Notre sélection de clips du lundi 16 septembre 2024

Une semaine qui commence en beauté est toujours une semaine que l’on débute paisiblement en découvrant notre sélection de clips…

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Quel plaisir, une fois de plus, de vous retrouver pour vous proposer une nouvelle petite sélection de clips piochés ici ou là, invitation au voyage vers des contrées lointaines ou des sonorités différentes. Cette sélection, nous la faisons chaque semaine en toute subjectivité, en intégrant ce qui nous provoque quelques sensations, parfois honteuses on doit l’avouer, et que nous avons envie de partager avec vous. 

Alors, maintenant que vous êtes là, ne fuiez pas de suite et, selon vos goûts, partez à la découverte de ce que l’on vous a déniché pour cette petite sélection super sympa. Regardez donc ce qu’ont trouvé les oreilles averties de la rédaction parties le nez au vent à la recherche de quelques sonorités éclectiques capables de vous faire vibrer, vous surprendre, vous émouvoir, peut-être même vous faire sourire… et entre rock et chanson, métal et guitare, rap et pop, et quelques autres sonorités dérivées de ces esthétiques, saurons vous filer quelques bonnes vibrations capables de faire du bien au corps et au cœur.

Alors sans plus attendre, place à la musique (et un peu aussi aux images qui bougent), à vous de jouer en scrollant le long de cette playlist du 16 SEPTEMBRE 2024, histoire de découvrir – ou redécouvrir – ces artistes que vous n’entendrez (pas forcément) ailleurs. Place, donc, par ordre d’apparition à l’écran, à nos 15 clips de la semaine :

-M- & THIBAULT CAUVIN / HUM HUM / OLYMPE CHABERT / EMILY LOIZEAU / INFINITAS / GEORGIE / KALANDRA / MADDLY / GRAND CORPS MALADE / HATIK / HU3M3N / ANAKRONIC ELECTRO ORKESTRA / ATARASHII GAKKO ! / DEATHBYROMY / CLARA

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour quelques clips de plus, rendez-vous lundi prochain pour une nouvelle sélection aux petits oignons…

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Les sorties d’albums du 10 novembre 2023

Comment bien débuter un week-end ?… Simple, il suffit de jeter un coup d’oeil aux sorties albums de la semaine et de faire son choix…

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Une nouvelle fois, voici une belle semaine du côté des sorties d’albums avec beaucoup de chanson française – et notamment le retour (un peu) inespéré d’Isabelle Adjani presque 40 ans après son premier essai sous la houlette de Serge Gainsbourg -, ce qui, finalement, montre à quel point la scène française, dans sa diversité, est encore vivante. 

Donc, entre chanson et k pop, métal et rap, folk et jazz, il y a forcément quelque chose dans cette sélection hebdomadaire, non exhaustive certes mais plutôt copieuse, qui vous apportera de jolies sensations. A vous de jouer, vous n’avez plus qu’à scroller et écouter ce que bon vous semble. 

Alors, sans perdre une seconde, une minute ou une heure, place à la musique… Bonnes découvertes à vous (n’oubliez pas qu’il suffit de cliquer sur un album pour en découvrir un extrait clipé… mais pas toujours) et à la semaine prochaine pour de nouvelles sorties en streaming ou en physique…

 

Avec cette semaine au programme, les albums de VIANNEY / DE PALMAS / NUIT INCOLORE / ISABELLE ADJANI / TEMPLE BALLS / HELMET / LYNDA LEMAY / SOUFFRANCE / AESPA / BEIRUT / AN’OM & VAYN / STRAY KIDS / STACEY KENT / CHRIS STAPLETON / SOPHIE LLOYD / HUGO’S VOYAGE / GEORGIO / GREGORY PRIVAT / TARJA / ROSIE DARLING / QUANTIC / RICK ROSS & MEEK MILLS / AVRIL SLOAN / LOLA BROOKE

 

                     

                     

                     

                     

                     

                    

                    

                     

 

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Le Rock à l’honneur à GUITARE EN SCENE 2023

Le plus petit des grands festivals a désormais son affiche complète et ça envoie du très très bon !

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Il y a quelques semaines/mois de cela, le plus petit des grands festivals nous avait dévoilé une première partie de son affiche puis une seconde, nous mettant l’eau à la bouche avec des noms aussi prestigieux que virtuoses. Puis les jours ont passé et on se demandait ce que Guitare en Scène allait nous concocter pour la dernière soirée qui se faisait désirer.

