On vous sert quoi aujourd’hui ?… Allez, une petite playlist super sympa qui met le moral au beau fixe et le sourire aux lèvres, une !
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Que serait donc un début de semaine si nous ne cédions pas à la bonne habitude du lundi qui consiste à découvrir notre sélection de clips. Soit 15 moments qui nous ont fait plaisir, nous ont peut-être filés les poils ou surpris, ravis sûrement. 15 instantanés que l’on a donc, comme chaque semaine, eu envie de partager avec vous histoire de partir du bon pied pour les sept jours à venir, même s’il n’est absolument pas interdit d’y revenir les semaines ou mois suivants.
Partons donc à la découverte de ce que l’on vous a déniché pour cette petite sélection super sympa, cette petite playlist qui parfois envoie un peu de pâté pour les tympans plus ou moins fêlés qui en valent quatre… Voici donc, roulement de tambour, ce qu’ont trouvé nos oreilles curieuses parties le nez au vent à la recherche de quelques mélodies éclectiques capables de vous faire vibrer, vous surprendre, vous émouvoir, peut-être même vous faire sourire… et entre ska et rock, chanson et métal, reggae et country… voici de quoi vous donner quelques bonnes vibrations capables de faire du bien au corps et au cœur.
Alors sans plus attendre, place à la musique (et un peu aussi aux images qui bougent), à vous de jouer en scrollant dans cette playlist du 03 MARS 2025, histoire de découvrir – ou redécouvrir – ces artistes que vous n’entendrez (pas forcément) ailleurs. Place, donc, par ordre d’apparition à l’écran, à nos 15 clips de la semaine :
MADNESS / REBOOT / PETER DOHERTY / MÙ / JAIN & SOLOMUN / SAM SAUVAGE / BILLY IDOL / SIDILARSEN / YANISS ODUA / ROSE TATTOO / ENEMY INSIDE / ILIONA / ARCHITECTS (feat. HOUSE OF PROTECTION) / NATHAN JAMES / RIP GERBER
C’est fini pour cette sélection, vous pouvez refermer la page et retourner à votre vie normale… rendez-vous la semaine prochaine pour une nouvelle dose de clips qui font du bien.
Avant l’arrivée de « From Zero », son nouvel album, Linkin Park nous met dans le bon sens avec le très énergique « Two Faced »…
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Cette fois la messe est dite, le tant attendu nouvel album de Linkin Park sera dans nos oreilles dès demain 15 novembre. Il y a ceux, petits chanceux, qui un peu partout autour du globe ont eu la chance d’écouter – et visiblement ont tous adoré ! – ce « From zero » qui, comme son nom l’indique si bien, a pour mission de repartir à la base et de donner un futur à ce groupe – et ces fans – pas encore remis du décès de Chester Bennington. Pour tous les autres, ceux qui doivent attendre demain pour enfin se prendre une bonne dose de décibels et d’énergie, il y a ces titres diffusés au fil de l’eau, les bangers « Heavy is the crown » et « The emptiness machine », le plus banal et pop « Over each other ». Il ne manquait donc plus que la cerise sur le gâteau pour se mettre dans de bonnes conditions et, nous voici comblés car le tout chaud « Two faced » remplit à merveille ce rôle.
Et pour cause, un bon gros son tout droit sorti des années 2000, puissant et violent à souhait, des parties rap et screamo qui se complètent à merveille, la voix d’Emily Armstrong qui trouve sa place et nous embarque dans tous les registres, un petit clip simple et sympa qui laisse le devant de la scène au titre, toutes les cases sont cochées pour nous mettre dans le bon sens avant de découvrir le reste de l’album… Et que dire de cette petite impression que ce titre va déclencher de furieux pogos dans les festivals et stades que va fréquenter le groupe l’été prochain…. Mais de cela nous vous reparlons très vite car les annonces officielles ne devraient pas tarder !
Flake (Rammstein) fête Nöel en musique et – forcément – cela respire la joie de vivre et la bonne humeur… Logique vu le thème, non ?
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Ce n’est pas parce que l’on est tout juste début novembre que l’on doit s’interdire de penser déjà à Noël et à ses petits et grands bonheurs. D’ailleurs, si on y pense, on a déjà décongelé Mariah Carey c’est un signe !
