Flake trouve que Noël est trop joyeux !

Flake (Rammstein) fête Nöel en musique et – forcément – cela respire la joie de vivre et la bonne humeur… Logique vu le thème, non ?

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Ce n’est pas parce que l’on est tout juste début novembre que l’on doit s’interdire de penser déjà à Noël et à ses petits et grands bonheurs. D’ailleurs, si on y pense, on a déjà décongelé Mariah Carey c’est un signe !

Logique, donc, que l’on commence à partir à la recherche de ce qui pourrait être la bande-son idéale pour cette belle période de fête. Et tout aussi logique que l’on intègre directement dans notre playlist festive ce titre empreint de joie et rempli d’ondes positives de ce cher Flake, ci-devant Christian Lorenz clavier habituel de Rammstein. Car avec ses notes martelées, sa voix déprimée et son clip de saison pour le si (pas) bien nommé « Happy Xmas (War is over)« , il est clair qu’il fête Noël de façon totalement décalée qui capture un certain esprit de nöel et est – en ce qui nous concerne – totalement jouissive. Encore faut-il goûter à sa juste valeur l’humour particulier du sieur et de ses camarades habituels de jeu !

En tout cas, pour ceux qui pensent que Noël c’est l’enfer et que ne rien s’offrir est une bonne idée, et pour les autres aussi d’ailleurs !, pourquoi ne pas changer – exceptionnellement – d’avis et donner un petit morceau de pure joie de vivre en offrant l’album « Flake feiert Weihnachten » (« Flake fête Noël » pour les non germanophones) qui sera dans les bacs dès le 22 novembre prochain… Sûr que ça va faire un malheur sous le sapin cette année !

 

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No One Is Innocent en marche vers l’inéluctable…

Face au pire des courants négatifs, ils marchent vers l’inéluctable fin de l’espoir… sauf si les mots de Kemar réussissent à inverser la tendance !

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Parfois le bruit et la fureur sont nécessaires pour faire passer un message, comme la traduction d’une violence qui heurte ou qui, trop longtemps contenue, ne demande qu’à tout balayer sur son chemin. Mais dans d’autres cas, face aux vents aussi violents que mauvais, la délicatesse d’une mélodie qui n’en rajoute pas porte encore plus haut les mots qui mettent en garde contre les maux d’une fin inéluctable

No One Is Innocent le sait, le dit depuis si longtemps, se fatigue même à hurler face aux loups, face à la mauvaise haleine. Alors même que se profile pour la bande emmenée par Kemar la fin du chemin, il était pour eux salutaire de continuer encore un peu le combat et nous montrer en douceur que ces gens qui approchent de plus en plus du pouvoir avec de sombres intentions ne sont pas nos amis et que si, comme l’on garde la tête dans les nuages, ils marchent vers le haut, c’est pour mieux nous promettre des lendemains qui déchantent. 

Alors, pour éviter que la vague nous submerge définitivement et nous plonge dans la pire des dépressions, pour ne pas laisser les vampires de la peur gagner, écoutons les mots qui nous sont assénés, pensons à ce qu’ils nous disent et tirons-en les bonnes conclusions ! 

 

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The Warning a bien envie de nous mettre « Six feet deep »…

Véritables révélations de ces derniers mois, voire années, les sœurs de The Warning reviennent avec un nouveau single qui va à l’essentiel et fait du bien…

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Rien à dire, les sœurs mexicaines Villareal, Daniela (guitare, chant), Paulina (batterie), et Alejandra (basse), ont une capacité à nous embarquer à chacun de leurs titres. Et ce n’est pas ce « Six feet deep », avec son tempo mi doux mi furieux, morceau qui va à l’essentiel dans la pure tradition rock, qui va contredire cette bonne impression que l’on a au sujet de The Warning depuis un petit bout de temps. Il suffit de se jeter sur leur dernier album, « Keep me fed », pour en être convaincu une bonne fois pour toutes. On ne peut donc que féliciter les petits malins qui ont ajouté le trio de Monterrey à leur programmation festivalière cet été : 

Main Square Festival à Arras le  5 juillet

Rock Fest à Barcelone le 7 Juillet

Festival de Nimes le 10 Juillet

et un certain nombre d’autres plus éloignés de nous puisque leur tournée européenne s’étale jusqu’au 6 août…

en découvrir plus : The Warning

 