Supputations diverses et variées, espoirs plus ou moins fous, nous avions beau questionner, harceler, essayer de soudoyer, nos contacts à l’intérieur de la machine haut-savoyarde, rien ne filtrait si ce n’est l’assurance que nous ne serions pas déçus. En soit, pas un scoop tant le festival dédié au rock, sous toutes ses formes, et au blues, nous comble de bonheur chaque année.

Et puis, presque sans prévenir, voici que déboulent les derniers noms, ceux de cette soirée du 21 juillet normalement consacrée au hard-rock. Bim, surprise, surprise, ce n’est pas vraiment un groupe de hard qui tiendra le haut de l’affiche ce soir-là, mais un GES All Star Band créé pour l’occasion, donc par essence éphémère et totalement inédit, avec d’excellents musiciens et un répertoire pioché dans celui de Whitesnake. A voir ceux qui vont venir fouler les planches de Saint-Julien en Genevois, on ne peut, d’ailleurs, s’empêcher de penser que l’on aura le goût du Whitesnake, le bruit du Whitesnake, la couleur du Whitesnake sans avoir l’original puisque David Coverdale n’est pas de la partie. Ceci étant, si l’on en juge par ses récentes performances vocales en live, on se dit qu’on gagnera au change avec Dino Jelusick…

Jeune vocaliste plein d’avenir que ce Dino qui, en prime, nous offrira une ouverture de soirée bien heavy comme on aime aux commandes de son groupe Jelusick.

Et pour boucler la boucle de cette soirée qui promet son lot de bons décibels, c’est le rock survitaminé de KO KO MO qui est invité à venir déferler sur nos pauvres épaules fourbues. Ce qui tombe plutôt bien vu le caractère énergisant de la musique du duo, idéal vecteur pour une remise en forme expresse avant le dodo…

Si on ajoute à cela que c’est indubitablement l’un des festivals où l’on se sent le mieux – et honnêtement l’un des meilleurs en ce qui concerne l’accueil des pauvres journalistes que nous sommes ! –  on comprend que l’on ait d’ores et déjà réservé cette période-là pour aller squatter la Haute-Savoie !… Promis, on vous racontera tout !

GUITARE EN SCÈNE /// du JEUDI 20 au DIMANCHE 23 JUILLET 2023 /// SAINT-JULIEN EN GENEVOIS (74)
informations supplémentaires & réservations : www.guitare-en-scène.com ainsi que sur les plates-formes habituelles de vente.

 

      josz stone guitare en scène 2023       

     

 

             

       

 

               

         

 

                

         

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La PLAYLIST du 20 FÉVRIER 2023

Cette semaine encore, il y a de jolies (et bonnes) choses qui sont venues caresser nos tympans… Et hop notre playlist hebdo !

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Mine de rien, les semaines passent et, finalement, ne se ressemblent pas tant que ça. Bien sûr, on a tous notre routine, nos petits et gros soucis, mais une chose ne change pas, on prend beaucoup de plaisir à découvrir de nouveaux sons. Ceux des artistes que l’on connaît, bien sûr, et que l’on adore, mais aussi ceux, pour peu que l’on soit un tantinet curieux, de ces artistes dits émergents ou juste passés sous nos radars personnels. Et nous, à la rédac, on aime partager tout ça chaque lundi avec vous. Pour le plaisir de la découverte, pour le bonheur des yeux et des oreilles, parce que c’est toujours mieux de se poser pour écouter un peu de musique que de faire les foufous quelque part…

Alors, cette semaine, comme toutes celles qui ont précédé et celles qui vont suivre, on offre à vos regards curieux quelques beaux clips capables de vous transporter ailleurs, capables de vous enthousiasmer et vous faire sautiller sur place, peut-être même un ou plusieurs (ça ce serait top) d’entre-eux vous donneront envie de vous plonger un peu plus dans l’univers de l’artiste. Alors, point de mots en trop, place à la musique sous toutes ses formes et à de jolies découvertes ou redécouvertes.