Logique, donc, que l’on commence à partir à la recherche de ce qui pourrait être la bande-son idéale pour cette belle période de fête. Et tout aussi logique que l’on intègre directement dans notre playlist festive ce titre empreint de joie et rempli d’ondes positives de ce cher Flake, ci-devant Christian Lorenz clavier habituel de Rammstein. Car avec ses notes martelées, sa voix déprimée et son clip de saison pour le si (pas) bien nommé « Happy Xmas (War is over)« , il est clair qu’il fête Noël de façon totalement décalée qui capture un certain esprit de nöel et est – en ce qui nous concerne – totalement jouissive. Encore faut-il goûter à sa juste valeur l’humour particulier du sieur et de ses camarades habituels de jeu !
En tout cas, pour ceux qui pensent que Noël c’est l’enfer et que ne rien s’offrir est une bonne idée, et pour les autres aussi d’ailleurs !, pourquoi ne pas changer – exceptionnellement – d’avis et donner un petit morceau de pure joie de vivre en offrant l’album « Flake feiert Weihnachten » (« Flake fête Noël » pour les non germanophones) qui sera dans les bacs dès le 22 novembre prochain… Sûr que ça va faire un malheur sous le sapin cette année !
Dans nos vies étourdies, il y a parfois des petites musiques, comme celle d’Eddy de Pretto, qui résonnent comme des oasis de bonheur et de joie…
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Dans la vie de rêve que chacun devrait avoir, on trouve de l’amour, des amis, des passions, des couleurs et des rencontres, de l’argent bien sûr, mais il y a, aussi, parfois, une petite musique qui vient nous cueillir pour illuminer quelques instants nos moments plus ou moins flous. Cette « petite musique », aujourd’hui, c’est celle d’Eddy de Pretto qui nous offre de mettre toutes nos emmerdes dans une boîte à bijoux et de sauver nos vies. Dans une période aussi trouble que celle que nous vivons, voilà une philosophie de vie à laquelle on ne peut qu’adhérer et faire nôtre !
Au micro de la dame, Gérard Loussine nous invite à en découvrir un peu plus sur « in the sky with », son premier (magnifique) album…
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Cela fait tellement longtemps que Gérard Loussine imprime nos rétines sur grand et petit écran, ravit nos yeux et nos zygomatiques sur scène, que l’on ne pouvait qu’être surpris, pour le coup fort agréablement, de lui découvrir un univers musical aux contours multiples, un monde fait de petits riens qui en se superposant forment un tout universel. Comment, dès lors, après avoir navigué en eaux calmes avec lui, être partis en sa compagnie dans le ciel étoilé de rêveries poétiques délicates, ne pas avoir envie de papoter quelques instants pour en savoir un peu plus sur cette « nouvelle aventure », ce premier album de chansons teintées de blues qui fait dresser les poils et, parfois, humidifie les yeux…
Tu as une carrière de comédien incroyable même si, finalement, tu es assez peu connu du grand public. Quel regard poses-tu sur cette carrière ?
C’est vrai que je ne suis pas une star mais j’ai beaucoup tourné, j’ai beaucoup travaillé. Néanmoins, je ne vois vraiment pas mon métier de comédien comme une carrière, c’est juste ma vie. Je n’ai jamais vraiment voulu devenir acteur, je voulais juste me lever un peu tard et gagner un petit peu de sous. J’ai cherché un métier qui rendait ça possible, un métier où on n’était pas obligé de travailler tous les jours. En fait, quand j’étais enfant, je suis allé en pension pendant sept ans et on m’a tiré des draps à 6h30 du matin durant ces sept années. Pour moi, c’était quelque chose de super traumatisant. Ce qui fait que le week-end, quand je rentrais chez moi, je mettais le réveil à sonner à 6h30 du matin juste pour le plaisir de pouvoir appuyer dessus et de me rendormir.