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Extreme célèbre les « beautiful girls » du monde entier

Tout autour du monde, il y a des filles superbes et ça Extreme le sait bien… et n’oublie pas de préciser que toutes les femmes sont sublimes…

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On a beau dire, qu’ils nous fasse du bon vieux hard rock ou des titres doux comme des pelotes de laine, les loustics d’Extreme savent s’y prendre pour nous filer un joli sourire sur le visage. Pour preuve ce nouveau titre, « Beautiful girls », à la limite du surf rock qui nous réchauffe le cœur et le corps, nous entrainant dans un autre monde, un peu désuet certes, une autre vision de la vie, plus agréable, plus douce et beaucoup plus joyeuse… 

Nul besoin pour Nuno Bettencourt d’électrifier sa guitare, un petit tempo chaloupé sur sa guitare sèche, et le voilà servant magnifiquement la voix toujours aussi sensuelle de Gary Cherone, pour un titre qui sait si bien nous faire bouger la tête. On ne le dira jamais assez, Extreme est un groupe beaucoup trop sous-estimé de ce côté-ci de l’Atlantique et son dernier album, « Six », sorti en 2023, le prouve de la plus belle façon qui soit, lui qui mériterait d’être tout en haut des charts, comme ça la grande époque de « More than Words »… 

 

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La Punkaravane aimerait bien qu’on le débranche…

Ils ont beau dire, ils ont beau faire, comme La Punkaravane, on trouvera ça nettement plus sympa de partir comme on le veut… alors débranchez-nous aussi…

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On s’était dit que le monde d’après serait vachement sympa, qu’on aurait plus de libertés, plus de raisons d’espérer. On s’était dit qu’après avoir été contraint à être face à soi-même, chacun d’entre-nous aurait à cœur de construire un demain meilleur. Bon, ben, on s’est plantés mais alors dans les grandes, grandes largeurs !… Oh, bien sûr, il y a des choses qui vont un peu plus dans le bon sens mais les pas en avant sont tellement petits qu’on se demande s’il y a volonté de faire bouger les lignes.

Tiens, par exemple, on parle depuis peu de cette possibilité qui pourrait nous être donnée de faire le grand saut vers le sommeil éternel quand bon nous semble… ou presque. On entend ainsi pro et anti avancer des arguments, bons ou mauvais selon nos propres convictions, pour tenter d’influer sur le cours de choses. Mais comme souvent, c’est du côté des artistes que l’on trouve les mots les plus simples et les plus sensés. Comme ceux que nous assène, avec force, conviction et un bon riff punk rock, La Punkaravane quand il nous exhorte à faire œuvre d’humanité en un nihiliste « Débranchez-moi ». Mieux que tous les longs discours, 3mn30 qui disent tout et résument à la perfection, fut-elle sous l’emprise de quelques boissons alcoolisées, ce que le bon sens et l’humanité devrait imposer à tous, il vaut mieux partir le cœur léger en faisant la fête quand on le choisit que triste dans une insondable douleur au bout d’une éternité…

En tout cas, nous, on est à 100% d’accord avec les furieux Castelthéodoriciens de La Punkaravane et on remet une tournée pour fêter ça !

 

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L’ambulancier a bien envie d’aller dans l’IOWA

L’ambulancier a le cran – et la bonne idée – de nous offrir un aller-retour blindé de sonorités rock, pour l’Iowa, le tout en classe uppercut…

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Il a pris le temps de réfléchir, de travailler, de peaufiner et il est désormais l’heure pour l’Ambulancier de nous offrir le meilleur de la technologie, à savoir une application de vie capable de révolutionner notre quotidien. Simple comme bonjour, il suffit de télécharger son « Iowa » et voilà d’un coup d’un seul notre vie optimisée, notre planning organisé, nos pensées enfin canalisées dans le bon sens. Ô combien révolutionnaire, cette petite application va complètement vous bouleverser, vous changer, vous pousser même à offrir la meilleure version de vous-mêmes. Vous n’êtes pas encore convaincus ?… Pas de souci, plongez-vous dans la petite bande démo qui suit et ouvrez grand votre champ des possibles !

