Sauteuse, ferais-je bientôt mes premiers pas en tant que MCimetière ou Mcylindre, je ne le sais pas encore mais une chose est sûre, c’est qu’en attendant, j’aurais pris une petite dose bienvenue de plaisir simple, un shot d’énergie positive, une bonne rincée de bonne humeur. Alors, que je trouve ou non le patronyme qui fera de moi une star mondiale, au moins grâce à Dub Silence j’aurais eu quatre petites minutes de sourire gratuit…
Chamad Shango fait swinguer notre tête – et le reste – avec l’irrésistible « Apokolo »
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S’il y a bien une chose qui devient de plus en plus prégnante ces temps-ci, c’est bien notre besoin de fantaisie, de légèreté, d’insouciance même alors que les nuages noirs s’amoncellent au dessus de nos têtes pas toujours libres de leurs mouvements. On ne peut donc que se féliciter d’avoir sous la main des agitateurs de sons tels que Chamad Shango qui, inlassablement, s’ingénient à nous offrir des bulles de bonne humeur musicale, des petits moments suspendus qui mettent du soleil dans nos têtes et dans nos coeurs. Assurément, « Apokolo », nouvel extrait de l’album presque éponyme « Apokolo Libido » qui sort ce 16 octobre, fait partie de ces petites parenthèses qui boostent sans que l’on ne s’en aperçoive vraiment, avec un groove d’un autre temps et une voix, celle d’Ory Minie, fantasque diva polynésienne, qui donne irrésistiblement envie de bouger. Après « Kick out the beast », Chamad Shango remet une pièce dans la machine à swing et c’est peu dire que ça fait un bien fou !
L’émoi des moi qui se conjuguent, se frôlent et se touchent, des mots que l’on murmure pour la première fois ou pour la millième fois, des corps qui s’abandonnent à une étrange danse où plus rien n’a d’importance si ce n’est la passion et les couleurs du frisson, et la question, lancinante, étrange et vitale, de savoir s’il existe une mélodie qui pourrait traduire tout cela le mieux possible, qui saurait nous parler de tous ces amours que l’on a eu ou que l’on aura la chance de connaître. Une voix comme celle de La Maja, chaude et sensuelle, qui sait mettre de la soul dans la pop pour nous caresser et nous embarquer, une voix pure qui enroule autour de nous un filtre délicat fait de passion amoureuse et de rencontres immédiates, d’élans partagés et de voyage au long cours. « Une seule dose », pas plus, pas moins, pour adhérer aux émois de l’autre, pour laisser les corps s’exprimer et faire de l’instantané un moment d’éternité, une seule dose d’amour pour regarder la vie en multicolore et laisser nos « je t’aime » revenir vers nous comme des boomerangs merveilleux… Une seule dose de La Maja, alias Olympia Boyle, pour tanguer et naviguer sur les flots doux d’une pop aussi envoûtante que belle, pour voir les heures s’évanouir devant nos yeux amoureux, juste pour le plaisir, juste parce qu’il est bon d’être amoureux, pour la première fois, la millième fois ou la dernière fois !
Avec « Authentic », James Z nous balance un son qui claque autant qu’il envoûte…
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Qui a dit qu’il fallait forcément rester dans des chemins balisés et habituels pour attirer l’attention ?… Personne et surtout pas nous qui adorons découvrir de nouveaux sons, des artistes qui font un pas de côté ou prennent carrément un sentier décalé. Comme par exemple James Z et son groove urbain qui nous balance aujourd’hui un « Authentic » son pur, une errance magnifique où l’urgence pointe sous la nonchalance, où le flow caresse, ensorcèle, subjugue autant qu’il déstabilise en étant sur le fil, presque en rupture. Loin de ce que nous offre la scène française, il pourrait s’inscrire – et pas que parce qu’il chante en anglais ! – dans cette mouvance anglaise qui privilégie l’émotion et les sensations, qui sait nous embarquer – comme il le fait ici avec son superbe clip manga ! – dans un trip sous acide, où les sons se mêlent intimement aux images pour nous faire décoller et nous procurer moult émotions fortes. A n’en pas douter, James Z ne fait rien comme tout le monde, mais il le fait tellement bien qu’on est sous le charme !