Pour en revenir à ma carrière, c’est compliqué pour moi de parler en terme de carrière car j’ai travaillé et j’ai eu la chance de rencontrer des gens formidables… C’est à la fois de la chance et, ce que j’ai appris avec le temps et en faisant un petit travail perso aussi, c’est que j’ai également une petite part de responsabilité dans ça notamment dans le fait que, si les gens viennent vers moi, c’est aussi que j’ai quelque chose qui fait qu’on peut venir vers moi. Par exemple, je n’écris pas mais je me suis toujours entouré de gens qui savaient écrire. En revanche, si je devais écrire un livre sur ma vie, j’écrirais l’histoire d’un garçon qui n’a toujours subi que du positif, «subi» parce que je n’ai pas l’impression de l’avoir engendré. Finalement, la vie que j’ai me va vachement bien. Je n’ai jamais été acharné, j’ai toujours choisi de faire les choses à mon rythme, de façon ludique, et surtout pas par obligation. Pour moi, jouer au théâtre, c’est loin d’être un calvaire, surtout quand je joue une pièce qui me plaît. Tout ce que je fais, je le fais toujours avec plaisir. J’ai eu la chance de rencontrer des gens formidables qui m’ont vachement aidé. Ma vie me va bien, me ressemble.
En fait, pour tout dire, je crois que je suis très fainéant. Le seul vrai travail que j’ai fait dans ma vie, c’est six ans d’analyse à coup de deux séances par semaine sans jamais y déroger, le reste du temps, je me suis laissé porter.
Vu tout ce que tu as fait en terme de comédie, je ne suis pas sûre que l’on puisse parler de fainéantise…
Peut-être pas mais j’ai pris beaucoup de plaisir à faire les choses même celles pour lesquelles je n’étais pas forcément emballé comme les bidasseries dans les années 80, comme ça se faisait beaucoup à l’époque. Mais j’ai aussi appris mon métier de comédien en faisant ça et j’ai rencontré des gens super. Aujourd’hui, il n’y a plus tout ça. Je ne dis pas que c’était mieux avant, je dis que c’était plus simple. J’en veux pour preuve quand tu demandes à un jeune comédien ce qu’il fait dans la vie, il te répond qu’il est intermittent ! Moi, je leur dis qu’intermittent, c’est pas un métier, c’est un statut. Mais ça veut que le discours n’est plus le même. A l’époque, on disait «j’essaye d’être acteur». C’était plus simple, il n’y avait pas de casting, on voyait directement les metteurs en scène, on passait aux Buttes-Chaumont… Maintenant, le dernier truc qu’on m’a demandé c’était que je me filme en train de dire le texte que j’avais reçu et que je l’envoie ensuite à l’équipe de casting… C’était juste surréaliste pour moi.
A l’âge que j’ai, j’ai pas envie de m’embêter avec ça ! Là, je suis content de faire les «Scènes de Ménage» avec mon ami Gérard Hernandez que je connais depuis quarante-cinq ans. C’est d’ailleurs lui qui m’a branché dessus il y a un an et on se marre bien à faire ça. Un jour, il m’appelle et il me dit «Dis donc, je crois que j’ai fait une connerie, j’ai parlé de toi à la production pour «Scènes de Ménages» parce que j’avais une idée de personnage et ils ont dit oui». Evidemment, je lui ai répondu qu’il n’avait pas fait de connerie et je suis super content de faire ça avec lui. Donc voilà, moi, c’est comme ça que j’ai envie de faire. Au théâtre, c’est pareil. On a monté notre boîte de prod avec José Paul et Marc Fayet en 2001, juste avant de monter «Un petit jeu sans conséquence».
C’est comme ça que je fonctionne, je m’entoure et je fais les démarches pour démarrer de nouvelles choses, de nouveaux projets. A l’époque, tous les deux, ils avaient du mal à monter leur projet de leur côté et je leur ai proposé de mettre un peu d’argent tous ensemble dans les projets et de les co-produire nous-mêmes avec les théâtres. On a fait ça pendant douze ans, on a monté une dizaine de pièces dont certaines ont très bien marché. J’ai été potes avec Bruel, Pagny, Anconina dans les années 80 et ils se sont construits des super carrières mais je n’aurais pas aimé avoir ce genre de parcours. La vie que je me suis choisi m’a permis notamment de m’occuper de mes deux garçons que j’avais en garde alternée une semaine sur deux. Je gagnais bien ma vie, entre autres grâce aux voix que je faisais dans les pubs, ce qui m’a permis de vivre comme j’en avais envie. Je n’ai jamais eu envie de notoriété. Moi, les gens, quand ils me reconnaissent dans la rue, c’est généralement qu’ils me prennent pour leur boucher et ça me va bien comme ça !
