Qu’ils soient nés et aient grandi dans un bidonville d’Afrique du Sud ou en Inde, une favela au Brésil, un quartier en France ou en Angleterre, un ghetto au Nigéria, les enfants sont les mêmes, porteurs de rêves et d’innocence. Plus tard, bien plus tard, la vie les a plus ou moins cabossés, leur a changé le regard, enlevé trop souvent cette part de naïveté et de joie permanente qui rend la vie plus facile. Fort heureusement, certains réussissent à conserver une petite part d’enfance en eux, cette petite étincelle qui fait briller les yeux et rend la compassion et l’intérêt sans calcul pour l’autre possible… Fort heureusement, il y a encore des passeurs tels que Nai-Jah pour nous prendre par la main et en quelques mots portés par une douce mélodie chaloupée nous rappeler à quel point nous devons prendre conscience qu’il est de notre devoir de prendre soin de ces enfants, de les protéger et leur assurer un avenir aux couleurs radieuses, qu’ils viennent de nos villes pacifiques et protégées ou soient nés dans une “hot town” à l’autre bout du monde… Un premier single roots qui augure du meilleur pour l’album à venir “Masquerades”…
Nai-Jah – “Hot town”
Nai-Jah nous emmène en reggae dans une “Hot town” où l’enfance est la couleur de l’espoir…