Voici donc notre sélection de la semaine avec, par ordre d’apparition à l’écran (mais sans tri spécifique), les clips de SUZANE / PAN GALACTIC GARDEN / RODRIGO Y GABRIELA / ENTER SHIKARI / LINE SO THIN / GUILLAUME LÉGLISE / BEBE REXHA / XG / DAVE KENSINGTON / KYA KYANI / PARAMORE / TIËSTO

Et bien sûr, rendez-vous, ensuite, la semaine prochaine pour d’autres bonnes vibrations… 

 

   SUZANE >>> « Pura vida »
   Pop /// France
  Avec cet extrait de son nouvel album « Caméo », Suzane nous invite à lâcher prise et profiter de la vie sans se poser de question. C’est sûr qu’avec sa mélodie, ça devient tout de suite plus facile.

 

   PAN GALACTIC GARDEN >>> « How to dress (I never know) »
   Pop /// France
  Quand la pop se fait psyché et délicieusement planante, on a juste envie de s’y noyer et de faire ce trip sans se poser de questions, l’esprit ouvert à tous les possibles.

 

   RODRIGO Y GABRIELA >>> « Descending to nowhere »
   Rock /// Mexique
  Enfin de retour, les magiciens de la guitare Rodrigo y Gabriela nous régale avec ce titre planant qui donne d’irrésistibles envies d’ailleurs

 

   ENTER SHIKARI >>> « It hurts »
   Rock alternatif /// Grande-Bretagne
  En prélude de la sortie de leur nouvel album « A kiss for the whole world » qui sort le 21 avril prochain, les anglais d’Enter Shikari balancent ce nouvel extrait bien efficace. 

 

   LINE SO THIN >>> « Done with everything »
   Metal /// USA
  Line So Thin balance ni vu ni connu je t’embrouille un titre certes classique mais hyper efficace, qui donne envie de se craquer la nuque et s’écoute en boucle…

 

   GUILLAUME LÉGLISE >>> « L.O.V »
   Pop /// France
  Quand la pop se fait élégante et délicate – mais pas inutilement précieuse -, on ne peut qu’adopter et se lover dans quelques minutes de paisible bonheur.

 

   BEBE REXHA >>> « Heart wants what it wants »
   Pop /// USA
  Envie de se trémousser un peu en cette fin de semaine ?… Pas de problème Bebe Rexha sait comment faire pour vous secouer les atomes.

 

   XG >>> « Left right »
   K-Pop /// Corée du Sud
  Les 7 filles de XG nous envoient dans l’espace avec leur nouveau single groovy à souhait.

 

   DAVE KENSINGTON >>> « Pop star »
   Chanson /// Belgique
  Pas sûr que Dave Kensington aime les influenceurs(ses) mais vu de Miami ça donne une chanson qui fait son petit effet.

 

   KYA KYANI >>> « Core »
   Electro /// Allemagne
  Hypnotique pour son rythme, faisant sens pour ses mots, ce titre de Kya Kyani est de ceux qui ne peuvent laisser insensibles.

 

   PARAMORE >>> « Running out of time »
   Rock /// USA
  Hayley et sa bande reviennent nous hanter – pour notre plus grand plaisir – avec un nouveau titre plutôt sage et malgré tout entêtant…

 

   TIËSTO >>> « Lay low »
   Electro /// Pays-Bas
  Voila un titre qui devrait sans trop de mal faire lever quelques bras cet été dans les festivals électro de France et d’Europe.
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Guitare en Scène 2023 nous met l’eau à la bouche…

Rien à dire, les 6 premiers noms de l’édition 2023 de Guitare en Scène nous mettent sacrément l’eau à la bouche…

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On ne le dira jamais assez dans ces pages, le festival haut-savoyard Guitare en Scène est indéniablement l’un de nos préférés, de ceux rares, très rares, où, pour peu que l’on soit amateur de rock, blues, métal, il n’y a strictement rien à jeter dans la programmation. Année après année, on peut y admirer ce qui se fait de mieux en matière de musique électrique à base de guitare.

Forcément, après nous avoir régalé l’an dernier avec Scorpions, Jeff Beck, Beth Hart, Deep Purple, Ben Harper, Black Label Society, Kingfish et autre Airbourne ou Last Train, on ne pouvait qu’attendre impatiemment les premiers noms de ce « petit » festival au très très grand cœur. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les furieux qui sont derrière tout ça (chapeau bas au passage pour tant de folie et de persévérance mises au service du rock) ont visiblement de continuer sur leur lancée en nous offrant une nouvelle édition fabuleuse.