Au début des années 80, avant qu’il soit connu, j’ai enregistré un 45T avec Patrick Bruel mais déjà, quand on allait prendre un verre quelque part, les gens le regardait dès qu’on entrait dans un lieu, il y avait déjà quelque chose, son envie à lui qui rejaillissait dans le regard des autres.
Ton nouveau projet est musical mais ce n’est pas le premier ?
C’est vrai que j’ai fait plein de 45T, une bonne douzaine, mais c’était toujours en m’amusant avec les potes. On avait un studio grâce à la musique que j’avais faite pour «Signé Furax», avec Georges Bodossian notamment, qui a aussi réalisé mon nouvel album. C’est un super guitariste, il a un groupe qui s’appelle Océan qui a bien marché dans les années 80. On est potes depuis l’âge de treize ans avec Georges. On était tous les deux en pensionnat au collège arménien. Je suis d’origine arménienne mais mes parents n’avaient pas du tout un esprit communautariste. C’est moi, à onze ans, qui ait voulu me barrer de chez moi parce que je trouvais que ma mère était un peu trop sur mon dos. Ça m’a permis de rencontrer Georges avec qui j’ai monté mon premier groupe et on ne s’est plus jamais quittés. On a fait plein de musiques de séries, de films mais je n’avais jamais fait d’album avant. A la naissance de ma première petite fille, Thelma, j’ai fait une chanson, Georges a fait les arrangements et Marc Fayet a écrit le texte avec moi parce que je savais ce que je voulais raconter. De fil en aiguille, on a fait douze titres dont une autre chanson pour ma deuxième petite fille.
Justement, parle-moi de cet album…
J’ai juste fait ce qui me plaisait musicalement. Toutes les chansons de l’album racontent une histoire. Les textes de deux chansons dont la première de l’album «Le micro de la dame» et «Les gens d’ailleurs» ont été écrits par Jean-Marie Moreau. La seconde se réfère à mes origines arméniennes et à ma grand-mère qui a été déportée durant le génocide arménien en 1916 mais la chanson parle aussi des gens qui sont déplacés malgré eux. Ses textes sont magnifiques. Pareil pour ceux de Vincent Baguian. Sandi Masson n’avait jamais écrit de chansons et elle avait envie d’essayer donc on a travaillé ensemble. Elle a écrit des textes vachement bien. C’était important pour moi de pouvoir raconter aussi des histoires plus féminines comme «Le temps qui passe», les chansons pour mes petites filles ou encore «C’était comme ça». Ce qui était important pour moi, c’était que les textes soit faciles à chanter pour moi. En fait, je compose tout en anglais bidon, c’est d’ailleurs ce qui a donné naissance à «Une chanson en English», je fais les maquettes comme ça que je donne aux auteurs pour qu’ils écrivent les paroles en leur expliquant les sujets dont j’ai envie de parler.
Le dernier titre de l’album a été écrit pour Jean-Marie Moreau qui est mort pendant qu’on l’enregistrait et, avec Vincent, on a écrit cette chanson pour lui rendre hommage.
Dans ma vie de tous les jours et dans mon métier, je fais marrer les gens mais quand je fais de la musique et, notamment pour cet album, je montre une facette plus mélancolique et nostalgique, très empreinte de blues musicalement.
J’ai produit l’album moi-même parce que c’est comme ça que ça marche aujourd’hui alors que pour mes 45T dans les années 80, j’avais une maison de disque. On a mis quatre ans pour faire cet album, tranquillement, entre copains. Ensuite, je me suis aussi occupé de trouver quelqu’un pour le promouvoir sur le web et les réseaux sociaux et, avec Georges, on envisage de prendre deux ou trois musiciens avec nous pour faire vivre l’album sur scène dans les mois qui viennent. Je travaille à l’organisation d’un showcase à Paris à l’automne pour présenter le projet aux professionnels. On a aussi fait un clip avec un pote réalisateur et un autre monteur qui m’ont fait tout ça gracieusement. J’avance doucement sur le projet, à mon rythme. Après, je trouve ça marrant à soixante-dix piges de faire mon premier album !