En plus, vous aurez le bonheur de vous laisser guider par un pilote qui n’a peur de rien, qui roule à fond à l’heure vers votre destin en accompagnant le tout d’une bonne rasade de riffs rock et de rythmes électro, un ambulancier qui se fiche bien de respecter le code de la route pour peu que cela vous conduise plus rapidement vers votre destination finale. Grâce à lui et à son application, plus d’angoisse, toutes nos 24h rentrent dans nos volcans intérieurs et l’essentiel de nos journées prend le dessus sur le futile ou l’inutile.

A vous de jouer, ayez le cran de monter dans son ambulance filant toutes sirènes hurlantes vers ce French Manhattan qui brille de mille feux et acceptez votre destin, il a des airs d’anti système solaire…

 

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Ina-Ich salue bien bas tous les « zombii » modernes…

Ina-Ich sait bien que les zombies sont déjà parmi nous et qu’une arme de destruction massive grignote peu à peu notre cerveau…

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Dans les films ou les séries, ils sont soit amorphes, soit terriblement agressifs et n’ont qu’une seule envie : nous transformer en quatre heures sur pattes. Dans la vraie vie, sans même nous en rendre compte, il nous arrive d’en croiser, un peu, beaucoup, trop… peut-être même, parfois, l’est-on nous-mêmes sans nous en rendre compte, obnubilés que nous sommes par les tonnes d’informations qui coulent dans nos yeux de plus en plus aveuglés.

Ina-Ich, elle, l’a bien vu, bien compris, nous sommes en permanence, désormais, au contact de « zombii » modernes qui se coupent volontairement (?) du monde à grands coups de smartphones et autres applications chronophages. Face à cet univers virtuel, ce monde de ce métaverse si tentant, si exubérant, si enthousiasmant, nous sommes tous des victimes potentielles, tous coupables de céder un jour ou l’autre à la tentation du vide, tous complices d’un crime contre l’humanité, celui qui consiste à se parler, à se voir, à se toucher, à s’engueuler pour de vrai et non par réseau interposé. 

Alors, peut-être est-il déjà trop tard, peut-être qu’un clip et une chanson ne suffiront pas à changer les choses, mais en tout cas, en réveillant un peu le silence avec son rock rentre-dedans, Ina-Ich donne (encore une fois tant c’est une habitude chez elle) une petite claque sur le crâne de nos mauvaises habitudes et cela fait un bien fou !

Nouvel album « Une voix » disponible dans toutes les bonnes crèmeries… et même sur smartphone ;)… Pour en savoir plus : www.ina-ich.net

 

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Twenty One Pilots est de retour avec « Overcompensate »…

Premier single de leur nouvel opus « Clancy », les deux furieux de Twenty One Pilots nous dévoilent « Overcompensate » et ça claque bien !

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Trois ans après « Scaled and Icy », il était temps pour le duo américain de remettre le couvert et nous balancer un son tout nouveau tout chaud. Chose faite et bien faite avec « Overcompensate », premier single du prochain album « Clancy » (tiens tiens il est pas mort celui-ci ?) qui sera dans les bacs le 17 mai.

Aucune surprise avec ce titre goupillé par Tyler Joseph et Nick Thomas, les deux furieux de Twenty One Pilots visiblement en forme, à savoir une batterie omniprésente et un flow qui embarque direct dans son trip intérieur. De quoi plaire, sûrement, beaucoup aux fans du groupe…

 

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Shaka Ponk, un dernier pour la route…

Avant de baisser le rideau sur leur aventure, les Shaka Ponk nous offrent de loin en loin quelques clips, comme « I’m picky », pour nous consoler.

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Des sourires sur les lèvres, des étoiles plein les yeux, de l’énergie que l’on partage et qui nous booste pour de longs moments, des mots qui touchent, révoltent, émeuvent, dynamisent, des mélodies que l’on reprend en choeur dans des arènes surchauffées ou des festivals bourrés d’amis, Shaka Ponk fait son dernier tour de piste et déjà dans notre esprit se forme une petite rengaine qui tourne, tourne, tourne encore et encore : regrets éternels !