Pour le moment, seules les têtes d’affiches de deux jours sur quatre sont connues mais à les découvrir on se dit que l’on va prendre énormément de plaisir à se poser – parmi seulement 5000 autres festivaliers, la jauge maximale voulue par les organisateurs – devant la scène pour en prendre plein les oreilles et les yeux… Franchement, si les deux autres jours sont à la hauteur de ces deux-là, on va prendre un pied magistral cette année encore !

 

GUITARE EN SCÈNE — Saint Julien en Genevois (74) — autour du 20/22 JUILLET

Renseignements et billetterie : www.guitare-en-scène.com

 

    JEUDI 20 JUILLET   

           

 

    SAMEDI 22 JUILLET   

           

 

Rendez-vous en Haute-Savoie mi juillet…

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Johnny Depp s’invite au festival Guitare en Scène

Après s’être produit aux côtés de Jeff Beck en Angleterre, Johnny Depp réitère en France…

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Après s’être produits ensemble sur 2 dates en Grande-Bretagne, voilà que Jeff Beck et Johnny Depp réitéreront l’expérience en France l’été prochain et qu’en prime cela se passera dans le fort fort sympathique festival Guitare en Scène en Haute-Savoie. Autant dire que voir ces deux artistes sur la même scène dans les conditions idéales que nous offre ce festival de passionnés est un luxe que nous allons goûter comme il se doit. Surtout que les Beck et Depp, après avoir œuvré de concert sur la reprise « Isolation » de John Lennon (voir ci-dessous), ont profité des derniers mois pour enregistrer un album complet qui devrait sortir en juillet, soit pile poil au moment de Guitare en Scène. Si c’est pas bien organisé ça !… On a hâte d’y être pour voir ce que ces deux-là vont nous sortir comme vibrations magiques… En tout cas, cela promet un joli feu d’artifice musical pour ce 14 juillet !

JEFF BECK & JOHNNY DEPP – GUITARE EN SCENE – SAINT-JULIEN EN GENEVOIS (74) – 14 JUILLET

infos et réservations : www.guitare-en-scene.com

 

 

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Emmanuel Della Torre – « Osez Joséphine »

Emmanuel Della Torre ose reprendre Bashung et s’en sort avec les honneurs…

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Pour sûr, il fallait oser !… Oser s’attaquer à la montagne sacrée, à ce monstre poétique qui, des décennies durant, nous fit tourner la tête avec ses mots fabuleux et ses mélodies inoubliables !… Habituellement, lorsque l’on ose même évoquer l’hypothèse, nous sortons les bazookas et les sourires carnassiers, prêts à faire un massacre de l’impétrant assez fou pour tenter l’exercice. Et puis arrive, rarement il faut l’avouer, que l’on soit agréablement surpris et que, par un petit décalage, un petit plus qui, d’un coup d’un seul, rend la chose non seulement acceptable mais, en prime, intéressante. C’est bel et bien ce qu’a réussi Emmanuel Della Torre en nous offrant sa vision, aussi personnelle qu’envoûtante, de l’immortel « Osez Joséphine » du non moins indispensable Alain Bashung. Ici point de folie furieuse, de tourbillon mélodique qui nous emporte et nous transporte, mais, a contrario, une douceur, une délicatesse, tendrement soulignée par sa guitare slide et un immense respect visible pour l’auteur. A tel point, même, qu’en quelques notes acoustiques seulement, Emmanuel Della Torre nous emmène ailleurs, dans cette contrée sauvage qu’il aime tant, et fait de ce morceau ancré dans notre mémoire collective, une œuvre neuve, une chanson que l’on pourrait presque imaginer originale. Il était osé d’oser, il l’a fait de sa voix profonde et l’a pleinement réussi… Bravo !

 

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La playlist du Vendredi 24 Décembre… et des autres jours de la semaine !