Gérard Loussine – « In the sky with » disponible dans toutes les bonnes crèmeries…
Deuxième extrait de « From zero » et deuxième uppercut en provenance de la petite bande Linkin Park emmenée par Mike Shinoda et Emily Armstrong…
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Lourde est la couronne à porter lorsque l’on entre dans l’arène, difficile est ce combat qui consiste à prendre le relais d’un gladiateur monstrueux, de ceux qui marquent l’histoire de leur empreinte, long peut être le chemin qui conduit définitivement vers le cœur de ceux qui sont tout autant prêt à encenser qu’à détruire leurs idoles d’hier !
Pour savoir quelle équipe portera la couronne à l’issue de la League of Legends – Worlds 24, il faudra attendre un peu car le tournoi mondial de ce jeu vidéo ne débute pas tout de suite, en revanche pour connaître le nom de ceux qui ont déjà conquis les esprits et les cœurs des joueurs et de tous leurs fans (enfin, on espère !) c’est du côté des miraculés Linkin Park qu’il faut se tourner puisque ce sont eux qui signent l’hymne officiel du tournoi.
Et le moins que l’on puisse dire est que ce deuxième extrait du nouvel album (« From zero », sortie le 15 novembre prochain) nous montre que le groupe est bel et bien de retour en forme et que sa chanteuse, Emily Armstrong, a toute sa place au sein de la team Linkin Park. Pour un peu, ils nous tireraient une larmichette ou deux ces loustics… mais, surtout, ils ont réussi à nous mettre l’eau à la bouche avec leurs deux premiers singles, « The emptiness machine » et donc ce « Heavy is the crown », prémices d’un album canon, quoique a priori un peu court pour nous puisqu’annoncé à une trentaine de minutes seulement.
Bref, ne boudons pas notre plaisir, écoutons encore et encore ce nouveau titre, dégustons ce clip animé magnifique et croisons les doigts pour que les rumeurs qui prêtent au groupe l’envie de faire une tournée européenne en 2025 soient vraies…
Si jamais vous avez oublié comment on fait, Ultra Vomit vous rappelle comment faire les doigts de métal… Vas-y, fais-le, c’est simple…
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Dans la vie, il y a ceux qui croivent que la Terre est ronde et qu’il suffirait de faire une grande chaîne humaine pour arriver à se toucher les doigts !… Il y en a d’autres qui pensent que parce qu’ils sont roi sorcier d’Angmar, ils peuvent plier une tente Quechua, pauvres fous !…
Et puis il y a ceux qui sachent, comme Ultra Vomit, que rien ne vaut un tee-shirt avec une tête de mort dessus, des bonnes bières à consommer sans modération avant de se faire un câlin de gros nounours en faisant un wall of death, un bon gros son tout droit sorti du fin fond de l’enfer et, summum du cool, ces doigts qui mécaniquement se mettent en position. L’index levé vers le ciel, l’auriculaire vers le ciel, le pouce préhensile sur le majeur et l’annulaire, voilà, toi aussi tu es dans la hype, lève les doigts de métal dans les airs, saute, hurle, tu fais partie de la famille et c’est bien !
Infos, dates, vidéos, la famille Ultra Vomit se retrouve ici
Pluie d’annonces cette nuit pour Linkin Park et premier aperçu de son futur avec un nouveau single totalement addictif…
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Sept ans que les fans – dont votre serviteur – attendait que Linkin Park surmonte sa légitime peine suite à la mort de Chester Bennington et nous offre de nouveaux sons. Alors quand la rumeur s’est faite de plus en plus insistante, lorsque le tourneur du groupe a laissé fuiter qu’il cherchait des dates, quand au détour d’une fin d’été, un compte à rebours est apparu dans le même temps que l’équipe quasi complète se réunissait pour un événement à venir, nous nous sommes tous dit que cela commençait à sentir bon, que les annonces seraient à la hauteur des attentes et qu’il ne s’agissait pas d’un énième troll pour vendre des compils…
Et cette nuit, 6 septembre à minuit heure française, le 5 à 15h pour les US, la délivrance, le retour que l’on osait plus attendre, la claque qu’on adore prendre à nouveau, voici Linkin Park qui revient et le fait de la plus belle manière qui soit.