Alors contre mauvaise fortune bon cœur on se jette sur ce « I’m picky » unplugged et l’on se dit en regardant ces images de concert, cette folie partagée, cet amour qui transpire de chaque minute, de chaque visage, que c’est vraiment trop con de se quitter déjà. Et dans ce monde de brutes où peu de choses semblent échapper à la médiocrité, où chaque news ou presque nous donne irrésistiblement envie de déprimer, on se prend à rêver que Frah, Sam et leurs camarades d’un coup d’un seul prendront conscience qu’ils ont un vrai, un puissant rôle dans la vie de milliers de gens et que sans eux, sans leur musique, sans leurs mots, le vide sera immense et les « méchants » auront la voie définitivement libre pour faire n’importe quoi !

 

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Kwoon rêve de l’Ouest sauvage avec Jayne

Dans l’Ouest sauvage, personne, sauf peut-être Kwoon, ne vous entendra prendre tous les risques, même les plus grands, pour conquérir la mythique Jayne…

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On a tous rêvé d’un duel au soleil, de grands espaces parcourus au grand galop, de cette chaleur qui écrase et rend l’inéluctable totalement imprévisible. On s’est tous, un jour, mis dans la peau de ce cow-boy au grand cœur et au regard froid prêt à toutes les extrémités pour faire gagner le camp du bien. On s’est peut-être, sûrement même, mis un jour dans la peau de ce chasseur de primes chevauchant dans le soleil couchant à la poursuite de hors-la-loi forcément dangereux, forcément patibulaires. 

Dans ces films intérieurs, nous avions le beau rôle et nous roulions des mécaniques, fiers que nous étions de mettre nos pas dans ceux de Clint Eastwood, Charles Bronson, Gary Cooper et autres Henry Fonda. Ces aventures palpitantes et ô combien extraordinaires, nous aurions pu les vivre, si nous avions eu le bonheur de naître un peu plus tard, sur une bande-originale à la hauteur de nos exploits, portés par la mélodie post-rock de Kwoon qui, avec « Jayne », nous embarque dans un voyage hors du temps et des modes, osant la douceur alliée à la puissance, à la fois planante et enivrante.

« Jayne », qui fera partie de son futur album « Odyssey » prévu pour le printemps prochain, est un titre puissant émotionnellement qui résonne longtemps en nous une fois qu’il y est entré, un morceau, comme on en produit malheureusement peu dans l’Hexagone, qui sait à la perfection naviguer entre ambiance atmosphérique, éruptions rock et mélodie mélancolique. Autant dire que si ce futur opus du groupe emmené par le guitariste Sandy Lavallart, nous procure d’aussi belles sensations que ce single, il devrait fort logiquement entrer dans notre top ten de l’année… A suivre donc, avec une impatience non dissimulée !

 

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BAÏKI ouvre pour nous quelques boites…

Dans la vie, quoi que l’on pense, quoi que l’on fasse, qui que l’on soit, on s’agite toujours plus ou moins dans la même boîte !

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Dans la vie, on est tous dans une petite boîte, plus ou moins large, plus ou moins agréable, plus ou moins confortable. Dans notre existence, on se bat pour y rester, dans cette boîte qui nous évite de trop stresser en pensant à ce qui vient à la toute fin. On a beau faire, on a beau dire, ce sont bel et bien « les boîtes » qui nous formatent ou nous matent, quoi que l’on fasse, quoi que l’on dise, quoi que l’on pense.

Alors, forcément, de temps en temps, on a envie de prendre une caisse pour ne plus réfléchir à cette inéluctable échéance, et le reste du temps on se tient bien sage, bien obéissant pour ne pas se voir éjecter de ce confort précaire et illusoire. Peu importe le nectar pourvu qu’on ait l’ivresse et que tinte le tiroir caisse !

Cette réalité, un peu dure malgré tout à entendre, les belges de Baïki la prennent en frontal, plein poire, mettant le doigt sur cet état de fait auquel personne, même ceux qui ont la boîte la plus grande, n’échappe. Mais ils le font avec ce petit supplément d’humour et de légèreté qui fait que l’on oublie vite notre propre condition et que, un léger sourire aux lèvres, on se joint à eux pour ouvrir ces boîtes d’où s’échappent, forcément, de belles histoires… puisque ce sont les nôtres !