Comme chaque semaine, mais avec un bonnet de Père Noël, notre sélection de clips sympas pour bien commencer le week-end…

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C’est Noëëëëëëëëël !… Et ce n’est pas parce que le vilain variant vient jouer les trouble-fête que l’on doit se morfondre et couper toute relation avec le monde extérieur. Bon ok, vous pouvez couper les réseaux sociaux où, visiblement, se déchaînent les passions négatives, pour vous rabattre sur des sites comme celui-ci qui se contentent – mais c’est déjà pas mal dans l’époque actuelle ! – de vous ouvrir une petite fenêtre vers un ailleurs plus enthousiasmant. Alors, en ce jour de fête, jetons donc un petit coup d’œil curieux sur ce qui, chaque jour ou presque, sort sur nos écrans et sur nos plate-formes de streaming préférées, ces sons qui méritent d’être écoutés, voire regardés quand ils sont accompagnés d’un clip… Nous vous en présentons régulièrement dans les autres parties du site mais aussi ici-même, dans cette playlist hebdomadaire qui compile ce qu’on a reçu de sympa cette semaine… Sans tri, sans ordre de préférence, juste en vrac les clips et artistes – dans toutes les esthétiques car ici nous n’aimons pas beaucoup les cases préformatées ! – qui nous ont fait bouger quelques poils ces derniers jours, ou qui ont fait (un peu) l’actu et qu’on a envie de partager avec vous… Et puis, si vous avez un peu plus de temps, zappez donc sur le site, vous y trouverez sûrement d’autres petites pépites à votre goût…

 

 SAODAJ — « Un cri »          Maloya 

 

 STEVE VAI — « Little pretty »          Hard-Rock 

 

 RATU$ (feat. S.Pri Noir) — « Sur écoute »          Rap 

 

 AVATAR — « So sang the hollow »          Death Métal mélodique 

 

 SHEWOLF — « Burnt »         Rock 

 

 APRÈS LA NUIT — « Mon amour »         Electro romantique dark wave 

 

 DANCE WITH THE DEAD — « Sledge »         Metal synth 

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Emmanuel Della Torre – « Mauna Kea, Mauna Loa »

Envie d’ailleurs ?… Emmanuel Della Torre vous propose une petite virée du côté d’Hawaï… ça vous tente ?

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Petit flash-back. Il n’y a pas si longtemps, Emmanuel Della Torre nous emmenait en road-trip le long des routes, plus ou moins chaudes, des Etats-Unis, nous offrant, de loin en loin, quelques magnifiques cartes postales musicales, où chaque note de musique inscrite à l’encre bleue des kilomètres parcourus, nous invitait au voyage, à l’onirisme, au partage. Comme une logique sous-jacente, il fallait que le périple prit fin un jour, géographie oblige. Pourtant, il nous restait en bouche comme un goût de pas assez, une envie de plus, d’ailleurs, d’encore. Il nous fallait une nouvelle petite carte postale, pour la route, pour rêver quelques minutes de plus.
Il faut croire qu’Emmanuel Della Torre, comme nous bloqué dans un hexagone aux couleurs bitume et tristesse, ait lui aussi ressenti ce besoin, cette envie d’aller se frotter aux accents de ce pays hors normes, monstre aux paysages merveilleux et impressionnant. Alors, il a claqué sur sa guitare quelques accords ensoleillés, joyeux, dignes de ces îles que l’on appelle Hawaï, ultime (???) étape de cette odyssée folk qui nous a accompagné ces derniers mois. « Mauna Kea, Mauna Loa » comme cri de ralliement pour tous ceux qui ont envie d’horizons dégagés, de mer chaude et de nature luxuriante, deux noms de volcans comme paradoxal titre d’une mélodie apaisante, délicate, tout sauf violente ou agressive, et pour Emmanuel Della Torre le symbole d’une vision (un peu) décalée de cet ailleurs de rêve qu’il sait si bien mettre en musique. Pour nous, en tout cas, une nouvelle étape des plus agréables qui, on l’espère, sonnera bientôt l’heure d’un nouveau voyage, à Hawaï ou ailleurs, pourvu qu’on dévore les kilomètres en écoutant la musique d’Emmanuel Della Torre…

 

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Les sorties albums du 22 janvier

Notre petite sélection hebdo – et non exhaustive – de sorties sympas et dignes d’une écoute curieuse…

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Les temps moroses semblent de jour en jour se rapprocher un peu plus, nous laissant à la fois déprimés et anxieux à l’idée de vivre une saison de plus sans tous ces concerts, tous ces festivals, qui nous mettent un peu de ciel bleu dans un coin de la tête. Cette nouvelle catastrophe annoncée – et pas encore confirmée, croisons les doigts pour qu’elle ne le soit pas ! – ne doit pas malgré tout nous faire oublier qu’envers et contre tout de beaux albums sortent chaque semaine, et que parmi ceux-ci il y a de fort belles choses, des sons intéressants, différents, des retours inattendus et des confirmations réjouissantes. Alors, cette semaine, comme toutes celles qui ont précédé et celles qui viendront, jetons donc une oreille sur ces nouveautés et, ainsi, soutenons ces artistes pour qui l’avenir est toujours et encore en mode flou !…