Ainsi, dans ce live-stream en public, mini concert de 14 titres, la petite bande toujours emmenée par Mike Shinoda nous a présentés celle qui a la lourde tâche de succéder à Chester, Emily Armstrong – en provenance du groupe Dead Sara. Et le moins que l’on puisse dire est qu’elle a réussi, en ce qui nous concerne, à balayer les craintes en quelques minutes. Que ce soit avec le nouveau single, « The emptiness machine », ou sur les anciens titres du crew, rien à dire, elle est parfaite, ne cherchant pas à imiter ni prendre le contre-pied, posant d’emblée sa patte et son style ce qui, dans ces circonstances particulières, n’a pas dû être hyper facile.
Ceci étant, l’arrivée d’Emily n’est pas la seule nouveauté annoncée lors de ce concert puisque, en plus du single, voici qu’apparait un nouveau batteur, Colin Brittain, fort efficace. De quoi donner un nouvel élan et une nouvelle énergie à Mike Shinoda, Brad Delson, Dave « Phoenix » Farrell et Joe Hahn, toujours eux à leur poste respectif, ce dont ils auront bien besoin puisque le déluge de news ne s’est pas arrêté là… Bim à gauche l’annonce d’une petite tournée mondiale de 6 dates (11 septembre à Los Angeles (USA), 16 septembre à New York (USA), 22 septembre à Hambourg (Allemagne), 24 septembre à Londres (Angleterre), 28 septembre à Séoul (Corée du Sud) et 11 novembre à Bogota (Colombie)… et bim à droite l’arrivée, aussi inespérée que géniale, d’un nouvel album le 15 novembre prochain.
« From Zero », c’est son nom, comme un clin d’œil à Xero, tout premier groupe réunissant Mike Shinoda, Brad Delson, Rob Bourdon, Joe Hahn, Dave « Phoenix » Farrell et Mark Wakefield au chant, comme un symbole d’une renaissance, d’un nouveau départ à la base, comprend 11 titres (voir ci-dessous) et de l’aveu même du groupe, est la première étape d’un nouveau voyage qui sans oublier le passé, regarde résolument vers l’avenir.
En ce qui nous concerne, si le futur du groupe, sur scène ou album, ressemble à ce premier titre, nous prendrons direct un billet de première classe pour les suivre autour du monde !
THE EMPTINESS MACHINE (Warner – 15 novembre 2024)
01. From Zero (Intro)
02. The Emptiness Machine
03. Cut The Bridge
04. Heavy Is The Crown
05. Over Each Other
06. Casualty
07. Overflow
08. Two Faced
09. Stained
10. IGYEIH
11. Good Things Go
La BlackPink Lisa revient en solo avec l’hyper vitaminé « Rockstar » et ça fait du bien… De quoi ravir toutes les blinks…
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Pour son nouveau single en solo, Lisa frappe fort et nous livre un titre et un clip juste parfait, musique, voix et choré, preuve s’il en fallait une que la membre de BlackPink maîtrise à la perfection la gamme K Pop et, seule ou avec ses copines, est définitivement une « rockstar » moderne. Rien à dire de plus, on écoute une fois et on ne peut plus s’empêcher de la réécouter encore et encore…
Et n’oubliez pas de jeter un œil du côté de votre cinéma préféré si vous êtes fans de BlackPink car à partir du 31 juillet le concert de la dernière tournée « Born Pink » sera projetée pendant quelques jours lors de séances exceptionnelles…
Tout autour du monde, il y a des filles superbes et ça Extreme le sait bien… et n’oublie pas de préciser que toutes les femmes sont sublimes…
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On a beau dire, qu’ils nous fasse du bon vieux hard rock ou des titres doux comme des pelotes de laine, les loustics d’Extreme savent s’y prendre pour nous filer un joli sourire sur le visage. Pour preuve ce nouveau titre, « Beautiful girls », à la limite du surf rock qui nous réchauffe le cœur et le corps, nous entrainant dans un autre monde, un peu désuet certes, une autre vision de la vie, plus agréable, plus douce et beaucoup plus joyeuse…
Nul besoin pour Nuno Bettencourt d’électrifier sa guitare, un petit tempo chaloupé sur sa guitare sèche, et le voilà servant magnifiquement la voix toujours aussi sensuelle de Gary Cherone, pour un titre qui sait si bien nous faire bouger la tête. On ne le dira jamais assez, Extreme est un groupe beaucoup trop sous-estimé de ce côté-ci de l’Atlantique et son dernier album, « Six », sorti en 2023, le prouve de la plus belle façon qui soit, lui qui mériterait d’être tout en haut des charts, comme ça la grande époque de « More than Words »…
En prélude à son 14ème album, Indochine nous invite à découvrir son « Chant des Cygnes »… et à être plus fort encore face aux temps troublés qui s’avancent…
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D’une célébration à l’autre, alors qu’un été français troublé s’annonce, il est bon de voir revenir dans nos oreilles quelques mélodies rassurantes, quelques mots qui font sens et même parfois de plusieurs manières différentes… Un peu comme ce « Chant des cygnes » qui signe le retour d’Indochine à la nouveauté après 7 ans d’absence de ce côté-là, même si un album live est venu couronner une tournée dantesque.