 

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Les Rolling Stones se la jouent « angry » pour leur retour…

Inusables Rolling Stones qui reviennent avec « Angry », un titre certes classique mais hautement efficace…

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Inusables, inaltérables, on a beau les connaître par cœur, être bercés par eux depuis la naissance (ou presque) les Rolling Stones arrivent encore à attirer notre oreille. Pour preuve, ce nouveau titre, « Angry », prélude à la sortie de leur premier album post Charlie Watts (remplacé par Steve Jordan) « Hackney Diamonds ».

Un petit riff qui va bien, un solo qui se laisse déguster sans déplaisir et la voix à nul autre pareil de Mick Jagger, on peut certes trouver le morceau des plus classiques mais qu’est-ce que ça fait du bien, qu’est-ce que ça fait plaisir de se laisser porter par cette vague un peu (voire très) old school et profiter de l’instant sans chercher à tout prix à l’innovation !… Ne reste plus qu’à découvrir la suite de l’album pour voir si tout est du même tonneau de gnôle ! 

 

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SHAKA PONK – « Dad’Algorhythm »

Shaka Ponk lance le compte à rebours de son chapitre final avec le (sublime) clip « Dad’Algorhythm », morceau hyper catchy et groovy…

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Le compte à rebours de la fin annoncée de l’un des plus explosifs groupes français tourne irrémédiablement et nos larmes avec lui s’amoncellent. Fort heureusement, la petite bande des Shaka Ponk, toujours emmenée par Frah et Samaha, tient à nous offrir quelques jolis cadeaux d’adieu – réunis le 16 juin prochain dans l’album logiquement intitulé  « The final album » – en témoigne ce « Dad’algorhythm » qui revient à la simplicité et au groove absolu qui fait le charme du groupe depuis tant d’années. Efficace, court, en prime merveilleusement clipé, c’est juste merveilleux et nous rend (déjà) un peu nostalgiques.

 

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MATMATAH – « Le rhume des foins »

Vivement l’automne et l’hiver qu’enfin disparaisse ce satané rhume des foins et que l’on puisse faire autre chose que s’aimer bien.

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Peu importe le nombre de graminés qui nous pourrissent l’existence, il y a toujours quelque part un petit crachin breton (ou parisien) qui nous rend la vie plus douce. Et ce n’est pas Matmatah qui va dire le contraire avec ce nouvel extrait de son dernier album, « Miscellanées Bissextiles », qui parlera à beaucoup, enfin surtout ceux qui, comme votre serviteur, passent le printemps le nez dans un mouchoir pour cause de « rhume des foins »

 

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ANDRÉ FERNANDEZ – « The Yoghourt’s way »

Peu importe la maîtrise ou non de la langue de Shakespeare, lorsque André Fernandez prend sa guitare, le rock prend des accents seventies qui nous font du bien…

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Dans la vie il y a ceux qui parlent la langue de Shakespeare et ceux, peut-être plus nombreux, qui comprennent vaguement de quoi on cause et essaie au maximum d’éviter toute conversation qui pourrait se passer en anglais. Au milieu de tout ça, il y a quelques furieux qui ne lâchent pas l’affaire et, tant bien que mal, baragouinent un anglais yoghourt qui fait plus ou moins illusion. 

Cette langue, André Fernandez, lui, la maîtrise plutôt bien et peut donc se permettre de se moquer – gentiment – de ses collègues qui font autant d’efforts pour aussi peu de résultats probants. Et comme il sait que ça ne date pas d’aujourd’hui, il le fait en enrobant ses mots avec une mélodie rock aux sonorités seventies qui, outre le fait que ça fait beaucoup de bien à entendre, colle à la perfection à son sujet. Qui plus est, en invitant quelques amis à partager sa recette – dont Sanseverino le magicien des mots en français ! -, et en jouant parfaitement l’autodérision, il nous donne encore plus envie d’entrer dans sa « Yoghourt’s way » pour y danser et faire le plein de bonnes ondes.

Il semblerait qu’un album soit en approche rapide, donc s’il est du même tonneau, on devrait vibrer encore plus sur les vibrations électriques de son rock aussi vintage qu’absolument fabuleux ! 

 

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