Comme toujours, si vous voulez en découvrir un peu plus sur une sortie, cliquez dessus 🙂

 

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Lomnouvo – « Ad Lib « 

Lomnouvo nous invite à nous affranchir de toutes nos barrières intérieures pour être libres, par exemple de bouger sur une belle rythmique blues-rock…

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Franchement, on a rarement fait mieux qu’une bonne guitare qui claque aux vents mauvais pour balancer quelques mots qui bougent, bousculent et heurtent un, peu, beaucoup, à la folie, les esprits, on a rarement été plus efficace qu’en faisant rouler les rimes sur une autoroute rock aussi entêtante que puissante, en collant sur des kilomètres de bitume bouillant une voix chaude et sincère pour secouer les consciences et les corps, une voix comme celle de Lomnouvo qui, comme tout droit sortie des années 90/2000, vient égrener « ad lib », sur une mélodie que n’auraient pas renié les grands maîtres du blues-rock sudiste, nos errances, nos errements, nos petites et grandes lâchetés, tous ces maux qui nous enferment dans nos quotidiens étriqués et nous empêchent d’être enfin libres, d’être nous-mêmes, sans frein, sans reniement, sans toutes ces absences de volonté qui nous collent les deux pieds dans la médiocrité. Diable que cela fait du bien de replonger dans ces années fastes où la musique pouvait encore véhiculer un (petit) message à grands coups de riffs percutants et de rythmiques viscérales, qu’il fait du bien ce bain de jouvence et de liberté dans un monde (musical ou non) de plus en plus formaté, de plus en plus censuré. Alors, oui, bougeons, rêvons, révoltons-nous, franchissons les barrières, les frontières, les a priori, et si possible faisons-le en secouant furieusement la tête sur « Ad lib »

 

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Tom Morello feat. Slash – « Interstate 80 »

Tom Morello (Rage Against The Machine) convie Slash (Gun’s and Roses) pour une battle de guitares sur l’Interstate 80…

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Il aurait dû, cet été, se retrouver (pas forcément pour les bonnes raisons mais ceci est une autre histoire !) avec ses camarades de Rage Against The Machine pour une tournée de réformation qui devait passer par la France. La pandémie mondiale en ayant décidé autrement et annihilé pour un temps au moins les possibilités de voir le crew RATM faire résonner ses brûlots sur scène, Tom Morello s’est dit qu’enregistrer un petit EP ne ferait pas de mal pour passer le temps. Et quitte à le faire, le guitariste d’Audioslave et Prophets of Rage a eu la bonne idée de convier deux potes pour faire la blague. Ainsi le titre « Secretariat » voit-il le regretté Eddie Van Halen poser son légendaire son sur la mélodie imaginé par Tom Morello, alors qu’aujourd’hui c’est au tour de Slash (Guns n’ Roses) de venir se livrer à une kiffante battle de guitaristes sur « Interstate 80 ».  Et le moins que l’on puisse dire c’est que ce morceau porte bien son titre tant il invite à l’évasion sonique sur les highways américaines, nous enivrant de solis fabuleux et diablement efficaces, avec, en prime, des lyrics montrant bien que le sieur n’a rien perdu de son mordant. Deux titres sur les cinq que compte ledit EP « Commandante » qui sonnent comme deux pépites que l’on déguste sans aucune forme de modération et nous disent qu’on a fichtrement envie de revoir Tom Morello sur scène, avec ou sans ses complices de Rage Against The Machine ou Prophets of Rage !