Mystérieux sur la suite des événements, le groupe sème ici, et dans sa com autour du single, quelques indices sur ce que pourrait être ce futur album, voire le futur tout court du groupe… Quel que soit ce dernier, on attendra donc avec impatience ce 14ème opus de la bande emmenée par Nicola Sirkis, ce d’autant plus que s’il est à l’image de ce « Chant des cygnes » il ne devrait pas décevoir les fans…
Qui sait, le glam rock sera peut-être la nouvelle révolution musicale à venir… et dans ce cas, BlackRain en sera le fer de lance à n’en pas douter…
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Un gros son de guitare entre hard et glam, une voix que l’on imagine murie pendant de longues années au soleil des highways et polie par le bourbon, une mélodie et un refrain qui entre en tête d’emblée et n’en sort plus, un petit gimmick sifflé que l’on se surprend à reprendre en chœur, direct on pense à tous ces groupes américains qui depuis des décennies (enfin pour les plus vieux d’entre-nous) nous font taper du pied et bouger des cheveux. Sauf que… Sauf que BlackRain nous vient des Alpes, du côté de la Haute-Savoie, ce qui, en soit, est loin d’être un handicap quand on arrive à un tel niveau d’excellence.
Et ce « Revolution », issu de leur nouvel opus « Hot Rock Time Machine », titre qui d’ailleurs sied parfaitement à leur glam métal qui nous renvoie dans cette riche et heureuse époque où la musique savait être rock et légère, faite pour bouger et partager, petite révolution, donc, dans ce monde obnubilé par les sonorités urbaines, qui nous donne des envies de chevaucher des guitares et partir en ride furieux là où l’on parle avec des patates dans la bouche et où le Stetson – et accessoirement le Colt – font encore partie de la panoplie quotidienne…
Qu’est-ce que ça fait du bien d’avoir de temps en temps un titre comme celui-ci !… Et si vous êtes dans le coin à ce moment-là et avez envie d’une bonne rasade de rock, la petite bande sera en concert à Toulouse (31) au Bikini le 6 juin prochain… Pour les réservations, c’est ici que ça se passe…
découvrez-en plus sur Blackrain en allant jeter un coup d’œil sur leur site : www.blackrain.fr
On se remet dans le bon sens et le bon état d’esprit avec une petite sélection de clips juste pour profiter d’une bonne vibe….
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Allez, on se remet dans le bon sens après quelques jours de repos (enfin pour les plus chanceux d’entre-nous !) et une reprise que l’on souhaite toute douce pour tout le monde. Et quoi de mieux pour cela que quelques petites mélodies douces ou dures, tendres ou vibrantes, d’ici ou d’ailleurs ?… A notre avis, pas grand chose ne peux rivaliser avec ces chansons qui chaque semaine viennent nous caresser les oreilles et réchauffer le cœur.
Alors, une fois encore, cette semaine, les oreilles averties de la rédaction sont parties le nez au vent à la recherche de quelques sonorités éclectiques capables de vous faire vibrer, vous surprendre, vous émouvoir, vous faire sourire. Et entre rock et métal, pop et chanson, folk et rap, vous filer un bon shoot sonique capable de faire du bien au corps et au cœur.