 

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Mosquito-B – « Nowhere Minus 20 »

Mosquito-B nous invite à chevaucher nos terribles engins direction l’infini en écoutant « Nowhere minus 20″…

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C’est comme ça on y peut rien, on ne peut pas lutter, il y a des titres qui direct nous propulsent dans une autre dimension, des morceaux qui d’emblée nous donnent des envies d’ailleurs, de grandes chevauchées mécaniques le long de routes surchauffées par un soleil de plomb, des chansons qui entrent dans nos têtes pour ébouriffer nos cheveux et ne cherchent rien d’autre que nous offrir quelques minutes de voyage intérieur. C’est comme ça, on y peut rien, c’est une tradition sur le continent nord-américain et c’est quelque chose que l’on ne voit quasiment jamais de ce côté-ci de l’Atlantique, peut-être, surement, parce que nous n’avons pas, nous lointains cousins accrochés à nos vieilles lunes et à nos modes préfabriquées,  cette tradition pop-rock ancrée en nous. Alors, forcément, quand déboule « Nowhere minus 20 » avec ses accords de guitare aussi classiques qu’ultra efficaces, sa mélodie qui  accroche et embarque pour un ride irrésistible, on se dit que non seulement cela fait un bien fou mais qu’en plus on est fort content de découvrir le canadien Mosquito-B grâce à ce titre qui le place dans cette famille au sens large, de Tom Petty à Bon Jovi, là où la musique est faite pour bouger la tête et le corps, et donner à ceux qui l’écoutent une fort belle énergie…

 

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Emmanuel Della Torre – « From my home sweet home »

Emmanuelle Della Torre nous envoie une carte postale magnifique from his home sweet home…

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Qui n’a pas eu, un jour ou une nuit, envie de mettre les voiles, de partir au long cours pour avoir le plaisir, un jour plus ou moins longtemps, de revenir, de retrouver sa base, son essentiel ?… On a tous, ainsi, dans un petit coin de notre esprit, un lieu mythique que l’on rêve d’aller fouler, une douce balade que l’on s’imagine faire, une petite mélodie nous accompagnant intérieurement, une envie de chevauchée sauvage que l’on ferait cheveux au vent et sourire aux lèvres. Ce voyage, on peut le faire – chose de plus en plus complexe par les temps de confinement intérieur et extérieur qui courent – dans la « vraie vie » mais on peut, aussi, comme nous le propose Emmanuel Della Torre le provoquer dans notre imaginaire, en se laissant porter par une douce mélodie folk americana, en se laissant doucement prendre au piège de douces images que l’on imagine venues d’un ailleurs forcément magique, forcément étourdissant de beauté. Alors, si l’on se prend au jeu, voila que l’on s’échappe du quotidien, caressé par des mots délicats et emporté par des notes qui ne ressemblent en rien à ce que l’on a l’habitude d’entendre sous nos latitudes, envoûté par la vision de cette fenêtre sur un ailleurs poétique qu’ouvre pour nous l’artiste.  Et au bout de ce trip onirique, l’on se dit que si cet espace plus ou moins grand qui nous attire irrésistiblement, cette base arrière que nous présente Emmanuel Della Torre est aussi belle et chaleureuse que ces paysages volés à l’horizon, on doit s’y sentir fort bien…

 

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Emmanuel Della Torre – « Laora Rosewood »

De toutes, sans nul doute pour Emmanuelle Della Torre « Laora Rosewood » est la plus vitale à son équilibre…

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Sublime inconnue rencontrée au hasard d’une errance musicale, objet de tant de désirs et d’émerveillement, elle n’est pas de celles que l’on pose dans un coin pour ne plus s’en préoccuper. Non, au contraire,  avec ses courbes parfaites, cette couleur qui tend vers la perfection, ce petit air mutin et ces accents venus tout droit du sud des Etats-Unis, elle serait plutôt de ces compagnes exigeantes que l’on couve de gestes tendres, même si, de temps à autres, il nous arrive de les maltraiter un peu. Oh trois fois rien, quelques secousses, quelques frottements saccadés, deux ou trois pincements juste pour le plaisir de leur tirer des sons magnifiques. Elle est cette accompagnatrice merveilleuse qui réussit, par petites touches plus ou moins rapides, à transformer les notes de musique en émotions pures, à faire des mots qui glissent de nos bouches des volutes sublimes qui vont au plus loin dans l’âme de ceux qui les reçoivent. Alors, il fallait bien une chanson pour lui rendre hommage, un petit air folk, americana, tout tendre, tout délicat, comme ce « Laora Rosewood » d’Emmanuel Della Torre, pour transmettre un peu de cet amour que ressent immanquablement le musicien pour sa guitare, cette compagne des bons et des mauvais jours, parfois source d’inspiration, parfois « juste » merveilleux outil pour exprimer ce que nos mots et nos paroles ne peuvent ou ne savent dire…

 

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