Alors sans plus attendre, place à la musique (et un peu aux images, à vous de jouer en scrollant le long de cette playlist du 13 MAI 2024, histoire de découvrir – ou redécouvrir – ces artistes que vous n’entendrez (pas forcément) ailleurs. Place, donc, par ordre d’apparition à l’écran, à ces 15 clips de la semaine :
MAJOR LEE / HERVÉ PAUL / HANABIE / WAZOO / CONTRE-NUIT / MR LEU & THE NYABINGHERS / WILL LCK (feat. KANAYE & MEHSAH) / NICOLAS LAURENT / ALEX FARAUT / THE CAROLINA’S / KIMSAR / PARALLYX / DAVODKA / POST MALONE / HOZIER
On se retrouve lundi prochain pour une nouvelle sélection de clips destinés à faire couler sur vous une vague de bonnes vibrations…
Ils ont beau dire, ils ont beau faire, comme La Punkaravane, on trouvera ça nettement plus sympa de partir comme on le veut… alors débranchez-nous aussi…
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On s’était dit que le monde d’après serait vachement sympa, qu’on aurait plus de libertés, plus de raisons d’espérer. On s’était dit qu’après avoir été contraint à être face à soi-même, chacun d’entre-nous aurait à cœur de construire un demain meilleur. Bon, ben, on s’est plantés mais alors dans les grandes, grandes largeurs !… Oh, bien sûr, il y a des choses qui vont un peu plus dans le bon sens mais les pas en avant sont tellement petits qu’on se demande s’il y a volonté de faire bouger les lignes.
Tiens, par exemple, on parle depuis peu de cette possibilité qui pourrait nous être donnée de faire le grand saut vers le sommeil éternel quand bon nous semble… ou presque. On entend ainsi pro et anti avancer des arguments, bons ou mauvais selon nos propres convictions, pour tenter d’influer sur le cours de choses. Mais comme souvent, c’est du côté des artistes que l’on trouve les mots les plus simples et les plus sensés. Comme ceux que nous assène, avec force, conviction et un bon riff punk rock, La Punkaravane quand il nous exhorte à faire œuvre d’humanité en un nihiliste « Débranchez-moi ». Mieux que tous les longs discours, 3mn30 qui disent tout et résument à la perfection, fut-elle sous l’emprise de quelques boissons alcoolisées, ce que le bon sens et l’humanité devrait imposer à tous, il vaut mieux partir le cœur léger en faisant la fête quand on le choisit que triste dans une insondable douleur au bout d’une éternité…
En tout cas, nous, on est à 100% d’accord avec les furieux Castelthéodoriciens de La Punkaravane et on remet une tournée pour fêter ça !
Avec Bob Rock à la production, Mötley Crüe signe un retour en demi-teinte – et un peu frustrant – avec son titre « Dogs of war »…
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Alors que leur ancien complice Mick Mars a sorti il y a peu « The other side of Mars », un fort bel album solo post aventure Mötley, il était intéressant de voir quelle allait être la réponse musicale de ce Crüe – on laissera de côté les aspects judiciaires de la chose l’un étant en procès avec les autres ! – qui désormais oeuvre sur un nouveau label et compte en son sein un nouveau guitariste en la personne de John 5, ex Rob Zombie et Marylin Manson. Pas d’album à l’horizon, le groupe déclarant urbi et orbi n’en avoir pas envie pour le moment, mais un titre qui déboule en cette fin avril pour nous chatouiller les tympans.
Composé par Nikki Sixx et produit par le gigantesque Bob Rock, à qui l’on doit déjà la production de « Dr Feelgood », ce « Dogs of war » avait donc tout, sur le papier, pour venir rassurer les fans de Mötley Crüe. Après quelques minutes d’écoute, et un régal pour les yeux car le clip, lui, est de fort belle facture, et contient suffisamment d’easter eggs pour contenter les fans hardcore, le constat est un peu plus mitigé sur le titre. Certes, Vince Neil et ses camarades n’ont pas à rougir de ce qu’ils ont pondu, avec un bon riff et une batterie qui claque, mais l’ensemble reste tellement sage, tellement anodin, à l’image de la voix de Vince Neil, que l’on sait d’emblée que cela ne deviendra pas un hymne repris gaiement dans les stades dans les années à venir.
Avec ce titre signant son retour aux affaires, Mötley Crüe ne démérite donc pas mais a encore un peu de chemin à faire pour susciter un peu plus qu’un intérêt poli et/ou nostalgique. A voir si le suivant aura ce petit grain de folie et de punk attitude qui nous a tant fait bouger les crinières dans cet autre siècle qui nous manque un peu !